Blood Fragments

By senshi533

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Alma Joriz, voilà la personne que j'étais, lorsque mes seules préoccupations étaient de trouver un taxi après... More

Prologue
Chapitre 1 : Je m'appelle Clarissa.
Chapitre 2 : Le numéro n'est plus attribué...
Chapitre 3 : La face cachée.
Chapitre 4 : Un bruit sourd.
Chapitre 5 : Une soirée sans les invités principaux ?
Chapitre 6 : La douche froide.
Chapitre 7 : Vengeance !
Chapitre 8 : Une cible.
Chapitre 9 : Anniversaire !
Chapitre 10 : Une flèche déviante.
Chaptitre 11 : La constellation de la flèche ->
Chapitre 12 : Le calme avant la tempête...
Chapitre 13 : Une sombre organisation.
Chapitre 14 : L'envers du décor...
Chapitre 15 : Fuir ou mourir ?
Chapitre 16 : Une fugitive malgré moi.
Chapitre 17 : Une cohabitation forcée.
Chapitre 19 : Menotté.
Chapitre 20 : Prise au piège.
Chapitre 21 : Risque ou vérité ?
Chapitre 22 : Un fragment du passé.
Chapitre 23 : Dos à la cible.
Chapitre 24 : L'insertion d'Alec.
Chapitre 25 : Goutte de sang.
Chapitre 26 : Un pied entre chaque monde.
Chapitre 27 : Décollage imminent.
Chapitre 28 : Affreuse réalité.
Chapitre 29 : Le silence.
Chapitre 30 : Folie malsaine...

Chapitre 18 : Fuir la réalité.

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By senshi533


Je n'ai toujours eu aucune nouvelle de Rebeka ni de Simon. J'espère qu'ils vont bien, où qu'ils soient.

Allongée dans mon lit, j'essaie désespérément de trouver le sommeil. Mon cerveau n'a toujours pas encaissé certaines informations qui forment ma réalité.

Comment ai-je pu passer de l'étudiante qui ne trouvait plus sa place dans l'amphithéâtre.

Pour me retrouver à plus de 7 000 km dans un pays totalement inconnu à fuir une organisation criminelle, de trafic d'organes plus précisément bordel !

Qui puis est, avec la personne qui m'a volontairement poussée dans cette embuscade.

Est-ce qu'il y a pire comme manière de chuter, sombrer, s'écraser la gueule au sol ?

Nous sommes tous les deux en danger et en cavale, ce qui fait de nous des personnes qui sont censés être dans le même bateau.

Au même moment, la porte grinçante de la salle de bain m'arrache mes pensées Alec sort muni juste d'un bas de jogging.

Son torse dessiné par les muscles est à l'air libre, sur lequel s'éclaboussent les gouttes d'eau dégoulinantes de ses mèches de cheveux.

Je n'arrive pas à distinguer tout les motifs d'encre sur sa peau, mais je peux voir sur son torse, une dague entourée d'un serpent mais pas n'importe lequel.

Un Mamba noir, alias, le serpent le plus mortellement venimeux du monde.

Il se tourne pour prendre un t-shirt, quand je remarque que son dos est aussi marquer par l'encre.

Une boussole avec la vitre brisée où chaque aiguille est faite d'une lame.

Mais il enfile tellement vite son t-shirt que je n'ai pas le temps de contempler le reste de ses tatouages plus longtemps.

- La discrétion c'est un élément clé pour l'espionnage. Rugit une voix grave, mon cœur effectue un salto dans ma poitrine tout mon corps sursaute.

Je me dépêche de fermer les yeux pour faire mine de dormir.

- Je vois ton reflet dans le miroir idiote. Souffle-t-il.

Merde saleté de miroir, je n'avais même pas vu qu'il était juste en face de moi.

- J'arrive pas à trouver le sommeil, je crois que je vais sortir prendre l'air, annoncé-je en me redressant sur le lit.

Il me regarde avec d'un air suspicieux, comme s'il s'attendait à ce que je lui dise que c'est une blague.

- Est-ce que t'es réellement bête ou simplement inconsciente ? Me demande ce dernier, voyant que je ne réponds rien.

- Je crois que t'as pas compris dans quel pays nous sommes là ? En pleine journée des femmes se font violés et tuer alors imagine à deux heures du matin !

- Je sais me défendre ! Rétorqué-je.
Je ne sais pas pourquoi j'ai dit cela alors que, je ne casse pas trois pattes à un canard.

En fait, je crois que j'essaie juste de me prouver à moi-même que je n'ai besoin de rien ni de personne, et que je peux continuer à vivre comme s'il ne s'était strictement rien passé.

- Très bien sort, lance Alec avec nonchalance mais je sens la pointe d'avertissement dans ce qu'il va suivre.

- Mais quand tu te feras choper par des mecs peut fréquentable, et c'est ce qu'il se passera ça servira à rien de venir chialer.

Sa phrase me fait l'effet d'un coup-de-poing en pleine figure.

J'aurais peut-être dû lui demander de m'accompagner, et si je me faisais vraiment kidnappé ou violé ou pire tuer ?

T'as voulu faire la forte maintenant assume.
Ou je lui demande poliment de m'accompagner ?

- Tu veux bien venir avec moi dehors pour prendre un peu l'air s'il te plaît ? Je demande en ravalant ma fierté de côté.

- Non, dit-il d'un ton sec en s'assaillant sur le fauteuil d'un regard condescendant et arrogant.

Il est vraiment sérieux ?

Il vient de me dire que c'est dangereux pour moi de sortir seule, mais il refuse de m'accompagner.

- Pardon ?

- Supplie-moi, réplique Alec avec un rictus rempli de sadisme en coin des lèvres, en seyant sur la chaise tout en croisant les bras.

- Tu te fous de moi j'espère ? Je réponds avec un sourire nerveux.

- Où soit une femme et va au bout de ta décision, me sermonne Alec.

Espèce de salaud tu ne m'auras pas ce jeu, Alec Xilman.

- Je te souhaite de bien t'ennuyer, seul.

Je déclare en pivotant pour gagner la salle de bain, je m'arrête une courte seconde et lui lance un regard à travers mon épaule.

- Une fois que je serai revenu, j'espère voir ton corps sur le lit, mais sans l'âme qui l'accompagnent.

Sur mes dernières paroles je reprends mon chemin sans me retourner vers lui.

Certaines personnes diront que je devrais me taire et juste encaisser, vue la situation dans laquelle je suis.

Chose que je devrais faire, après tout, c'est du bon sens. Mais je refuse qu'il détient une quelconque emprise sur moi.

Les coups, je pourrais les encaisser, la manipulation la dévier à mon avantage.
Mais le chantage émotionnel, en menaçant la vie d'une personne que j'aime et bien pire.

Rapidement mes pensées divaguent vers mère ou Rebecca et Simon.

Maintenant, je vis pour survivre.

J'enfile rapidement un pantalon avec un simple T-shirt, laissant mes cheveux à l'air libre.

J'ouvre la porte de la salle de bain, et je constate qu'Alec est toujours dans la même position au moment où je l'ai laissé.

Je ne lui prête pas attention malgré la pesanteur de son regard me taillader.

Bizarrement il ne s'interpose pas et ne se met pas en travers de ma route.

C'est comme si c'était un jeu pour lui un putain de jeu tordu, auquel je ne connais strictement aucune règle.

S'il m'arrive quelque chose ça sera le moment de voir de quoi je suis capable.
Mais vu que je n'ai aucune capacité de force physique, j'espère qu'il ne se passe rien.

Je claque la porte derrière moi et quitte l'hôtel, je sais pas où aller ni quoi faire, je ne connais pas le Pays.

Après tout, nous sommes au Brésil ce n'est pas l'ambiance qui doit manquer ?

Et me voilà, résultat je déambule le long d'une ruelle à mes heures perdues.

Une fois que j'ai perdu tout espoir, j'entends de la musique, en pivotant la tête j'aperçois une sorte de bar ça à l'aire plutôt sympa...

Je décide de rentrer et constate qu'il y a pas mal de monde, des jeunes qui s'amusent qui profitent de la vie et qui ne sont pas pourchasser par une organisation de criminels.

Je m'assois sur une chaise près du comptoir du bar en prenant un verre de sirop de pêche, j'ai envie de garder toute ma tête pour retrouvé le chemin de l'hôtel.

Un homme assez beau garçon très matte de peau au cheveu long plaquer vers l'arrière vient me parler.

Mais je ne comprends pas un traître mot de ce qu'il peut bien me dire, quand il remarque sur mon visage que je n'ai rien compris.

Il se met à parler anglais avec un petit accent qui a son petit charme.

- Ce n'est pas vraiment drôle de rester toute seule dans son coin, venez sur la piste de danse, me propose l'individu en me tendant sa main.

Fuis la réalité, Alma le temps d'une soirée.

Après une longue minute d'hésitation, je finis par céder et je réponds

- Pourquoi pas, après tout ce n'est pas comme si j'étais en train de fuir une organisation qui veut la peau.

Bordel, ferme-la le temps d'une soirée.

Reste déconnecter le temps d'une soirée Alma.

Juste une.

Il n'a pas l'air d'être un tueur en série, et puis nous sommes dans un bar avec beaucoup de monde, je ne pense pas qu'il essayera pas de me buter en public.

Nous sommes sur la piste et je dois l'admettre que les danses des Brésiliens non rien à envier au autre Pays.

Il me fait tourner puis me rattrape j'asseye de suivre le rythme après 15 minutes à se déchaîner sur la piste nous allons nous asseoir.

- Vous venez d'arriver ? Demande-t-il.
- Oui, je viens d'emménager.
Menteuse.

- Vous inquiétez pas nous savons comment accueillir les gens à Rio, lâche-t-il, en souriant de ces belles dents.
- Comment vous, vous appelez ? Lui demandé-je.

- Leandro et vous ?
- Al...Sonia.
J'ai encore du mal avec mon nouveau prénom.

- Vous êtes venue seule ? Me questionne-t-il.
- Oui et vous ? Pourquoi j'ai dit oui, et si c'était un piège Alma, tu n'est qu'une idiote !

- Je suis venu avec deux amies à moi, elles sont en train de danser.

Quand il me dit que c'est des filles je me sens plus rassuré, j'ai vraiment passé une belle soirée.

Pendant un moment, j'ai réussi à faire abstraction de ma vie désastreuse actuelle.

Nous continuons de parler quand mon sang se glace, et que mon cœur manque de sortir de ma poitrine.

En apercevant Alec confortablement assis sur un fauteuil avec un verre à la main en train de nous observer.

Ça fait combien de temps qu'il est là ?
Est-ce qu'il m'a vue danser ?
Trop de questions fusent dans ma tête.

J'abandonne Leandro en lui souhaitant une bonne soirée pour me diriger vers Alec.

- Tu quittes déjà ton amie ? Lance Alec d'un regard perçants toute en faisant tourner le liquide qu'il y a dans son verre.

- Ça fait combien de temps que tu es là ?  Demandé-je en croisant mes bras.

- Assez longtemps pour avoir vu votre danse, on aurait dit une otarie, tu manques de souplesse.
Il vient vraiment de me comparer à une otarie ? L'enflure.

- Donc tu as passé ta soirée assis à me surveiller ?

- J'étais en charmante compagnie, dit-il.

Charmante compagnie ?

- Me revoilà, s'exclame une voix féminine, je vois une belle femme au teint bronzer avec des longs cheveux bouclé d'une couleur caramel.

Elle me dévisage en s'asseyant sur les genoux d'Alec on dirait que je suis trop. 

- Et du coup, non, je n'ai pas passé ma soirée à faire du baby-sitting, donc si tu pourrais disposer, déclare-t-il.

Je n'en reviens pas, il est clairement en train de dire que je les dérange.
Vexée et fatigué, je pense que je vais retourner à l'hôtel, toute ses danses mon démoli mes jambes.

- Loin de moi l'idée d'imposer ma présence, je vais retourner à l'hôtel. Dis-je en leur retournant le dos.

Je sors du bar, et laisse l'air frais, percuter ma peau.

J'entends une voix masculine sur ma droite et j'aperçois Leandro avec une de ses amies que j'ai aperçue sur la piste de danse, mais sauf qu'ils sont en train de s'embrasser. 

Généralement, les amies ne s'embrassent pas sur la bouche, j'essaie de faire mine de ne pas les avoir vus.

- Sonia! M'appelle Leandro, je me retourne dans sa direction. 

- Oui, m'exclamé-je avec un air surpris, comme si je ne l'avais pas vu effectuer un lavage d'amygdales deux secondes plus tôt.

- On s'apprêtait à terminer la soirée chez moi, ça te dit de venir.

- Non, merci, je suis fatigué, je vais rentrer.

- Aller vient, ça sera drôle, me dit-il en me tirant le bras.

En échangeant des regards avec son amie ses quelques regards mon fait comprendre ce qu'il avait derrière la tête, je préfère partir maintenant.

- J'ai dit non, je suis vraiment épuisé, il me lâche et part avec son amie.

Je continue mon chemin vers l'hôtel, après plusieurs minutes de marches.

J'ai comme l'impression de ne pas être seule comme si quelqu'un marche derrière moi, je m'arrête quelques secondes, et regarde au alentour.

Mais personne à l'horizon, je dois me faire des idées.

Je reprends ma route en restant sur mes gardes, quand une main se plaqua fortement sur ma bouche ce qui m'empêche de crier.

Un vent de terreur m'envahît, un bras m'enroule le cou d'une manière à ce que je ne puisse me défaire, la panique m'envahit.

Je n'arrive plus à respirer sa prise m'empêche d'inhaler l'air qui m'entoure, je dois me libérer au plus vite.

Je m'empresse de mordre la main plaquée sur ma bouche, mais rien n'y fais, il ne cille pas, je ne vois pas son visage.

Il est grand et avec une force considérable, je ne fais pas le poids. Je vais mourir comme une débutante alors qu'Alec m'avait prévenu que c'était dangereux.

D'un coup, il desserre sa prise et me lâche de lui-même je retrouve mon souffle en me retournant.
Je fais face à Alec.

- Tu joues à quoi espèce de connard ! Tu m'as fait la peur de ma vie, je me voyais déjà morte ! Grondé-je, en le repoussant.

- Tu as eu un bon réflexe en me mordant la main, mais tu es trop lente, tu aurais dû au moins utiliser tes jambes pour me mettre des coups dans les boules.

J'hallucine, il a failli me causer un arrêt cardiaque, et lui, il s'improvise prof d'autodéfense.

Il ne s'excuse même pas pour la frayeur qu'il m'a causée.

Au moins, je suis plus rassuré que ce soit lui malgré le faite que j'ai crue mourir.

Je trouve que c'est un bon exercice de me prendre au dépourvue au moins, j'ai  un point de vue de comment je réagis.

J'imaginais une meilleure prestation de ma part.

J'ai été lamentable.

- Je savais que quelqu'un me suivait, dis-je en relevant le menton.

- Oui, mais si ton instinct ne t'aide pas pour anticiper le danger comment dire qu'il pue la merde, réplique Alec en faisant craquer sa mâchoire.

- Je suis fatigué, j'ai pas la force de marcher jusqu'à l'hôtel, soupiré-je.

- Et je suis censé faire de cette info, te porter sur mon dos jusqu'à l'hôtel ? Peste Alec.

- Si c'est demander si poliment, murmuré-je en me dirigeant vers son dos.

- Dégage !
Au moins, j'aurais essayé, je ne pensais pas qu'il passerait la nuit à l'hôtel.

- Je pensais que tu ne rentrerais pas à l'hôtel maintenant.

- Je suis censé dormir où dehors ? Lâche-t-il les sourcils froncés en me dévisageant, comme si j'avais posé une question bête.

- Je croyais que tu passerais la nuit avec la fille.

- Elle m'a proposé, mais je me voyais mal la sauté chez sa mère.
Je ne sais pas trop quoi répondre à ça.

- Moi, on m'a proposé un plan à trois en sortant du bar, lancé-je.

- Qui t'as proposé ça ? Demande Alec avec les sourcils arqués, les traits du visage durci.

- Un type qui était dans le bar, je n'ai pas vraiment envie de dire que c'était le garçon avec qui je dansais.

Je préfère changer de sujet de conversation.

- Et du coup pourquoi tu as décidé de rentrer ?
- Elle commençait à trop sentir l'alcool, dit-il avec une pointe de dégoût.

Je décide de m'asseoir par terre j'ai besoin d'une pose, je suis beaucoup trop fatigué et mes jambes n'arrivent plus à suivre le rythme.

- Tu fais quoi là ? Me demande Alec avec une pointe d'agacement.

- je suis fatigué, je fais une pause.

- L'hôtel est à 5 minutes, tu vas réussir à tenir lève toi, s'énerve-t-il, je sens qu'il est vraiment agacé, mais j'ai besoin de me reposer il n'a qu'à rentrer sans moi.

- J'ai dit non.

- Ne teste pas ma patience, m'avertit ce dernier.

- Je ne bouge pas, je réponds en restant sur mes positions

Il effectue une enjambée dans ma direction, puis rapidement je sens tout mon corps hors du sol.

Il lui a fallu deux secondes pour m'agripper à son épaule, j'ai la tête et les pieds vers le bas.

Ils auraient pu au moins me mettre sur son dos, j'ai l'impression d'être un sac de patates qu'il transporte.

- Je suis pas un sac de farine, m'exclamé-je.

- Bordel ferme-là !

Malgré moi, la scène me fait plutôt rire moi sur l'épaule droite et lui qui affiche un regard meurtrier, je lui mets un coup de pression en disant.

- Oh gallo, et plus vite que ça, m'exclamé-je, à voix haute, en le prenant pour un cheval.

Il s'arrête subitement.

Il me demande de répéter, je me tue une seconde, je me retiens de rire, quand un gloussement sort de ma bouche.

En une fraction de second, il me lâche sans aucun tact et mon corps rencontre le sol, comme un vulgaire chiffon.

À cet instant, tout l'humour qui m'avait envahi, c'est dissiper en quelques secondes.

Putain mon dos !

Mon dos me fait mal et mes jambes également. Je préfère ne pas le montrer et jouer les indifférentes.

- Lève-toi, il faut pas traîner ici, m'ordonne Alec avec sérieux.
Nous continuons à marcher vers l'hôtel.

Je regarde autour de nous j'aperçois plusieurs hommes et femmes qui me filent les jetons en alignement sur le trottoir.

Alec me tire le bras pour me faire avancer

- ME DE O DINHEIRO VADIA ! Hurle une femme son visage à quelques centimètres du mien.

Mon cœur manque de s'arrêter quand cette femme me barre la route et m'attrape fermement les épaules, j'ai l'impression que ses ongles me transpercent ma chaire.

Elle est complètement stone, les yeux injecter de sang avec les cheveux en bataille.

Alec la saisit, et la repousse violemment, les pulsassions de mon cœur ne veulent pas s'arrêter de battre. Je prends de grandes inspirations pour retrouver mon souffle.

- Tu vas bien ? Me demande Alec en m'observant attentivement pour voir si je ne suis pas blessé.

Il avait raison ce n'est pas une bonne idée de sortir dehors aussi tard.

Elle avait l'air d'être en détresse, comme si elle allait mourir.
Je sais qu'elle était probablement en manque de drogue, ça se voyait à son comportement.

J'en ai vu, plusieurs autres personnes sur le trottoir en train d'effectuer les cent pas, de hurler, se taper la tête contre le mur, s'arracher les cheveux jusqu'au sang.
Les scènes m'ont retourné, l'estomac, cet endroit est à éviter, même de passer à côté ca pourrait très terminé.

- Ça va ! Je grince agacé en regagnant le pas vers l'hôtel.

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