EMPTY PLACES » Pierre Gasly

By Akhe59

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Seuls les lieux déserts chassent ce goût amer, seul un cœur brisé peut être recollé. More

prologue
un
deux
trois
quatre
cinq
six
sept
huit
neuf
dix
onze
douze
treize
quatorze
quinze
seize
dix-sept
dix-huit
dix-neuf
vingt
vingt-et-un
vingt-deux
vingt-trois
vingt-quatre
vingt-cinq
vingt-six
vingt-sept
vingt-huit
vingt-neuf
trente
trente-et-un
trente-deux
trente-trois
trente-quatre
trente-cinq
trente-six
trente-sept
trente-huit
trente-neuf
quarante
quarante-et-un
quarante-trois
quarante-quatre
quarante-cinq
quarante-six
quarante-sept
quarante-huit
quarante-neuf
cinquante
cinquante-et-un
cinquante-deux
cinquante-trois
cinquante-quatre
cinquante-cinq
cinquante-six
cinquante-sept
cinquante-huit
cinquante-neuf
soixante
soixante-et-un
soixante-deux
soixante-trois
soixante-quatre
soixante-cinq
soixante-six
soixante-sept
soixante-huit
soixante-neuf
soixante-dix
soixante-et-onze
soixante-douze
soixante-treize
soixante-quatorze
soixante-quinze
soixante-seize
soixante dix-sept
soixante-dix-huit
soixante-dix-neuf
quatre-vingt
quatre-vingt-un
quatre-vingt-deux

quarante-deux

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By Akhe59

Isis a des difficultés à se réveiller bien que Pierre presse des baisers sur chaque partie de son visage. Elle gémit en enfonçant un peu plus sa tête contre l'oreiller faisant rire le pilote. Elle est fatiguée, ses yeux brûlent pourtant Pierre continue de déposer ses lèvres sur chaque parcelle de peau à sa portée, il s'attarde sur ses épaules dénudées par le débardeur qu'elle porte.

Isis n'a aucun souvenir de son endormissement de la veille, ni de la manière dont elle s'est retrouvée dans son lit. Elle se doute qu'elle a du s'endormir devant le film et que Pierre l'a portée jusque dans la chambre, en prenant garde de ne pas la réveiller.

- J'ai dormi longtemps, soulève-t-elle en se frottant les yeux.

L'absence de réponse de Pierre suffit pour que la brune comprenne. Il est évident qu'elle a fait une énième terreur nocturne qui explique toute la fatigue qu'elle ressent. Elle n'est pas supposée être aussi épuisée en ayant dormi autant, les larmes perlent au coin de ses yeux tandis que Pierre l'étreint doucement.

- C'était la première nuit ici depuis deux semaines, ça s'explique un peu, dit-il en désignant la chambre dans laquelle ils se trouvent.

- Mon appartement ne m'avait pas manqué, sauf ma machine à coudre.

- La fameuse machine, je vais finir par en être jaloux.

- Il y a de quoi, le choix est vite fait entre vous deux, murmure-t-elle.

- Tu ne viendras donc pas réclamer ton bisous.

Un rictus amusé étire les lèvres de Pierre quand Isis constate qu'elle s'est fait prendre à son propre jeu en grognant. Sa tête s'enfonce un peu plus dans l'oreiller lorsqu'elle se tourne pour ne montrer que son dos au pilote qui rit de bon cœur. Elle fait semblant d'être vexée et elle ne le reste pas bien longtemps. Il suffit que Pierre pose ses lèvres sur l'épaule dénudée qui lui est encore accessible pour qu'un sourire étire ses lèvres.

- J'ai retardé au maximum ton réveil mais il va falloir y aller si tu veux arriver pour l'apéro de dix-huit heures, souffle-t-il.

Elle acquiesce, le couple a un peu plus de six heures de route pour relier la capitale française à la Dordogne, sans compter les pauses qu'ils vont prendre pour changer de conducteur. Habituellement, Isis fait le trajet seule en s'arrêtant trois fois pour se reposer, mais aujourd'hui elle pourra se reposer lorsque Pierre conduit.

- Est-ce que tu commences à conduire...

- C'était prévu, souffle-t-il. Hors de question que tu conduises en étant fatiguée.

- Mais tu l'es aussi, dit-elle tout bas. Je t'ai réveillé, non ?

Pierre acquiesce en rajoutant que ce n'est pas bien grave. Il a réussi à se rendormir immédiatement, chose qu'il était incapable de faire au début de leur relation où chaque terreur nocturne l'effrayait.

- Ce n'est pas une corvée de conduire, tu sais. J'ai l'habitude de le faire, il ne fait pas croire que je dors dix heures par nuit en week-end de grand-prix, c'est un mythe.

- C'est vrai que tu es pilote, chose que je ne suis pas, dit-elle en baillant.

- Si, tu pilotes mon cœur.

Isis ne peut s'empêcher de rire, elle craque pour étreindre le jeune homme. Ses lèvres se déposent sur sa joue barbue pour la première fois de la journée, ce geste suffit à le faire sourire grandement.

- Je devais arrêter les disquettes de pilote, désolé, murmure-t-il.

- Celle-ci est pardonnée, c'était tout mignon, un peu comme toi.

- Un compliment venant de toi, je vais rougir.

Pourtant ce sont les joues de la brune qui prennent une teinte rosée lorsqu'elle se rend compte du compliment qu'elle vient de faire. Le regard du jeune homme est brûlant et elle se cache contre son torse pour le fuir, ce qui le fait rire. Il n'hésite pas à se moquer gentiment de la brune jusqu'au moment où elle décide de se préparer à partir.

Une quarantaine de minutes plus tard, le jeune couple se retrouve dans la voiture de Isis. Pierre tient fermement le volant tandis que la tête de la golden retriever dépasse à l'arrière de la voiture. Elle se trouve dans le coffre où elle sera bien plus à l'aise pour un aussi long trajet que entre les jambes de Isis, devant le siège passager.

- Prête à supporter mes talents de chanteur pendant six heures ?

- Est-ce que j'ai le choix ? rétorque-t-elle lorsque Pierre démarre.

Isis n'entend pas les talents musicaux du pilote pendant les deux premières heures, elle s'est bien vite endormie. Sa tête repose contre la vitre, sur le pull de Pierre qu'elle a plié précautionneusement. Elle s'en sert comme un coussin, ce qui amuse le jeune homme lorsqu'il l'observe tendrement dormir.

Puis Isis a pris le volant durant deux heures avant que Pierre ne prenne la relève pour le reste du trajet, jusqu'à l'arrivée où il s'arrête devant une maison ancienne. Il trouve l'endroit magnifique lorsqu'il s'étire en quittant la voiture, il s'empresse d'ouvrir le coffre pour libérer la golden retriever qui s'empresse de se dégourdir les pattes.

- Ça va ?

- C'est plutôt à moi de te poser la question, t'as l'air plus stressée que moi, soulève Pierre.

La brune hausse les épaules, elle appréhende un peu la rencontre entre Pierre et sa famille. Elle considère Rachel comme sa propre mère, chose que le pilote a bien compris lors des nombreuses fois où elle a parlé de cette dernière. Il s'agit d'une sorte d'approbation que Isis a besoin d'obtenir que Nathalie ne lui donnera pas.

- Isis, regarde-moi.

Elle obtempère, elle se perd dans son regard bleuté qui ne reflète que la sérénité et elle comprend que tout va bien se passer. Elle n'a pas besoin de s'inquiéter, encore plus lorsque Pierre l'attire contre lui. Son étreinte est puissante et il replace une de ses mèches derrière son oreille en glissant :

- Je ne la connais pas, mais je suis sur que Rachel veut la même chose que moi. Deux personnes qui veulent le bonheur de la même personne ne peuvent que bien s'entendre, ok ?

Isis hoche la tête tandis que les mains du pilote encadrent son visage. Il prend le temps de planter son regard bleuté dans le sien pour lui insuffler toute la confiance qu'il a à donner, puis ses lèvres se posent sur les siennes. Son baiser est ferme, mais il n'en reste pas moins délicat. Lorsqu'il s'éloigne, Pierre frotte doucement son nez à celui de la brune qui soupire.

- Allons-y sinon nous allons rater l'apéro, souffle-t-il pour l'encourager.

- Un dernier bisous, quémande Isis d'une petite voix.

- C'est bien parce que tu mérites tous les bisous du monde, murmure Pierre en l'embrassant chastement.

Elle sourit avant de lier sa main à la sienne, elle l'entraîne vers la maison et Isis n'est pas surprise que la porte soit ouverte. Il n'y a personne et elle distingue des voix provenant de l'extérieur, elle retire ses chaussures précautionneusement en murmurant :

- Ils sont sur la terrasse.

Pierre se pince les lèvres en retirant ses chaussures, il se doute qu'ils devront rentrer à l'intérieur pourtant il est surpris de voir Isis s'avancer vers la porte menant vers le jardin. Il la suit lorsqu'elle traverse la pelouse et il est agréablement surpris par l'extérieur qui est magnifique, la terrasse est ombragée par une pergola végétale. Les plantes grimpantes sont fleuries, leurs fleurs sont roses et Pierre ne remarque même pas que les proches de Isis se sont levés pour les accueillir.

Il est rappelé à l'ordre par la brune qui frôle son avant-bras du bout des doigts avant d'effectuer les présentations, non sans rougir lorsqu'elle présente Pierre officiellement. Il rencontre Rachel et son mari qui s'appelle Julien, ainsi que les deux cousins de Isis qui sont d'incontestables fans de rugby à la vue de leurs maillots.

Pierre n'est finalement pas surpris par le fait que Isis s'installe sur la terrasse extérieur. L'endroit est un véritable havre de paix, bien loin des terrasses parisiennes ou de celle de ses parents à Rouen, qui donne directement vue sur les jardins avoisinants. Il n'y a pas une seule maison adjacente à la leurs et Pierre ne tarde pas à se sentir complètement à l'aise.

- Une bière ou du vin ? questionne Julien.

- Ou bien les deux, propose Isis en déclenchant l'hilarité générale.

Elle lance un petit sourire à Pierre lorsqu'il récupère un verre de vin blanc et il ne peut s'empêcher de constater qu'elle rayonne en parlant avec sa marraine. Toute sa fatigue semble avoir disparu et Pierre est heureux de la voir ainsi.

Il écoute les conversations avec attention, il ne veut surtout pas s'interposer dans les discussions et il est soulagé de ne pas être le centre d'intérêt. Rachel et Julien s'adressent à lui comme s'ils l'avaient toujours connus, comme s'il faisait partie de cette famille depuis des années.

- Est-ce qu'on va à la rivière demain ?

- La dernière fois qu'on est allé pêcher ensemble, tu étais sur ton téléphone toute la journée et t'as raté la moitié de tes prises, maugrée l'un de ses cousins.

- C'était de la faute à Pierre, reconnaît-elle. Il me déconcentrait.

- Je pensais que tu envoyais des messages à une personne sans importance, appuie le second pour se moquer.

Isis rougit encore une fois en sentant tous les regards posés sur elle. Elle se pince l'intérieur de la joue avec force face au regard de Pierre qui est brûlant lorsqu'il prend la parole pour l'une des rares fois depuis ce début de soirée en soulevant amusé :

- Si je suis sans importance, je devrais partir maintenant.

Il est conscient de l'effet escompté puisque Isis se cache le visage entre ses mains. Elle est couverte de honte sous les moqueries incessantes de ses cousins et sa tête ne tarde pas à trouver l'épaule de Pierre pour se cacher. Son bras enlace tendrement ses épaules lorsqu'il dépose un baiser sur sa joue.

- T'as le droit de t'être trompée, reprend Pierre hilare.

- Arrête et arrêtez vous deux, gémit-elle en désignant ses cousins.

Rachel est amusée en observant la situation, elle observe sa filleule balbutier face au regard bleuté de Pierre. Ses joues sont rosées lorsqu'Isis avoue à demi-mot sous les sifflements de ses cousins :

- Je ne me suis pas trompée, j'ai raconté des mensonges, ce n'est pas pareil. J'avais envie de garder ça pour moi, rajoute-t-elle d'une petite voix.

Pierre sent son cœur s'arrêter face à ses mots, sourire solaire vient étirer ses lèvres et son cœur se réchauffe instantanément. Il est parcouru d'une sensation agréable qui l'ébranle de l'intérieur face à tant de sincérité et il ne peut s'empêcher de déposer un autre baiser, non pas sur la joue de Isis, mais sur le sommet de son crâne.

Elle est adorable, Pierre ne fait que constater la chance qu'il a de l'avoir à ses côtés. Il découvre de nouvelles facettes de sa personnalité comme lorsqu'ils regagnent sa chambre mansardée en fin de soirée. Il constate que cette chambre est bien différente de celle que Isis possède à Paris. Il a l'impression que sa personnalité s'exprime dans son entièreté dans cette pièce où les poutres de la bâtisse sont apparentes, donnant un charme inestimable à l'espace.

La chambre n'est pas sobre, les tons ne sont pas neutres mais divers et variés. Elle est tout ce qu'il y a de plus chaleureux, elle change des tons froids habituels qu'il peut trouver dans l'appartement parisien. Les meubles sont en bois avec cette odeur si caractéristique qui se dégage.

- Ce n'est pas bien grand mais ça me plaît, avoue-t-elle en refermant la porte derrière eux. Je m'y sens bien.

Elle dépose son sac contenant leurs affaires aux pieds du lit, tandis que Pierre dépose la malle de sa machine à coudre sur le bureau composé d'une planche en bois et de deux tréteaux. Dès que ses mains sont libres de toutes affaires, Isis se glisse dans ses bras musclés. Sa tête vient se poser sur ses pectoraux et Pierre l'enlace tendrement lorsqu'elle hume son odeur.

- Tu sens bon, souligne-t-elle.

- Je dois surtout sentir un mélange de vin blanc et bières.

Isis relève la tête dans sa direction pour frôler doucement ses lèvres des siennes. Elle soupire d'aise quand les mains du jeune homme descendent vers le bas de son dos, il presse ses petites fesses tout en approfondissant leur échange. Il se fait prendre à son propre jeu lorsque Isis vient mordiller sa lèvre inférieure, lui arrachant un petit grognement.

- Je pense que ça c'est bien passé, murmure-t-il en éloignant sa bouche de la sienne.

- Rachel t'aime bien, ça se voit.

- Qui ne m'aime pas ?

Isis sourit en venant déposer ses mains manucurées sur les épaules musclées du jeune homme. Elle rajoute en frôlant sa nuque de ses doigts pour le faire frissonner :

- En tout cas, je t'aime beaucoup.

- J'ai cru comprendre que je n'étais pas une personne sans importance à tes yeux.

- Je confirme, assure-t-elle une nouvelle fois en rougissant.

- T'es mignonne quand tu rougis, soulève Pierre en touchant son nez du bout du doigt. T'es encore plus mignonne avec tes petites joues rosées alors arrête de te cacher.

Isis s'éloigne de son torse où elle s'était réfugiée par gêne pour regarder Pierre dont le regard est brûlant de désir et d'amour. Elle ne peut soutenir son regard bien longtemps encore plus lorsqu'elle ajoute :

- Tu ne peux pas être très objectif.

- Coup de foudre ou pas, je maintiens que t'es très belle.

Pierre se penche pour capturer ses lèvres, il presse son corps contre celui de la brune avant de la faire basculer sur le lit. Elle rit lorsque sa bouche quitte la sienne et qu'il niche sa tête dans son cou pour la chatouiller avec sa barbe.

- Arrête s'il te plaît, gémit-elle.

- Tu ne m'as pas dit que j'étais beau, s'exclame Pierre tandis que ses doigts glissent jusqu'à son ventre pour accentuer ses chatouilles.

- Tu me dis... des mots... gentils pour avoir... des compliments en retour...

- J'attends mon compliment.

Sa voix est entrecoupée par les rires s'échappant de ses lèvres, elle a mal au ventre à force de rigoler. Pierre ne s'arrête pas tant qu'il ne reçoit pas à son tour un compliment que ne tarde pas à balbutir entre deux rires. Elle murmure qu'il a de beaux yeux et Pierre finit par s'arrêter. Son corps surplombe le sien et Isis l'observe en se pinçant les lèvres.

- J'ai une question à te poser depuis hier soir, avoue-t-il en repensant à la soirée de la veille.

- Pierre...

- Qu'est-ce que Garance t'a dit pour que tu partes ?

C'est à son tour de se pincer les lèvres en constatant la réaction de la brune. Pierre mesure qu'il est allé trop loin en voyant ses prunelles devenir sombres, mais il ne veut pas rester avec des non-dit. Il voit bien qu'elle n'est pas très bien depuis les événements et il se doute que les propos de Garance y sont pour beaucoup.

- Rien, murmure-t-elle en posant une main sur son torse pour le repousser.

Pierre retombe à ses côtés sur le matelas, il observe la brune se lever. Il est impuissant en voyant qu'elle évite la conversation, elle se contente de retirer sa robe d'été avant de se revêtir d'un débardeur pour se coucher.

- Mon chat...

- Ça va, rassure-t-elle en se glissant sous les draps. J'en parlerai avec le principal concerné.

Elle lance un regard à Pierre lorsque ce dernier s'apprête à réagir, elle lui intimide que la discussion se termine ici. Elle ne veut pas parler de ça, au risque de gâcher cette journée qu'elle trouvait merveilleuse jusqu'ici.

- Est-ce que...

- Pierre, j'ai pas envie de parler.

- J'allais te proposer un câlin, souffle-t-il face à la distance considerable qu'elle a instauré entre leurs deux corps.

Isis tourne la tête dans sa direction, surprise par sa demande. Elle pensait qu'il allait continuer de la questionner et elle s'empresse de s'excuser d'avoir été sèche alors qu'il ne voulait qu'une étreinte. La brune se glisse dans ses bras et Pierre dépose un baiser sur sa joue, il murmure :

- Désolé, je ne voulais pas te fâcher.

- Je ne suis pas fâchée, c'est juste que...

- Tu me diras plus tard...

- Toi aussi, t'as des choses à me dire, soulève-t-elle.

Le regard bleuté de Pierre défaillit, ils n'ont toujours pas reparlé de ce qu'il s'est passé à Milan, ou encore en Belgique. Il sait qu'un jour il devra dire la vérité, celle qu'il refuse d'accepter.

- C'est dur d'en parler et de s'en rappeler, continue-t-elle, mais une fois que c'est fait, on se sent réellement mieux et j'espère que tu y arriveras comme je suis en train de le faire.

- Isis...

- Ça ne va pas aussi bien que ce que tu prétends, murmure-t-elle dans un dernier soupir avant de s'endormir contre lui.

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