Dirty old town × RUSSELL ✓

By azra_128

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george ne comprenait pas pourquoi eireann semblait ne pas vouloir lui parler, alors que c'était tout ce dont... More

PROLOGUE - LA TRAVERSÉE
UN - LA SAUCÉE
DEUX - L'ARRIVÉE
TROIS - LA JETÉE
QUATRE - LA CONVERSATION COUPÉE
CINQ - LE SPECTACLE IMPROVISÉ
SIX - LE VENT GLACÉ
HUIT - LE MUSÉE VISITÉ
NEUF - LA TOMBE MARBRÉE
DIX - LES HYMNES ENTONNÉES
ONZE - LA STATUE ROUILLÉE
DOUZE - LES PHOTOS PUBLIÉES
TREIZE - LA COMPÉTITION ACHARNÉE
QUATORZE - LE BIJOU ARGENTÉ
ÉPILOGUE - LA SCÈNE ILLUMINÉE & LE RESTAURANT ÉTOILÉ

SEPT - LES COULEURS TRESSÉES

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By azra_128

— C'est vraiment trop tôt pour se lever six heures.

— Pauvre Maxy, il a pas eu ses dix heures de sommeil, il est tout fatigué.

Un regard noir est envoyé au thaïlandais qui se tient de l'autre côté de la petite table séparant les deux hommes alors que le néerlandais se recroqueville dans son siège. Il tourne pendant quelques secondes en quête d'une meilleure position pour placer sa tête avant de fermer ses paupières sur son regard océan et ne plus les rouvrir.

— Il est vraiment déjà rendormi ?

Des hochements de tête répondent au plus jeune de la troupe.

— Je sais pas comment il fait quand on voit le bazar que c'est dans ce train.

Autour d'eux, tous les sièges sont remplis par des irlandais bruyants et aux habits colorés. L'étonnement reste présent tout autant que la curiosité. La troupe ne s'attendait pas à se retrouver en compagnie de dizaines de locaux en prenant le train aussi tôt ce week-end-là. Pourtant, ils étaient des centaines à se masser sur le quai de la gare quand ils étaient arrivés quelques dizaines de minutes plus tôt.

— Je sais pas non plus. Il n'y a donc pas que pour sa capacité à maitriser une voiture aussi incontrôlable que la sienne qu'il reste mystérieux. Mais je suis même pas étonné, je l'ai déjà trouvé endormi contre un tas de pneus en fin de grand prix alors que les mécanos faisaient un bazar monstre autour de lui.

Les chants à la gloire du Kerry résonnent dans le wagon, ainsi que les applaudissements et les cris. Sur les visages, du vert et du jaune sont peints et les trois éveillés se demandent bien pour quelle raison tous semblent s'habiller ainsi pour se rendre à la capitale. Le regard du plus petit se porte sur les tresses qui ornent les cheveux de sa voisine de l'autre côté du couloir. Il détaille les petits morceaux de laine entremêlés ensemble qui font le tour de son crâne, tranchant avec sa chevelure brune bouclée.

— Il est quand même moins chiant quand il dort.

— Comme sa saleté de chat.

Un grognement échappe à celui qui continue pourtant de dormir profondément quand les mots s'élèvent, arrachant des rires et sourires amusés à ses amis, l'un d'entre eux roulant même affectueusement des yeux.

— Max. Max réveille-toi on arrive bientôt.

Des mouvements afin d'échapper à la main sont produits ainsi que des sons montrant bien tout son mécontentement.

— Je vais le faire et je te le dis, je vais être moins agréable s'il se réveille pas !

— Laisse-le, il reste encore dix minutes de toute façon.

— Ça c'est parce que vous savez pas la raison de sa fatigue matinale. La réalité, c'est qu'il a textoté jusqu'à pas d'heure avec Daniel, évidemment que c'est dur le lendemain ! GROS CANARD, VERSTAPPEN REVEILLE-TOI !

Le garçon aux cheveux châtain clair sursaute et se redresse brusquement, l'intégralité de ses sens en alerte. Une fois qu'il comprend où il se trouve, il fusille du regard celui qui se trouve en face de lui.

— Je te déteste Lando !

— Moi aussi je t'aime.

Un baiser volant traverse l'espace alors que les deux autres pilotes rient de la situation et que le reste du train semble ne pas en avoir grand-chose à faire du quatuor, préférant continuer de chanter à tue-tête que le Kerry battrait le comté de Dublin cet après-midi là.

— Vous pensez qu'ils vont voir le sport du gars dans le pub hier matin ?

— Possible.

— Ça serait logique.

— Je veux découvrir ce sport.

— Depuis quand tu t'intéresses à autre chose que la formule un toi ?

— Mais va te faire voir Lando ! Je m'intéresse à d'autres choses.

— Daniel ou ton chat ne comptent pas comme autre sujet d'intérêt Max !

Vous êtes tellement énervants. Pourquoi je suis parti en vacances avec vous déjà ?

Parce que t'aurais trop déprimé tout seul chez toi avec ton seul félin pour t'accompagner et qu'on est de toute façon une bien meilleure compagnie que lui.

Ça, ça reste quand même à vérifier te concernant !

Le seul silencieux secoue la tête alors qu'il assiste avec amusement à l'échange entre les deux britanniques et le néerlandais passablement grognon en ce début de matinée.

— Je supporte le PSV et je le cache pas en plus !

— Je suis témoin, il m'a forcé à regarder son club quand on était ensemble chez Red-Bull. Pas l'équipe du siècle si vous voulez mon avis.

La malice brille dans le regard du plus âgé des étrangers et son visage s'illumine encore un peu plus devant les yeux bleutés s'obscurcissant sur le champ. Le sifflement de l'arrivée du train empêche une réplique alors que tout le monde commence à se lever et récupérer ses bagages. 

Quand ils se retrouvent dans la ville, partout, les habitants portent des maillots aux couleurs de clubs de sport. Les couleurs jaune et verte font face à celles bleue claire et foncée. La capitale de l'île est en effervescence alors que des groupes de dizaines de supporters se déplacent à travers celle-ci.

Les chants résonnent et les blagues fusent entre les différents groupes rivaux. L'ambiance est pourtant bon enfant et chacun semble se charrier gentiment.

— Bon, en bleu, ça doit être Dublin du coup. C'est étrange cette compétition par région.

Des hochements de tête répondent alors que les yeux du moins âgé suivent une horde de jeunes d'à peu près son âge qui traversent un passage piéton et manquent de se faire renverser par un tramway.

— Un peu tarées les voitures ici ?

— J'y ferais pas du vélo, ça a pas l'air d'être Amsterdam !

Devant eux, le feu semble interminable et les vélos naviguent péniblement au beau milieu des voitures qui semblent être les reines de la ville. Ils finissent par réussir à rejoindre l'allée principale et unique rue piétonne de la ville qu'ils doivent traverser pour se rendre plus au Nord de celle-ci.

— Musique ! PAUSE !!

À l'entrée, un pianiste parcourt de ses doigts experts les touches noires et blanches de son instrument. Sa voix s'élève depuis des enceintes branchées à un petit micro. Un attroupement s'est formé pour l'écouter jouer que rejoignent les quatre pilotes.

— Oasis, j'adore.

La chanson du groupe aux chanteurs du pays est reprise par la foule qui semble heureuse de pouvoir entendre celle-ci. Bientôt, c'est l'air d'une chanson de U2 qui remplace Wonderwall que les passants chantaient en cœur.

— Moins fun cette chanson quand même.

— Vous devriez écouter les paroles, elle vous éclairera peut-être un peu.

L'un des deux bruns arque un sourcil interrogatif mais n'obtient aucune réponse de la part du néerlandais qui entonne le couplet.

❝ And the battle's just begun
There's many lost, but tell me who has won ? 

Les paroles entrent dans les oreilles jusqu'à ce que le refrain caractéristique résonne. Pourtant le pilote Mercedes n'a aucune idée des significations. On parle de sang, mais bien d'autres chansons en parlent et il ne voit pas le lien avec leur début de vacances. Il ne questionne pourtant pas le néerlandais, trop occupé à chanter en compagnie des autres spectateurs. Quand les dernières notes disparaissent dans l'allée, le groupe en profite pour reprendre leur chemin et personne ne réaborde le sujet depuis bien longtemps oublié.

— Bon, musée du whiskey du coup ? Ça a l'air mieux que la distillerie de ce qu'ils disent.

Les têtes ont un mouvement du bas vers le haut alors que les lèvres s'entrouvrent pour laisser apparaître des sourires.

— Faudra juste surveiller que Lando tombe pas en petite nature qu'il est.

Les prunelles luisent d'une lueur malicieuse et un grognement répond à la remarque, le plus jeune ne s'embêtant même pas à produire une réponse à cette énième pique. Bientôt, les quatre compères grimpent les marches les menant à une petite boutique d'où part la visite. Autour d'eux, diverses langues se mêlent. Ils reconnaissent celle de Molière pour l'entendre régulièrement dans le paddock, mais aussi celle de Cervantès et de Goethe.

— Vous comprenez pourquoi y a autant de français dans ce pays ?

Les épaules se lèvent vers le haut en réponse.

— Non, mais je sais que Pierre et Esteban y ont tous les deux déjà été. C'est un signe, parce que ce serait pas ma première destination de vacances quand même !

— Evidemment que tu préfères aller te dorer la pilule avec Carlos au soleil.

Le sourire qui éclaire le visage du plus petit suffit amplement à tous pour comprendre qu'ils viennent de viser juste.

— Nous fais pas croire que tu préfères pas aussi profiter de l'Australie que te faire tremper ici.

— J'aime bien la pluie, ça me rappelle la maison.

La conversation est coupée par le guide leur indiquant qu'ils peuvent aller s'installer dans la première pièce du musée. Tous s'assoient sur les petits bancs tout en continuant de parler. Parmi les quatre, le non-anglophone se demande bien comment il va réussir à suivre quand il voit l'accent de celui qui vient de les accueillir.

Le voilà d'ailleurs qui revient et leur souhaite la bienvenue tout en parlant dans une langue dont il ne saisit rien. Il tourne la tête vers son voisin qui ne semble pas plus comprendre que lui, ce qui le rassure fortement sur le fait que ce n'est pas son anglais qui est mauvais.

Bientôt, il finit par quitter l'irlandais pour reprendre la langue de Shakespeare et commence des explications sur l'histoire de l'île, notamment la naissance de la liqueur si connue et populaire dans les lieux.

— Ils sont venus sans qu'on les ai vraiment invités. Vous connaissez ça les français, non ? Les appropriations de territoire par les anglais qui n'ont pourtant pas été invités ? Je vous demande pas ce que vous en pensez !

À côté d'eux, la famille française éclate de rire, suivie par d'autres francophones. Les sourcils du plus jeune se froncent, le britanno-thaïlandais a une moue qui nait sur son visage quand le dernier devient pale comme la mort et semble figé. Seul reste le néerlandais qui rit légèrement en compagnie des autres. Les pilotes McLaren et Mercedes échangent alors un regard empli d'incompréhension alors qu'ils se sentent visés et regrettent d'avoir dit qu'ils sont anglais en arrivant, encore plus quand le guide les fixe désormais avec un sourire un peu narquois et arrogant.

Ils restent bien silencieux pendant la visite, leurs rires se mêlant aux autres. Ils cherchent à éviter de se faire remarquer, ne risquant ainsi pas de se prendre une nouvelle pique qui ne vient d'ailleurs pas. Les écossais sont mis en avant, comme les français une nouvelle fois. Cette fois-ci c'est car ils seraient responsables du regain d'attractivité du pays et du whiskey y étant produit.

— Qu'est-ce qu'ils ont avec les français sérieux ?

— Jaloux Lando ?

— Non, mais il a raison, ils en ont que pour eux.

Les yeux bleutés roulent avec amusement dans leurs orbites avant que les lèvres se portent à leurs verres pour les dégustations et que personne n'insiste sur le sujet, d'autant plus que le regard vert de celui qui leur a apporté les informations, fort intéressantes d'ailleurs, est posé sur eux, un faible sourire en coin planté sur ses fines lèvres.

— Je vais prendre une bouteille, vous faites des achats ?

— Ouais, je vais aussi en acheter, les amis d'Alwena en boivent, elle sera contente que je lui en ramène.

— Je sais pas, je suis pas très très whiskey.

— Pareil.

— On va faire vite !

— Les guides disent qu'il faut aller à Temple Bar, c'est le quartier festif de la ville.

— J'ai pas envie d'y aller, c'est écrit que c'est hyper touristique. Il faut qu'on trouve un pub typiquement irlandais, j'ai pas envie d'être au milieu des touristes, j'ai envie de découvrir vraiment la culture.

— Mais y a peut-être des concerts quand même ?

Une moue et un regard noir répond à la proposition.

— Okay, okay, j'ai rien dit, on cherche un truc typique, mais on y passera en journée, je veux y jeter un coup d'œil.

Une nouvelle visite vient de se terminer, il s'agissait d'une des deux cathédrales de la ville. S'ils se laissaient diverses possibilités, apprendre le matin qu'elle avait été rénovée par le propriétaire de la plus grande distillerie de la ville les avaient convaincus de s'y rendre après avoir flâné et être rentrés dans diverses boutiques au fil de leur marche.

— C'est quand même n'importe quoi cette anecdote sur les rénovations des cathédrales par le distilleur et le proprio de Guinness.

— À chaque ville ses industriels !

Les quatre amis se dirigent vers Trinity College dont ils comptent visiter l'extérieur des bâtiments, n'ayant pas le temps de suivre la visite guidée de l'université qui a accueilli les plus grands esprits du pays. Ils profitent de passer devant un salon de thé pour commander quatre scones qu'ils vont déguster au sein de celle-ci. En effet, d'après les photos vues un peu plus tôt, il y a des marches, des bancs et même un peu d'herbe.

Autour d'eux, la ville est toujours en effervescence et emplie de couleurs. Ils se demandent même combien d'être eux se sont rendus dans la capitale ce jour-là, tant elle parait uniquement composées de personnes supportant l'une ou l'autre équipe.

— Bon Lando, tu leur demanderais pourquoi ils ont des tresses dans les cheveux et tout le tralala ? Qu'on sache au moins à côté de quel match incroyable on est en train de passer.

— Pourquoi moi ?

— Parce qu'avec ta tête, comment te refuser quelque chose !

— Parce qu'on est tes ainés et qu'on te l'ordonne !

Le plus jeune soupire à l'écoute de la dernière remarque faite sur le ton de la rigolade. Il donne un petit coup d'épaule à Alex qui bouge à peine, la différence de taille empêchant l'anglais de le déplacer ne serait-ce qu'un petit peu.

Ils l'observent se diriger sans grand motivation vers un petit groupe qui se tient un peu plus loin et qui discute bruyamment et à grand renfort de larges mouvements de bras.

— On dirait toi en train de discuter avec Charles Max.

Le grand brun pouffe alors que les sourcils du pilote Red Bull se froncent.

— Je suis pas comme ça.

— T'es totalement comme ça. T'as jamais vu de vidéos de toi ou quoi ?

— Non, je regarde pas ce qu'on dit de moi.

— T'as bien raison, si seulement j'arrivais à être comme toi !

— Alors, c'est la finale d'un match de football gaélique. Les comtés de Dublin contre Kerry. Apparemment c'est un gros truc. On peut regarder dans les pubs avec eux, ils ont pas non plus de places pour le stade. Ils vont aller au pub dans pas longtemps pour essayer de trouver un endroit où ils pourront regarder le match sans problème.

Le retour de leur ami interrompt le sujet légèrement sérieux qui semblait s'enclencher dans leur conversation quelques secondes plus tôt. 

— Je valide ! En plus on sera dans un pub d'irlandais comme ça.

— Incroyable, y a des irlandais qui veulent bien nous parler. Comment t'as fait ?

Seules les épaules se haussent en réponse, le petit anglais étant le premier étonné de la sympathie des personnes qu'il vient de croiser. C'est donc en leur compagnie qu'ils prennent la direction d'un bar dans un quartier un peu plus éloigné. Quand ils y arrivent, l'établissement est déjà bien plein, la plupart des tables étant déjà prises. Ils finissent par réussir à se poster dans un coin en compagnie des six irlandais et irlandaises aux cheveux et cous ornés de jaune et de vert. De l'autre côté de la petite allée permettant aux serveurs de passer, les maillots sont aux couleurs de l'adversaire mais les cheveux sont également encerclés par une tresse bleutée. Ils en concluent qu'il doit s'agir d'une tradition, et George la trouve belle.

— Bon, maintenant qu'on est là, j'ai dit qu'on était dans le Kerry et qu'évidemment on les soutiendrait. C'est comme ça que j'ai réussi à nous incruster.

— T'as bien fait, ça va être cool je sens !

— J'espère qu'il y aura de la musique, j'ai pas pu filmer les danses l'autre coup et il me faut des vidéos pour les montrer quand je rentrerai !

Bientôt, les chants résonnent alors que les irlandais entonnent leur hymne avant le début du match. Tous se lèvent et portent la main à leur cœur alors que leurs voix s'élèvent dans le pub. Puis, ils enchainent immédiatement sur ce qui parait être une deuxième hymne pour laquelle les voix se font encore un peu plus fortes.

— Pourquoi ils ont deux hymnes ?

Le néerlandais n'obtient pas de réponse à sa question. Et bientôt, c'est l'effervescence dans le pub, les Guinness arrivant de façon bien trop peu espacée et George ne sait pas où se mettre quand un irlandais pose sa main autour de son épaule et l'entraine vers le comptoir pour lui payer une nouvelle bière alors que le Kerry est en train de mener. Il n'ose pas dire qu'il ne comprend pas vraiment les règles, il se laisse porter par l'instant présent. 

Les chants résonnent pendant des heures alors que le club du comté de l'Ouest remporte le match et l'alcool coule à flot. La musique typique n'est néanmoins pas pleinement savourée alors que les voix la recouvrent au plus grand désarroi de celui qui souhaitait en écouter.

— Ohlala, ça me tourne.

— Je t'avais dit que tu tenais pas l'alcool !

Le plus âgé est poussé par son compère et les éclats de rire se mêlent à ceux des irlandais avec qui ils discutent le temps d'une soirée. Tous sont d'ailleurs surpris quand, au moment de se quitter, ceux-ci leur donnent rendez-vous le lendemain matin dans un petit salon de thé pour un petit-déjeuner traditionnel avant qu'ils se rendent dans les divers musées que les locaux leur proposeront, chacun devant venir avec son lieu préféré.

— En fait, le problème c'est vraiment qu'ils sont trop spéciaux dans ce village, on a eu aucun souci ici.

— Je veux pas être médisant, mais le gars du musée avait quand même pas l'air d'être un grand fan de nous.

— Pas faux.

— Très vrai.

— Bon, maintenant dodo.

— Bonne nuit les gars !

ma perplexité sur ces chapitres reste extrême. je sais où je vais mais les chapitres de transition sont vraiment galères. 

c'était la première partie de la petite virée dans la capitale. dans le prochain chapitre, les quatre compères feront dans l'historique et les musées visités éclaireront peut-être un peu george, tout comme les publicités trainant dans la ville pourront leur donner des éléments de réponse sur "diable qu'est-ce que riverdance ?" (pas bien malins les artistes, la réponse est quand même dans le nom !).

instant information : le football gaélique appartient à la fédération des sports gaéliques (GAA) qui est celle qui compte le plus de licenciés en Irlande et où tous les joueurs sont amateurs. une compétition nationale a lieu tous les ans et lors des demi-finale et finales qui sont jouées à Croke Park, le stade de foot gaélique (82 300 places, + grand stade d'irlande et 3ème d'europe), tellement de monde demande à voir le match que les places sont obtenues via un tirage au sort. il y a + d'1 million d'irlandais qui regardent la finale à la tv (population de l'irlande : un peu moins de 7 millions d'habitants).

les tresses dont il est question dans l'histoire :

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