Salem aleykoumes tomatiich♡♡🍅🍅
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《On va pas s'faire la guerre pour un briquet, même si j'veux voir ta tête sur un piquet》"werenoi"
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Il s'adoce au fauteuil je met donc ma tête sur son torce, en mangeant les pop-corn, il en prend de temps en temps.
On était tellement concentré sur le film qu'on avait pas remarquer que les pop-corn étaient fini, on prend donc les bonbons et les gâteaux.
Je vous passe jusqu'à la fin du film.
Zaim : c'est fini ?
Moi : oui
Zaim : c'est sa la fin ?
Moi : oui
Zaim : mais c'est nul
Moi : c'est pas ma faute hein
Zaim : y'aura un deuxième ?
Moi : oui normalement il sortira en 2025
Zaim : mais c'est long sa
Moi : bah c'est la vie
Zaim : mais je vais pas arrêter d'y penser maintenant, c'est trop triste comme fin
Moi : qu'est ce que tu veut que j'y fasse
Zaim : non je l'aimais bien Hugo moi, c'est lui aussi il est stupide a quel moment t'a une idée pareil
Moi : il vont le réparer t'inquiète pas
Zaim : hum
Je m'avance vers lui et je lui fait un bisou sur les lèvres.
Zaim : tu m'en fait un autre ?
Je lui en fait un.
Zaim : un autre
Je refait
Zaim : un autre
Je m'avance pour lui faire un bisou, mais cette fois il me retiens et m'embrasse, il me rapproche de lui, et me fait m'assoir sur lui a califourchon.
On continue de s'embrasser et plus sa va plus sa deviens intense.
Il rentre ces main a l'intérieur de mon débardeur, et me caresse le dos.
Ensuite il m'embrasse le coup et descend jusqu'a ma clavicule, et il remonte a mes lèvres.
Il balade ses main sur mon dos, et quand celles-ci viennent toucher mon soutif, il me le dégrafe et l'enlève, il le gette a l'extrémité de la pièce, je remonte mes mains jusqu'a son coup .
Il me rapproche encore plus de lui, et croise ses deux bras derrière mon dos, pour venir attraper ma poitrine.
Il retire ses main, et m'enlève mon débardeur, il nous couche tous les deux et il se met au dessus de moi.
Il enleve son t-shirt.
Et il m'embrasse le coup, me fait plusieurs suçon sur celui-ci, il descend jusqu'a ma clavicule, puis ma poitrine et fait de même.
Redescend jusqu'au bas de mon ventre, et m'enlève mon short ainsi que ma culotte.
Je fait de même avec les sien.
Il m'attrape par la taille, et me porte je croise donc mes jambes autour de son dos, et il monte jusqu'a notre chambre, ou pendant le chemin on s'embrassais sans se lâcher des lèvres.
Il me pose sur le lit, et il vient au dessus de moi, il m'embrasse le coup ce qui me crée d'énormes frisson, que monsieur remarque très rapidement il se met donc a sourire contre mon coup.
Il remonte a mes lèvres, et rapproche son bassin de mon intimité, il me pénètre doucement, et fait des va et viens long, et plus sa va plus il y va plus rapidement.
Apres quelques minutes comme sa, il se couche de dos, et me met au dessus de lui, sans pour autant se détacher de moi, je pose mes main sur les deux cotés de sa tête, et lui, met les siennes sur mes fesses.
Je sentais qu'il commençais a se lâcher a aller plus vite, je me rapproche donc de lui et lui chuchote.
Moi : va plus doucement s'il te plait
Il retire ses main de mes fesses et vient m'attraper les deux joues, et m'embrasser a pleine langue, et entre deux baisers, il me murmure doucement.
Zaim : moi aussi j'était vierge yousra
~le lendemain°
Je me réveille je suis complètement sur zaim.
Il se réveille au même moment que moi.
On se regarde quelques secondes dans les yeux, et je fini par reposer ma tête sur son torce.
Zaim : t'es moche au réveil
Moi : tu n'es pas mieux
Je relève la tête et on se regarde une deuxième fois, et on commence a rigoler.
Zaim : tu reste comme même la plus belle des femmes
Moi : et toi le plus beau des hommes
Zaim : je sais, je sais
Moi : choufnak a9endour wakila (ta pris la confiance je crois)
Zaim : sa veut dire quoi ?
Moi : ah! Quand tu apprendra kabyle je t'expliquerai
Zaim : mais-
Moi : cherche pas a comprendre
Zaim : c'est fou comme je t'aime
Moi : c'est fou comme je t'aime aussi, bon c'est pas tout mais je commence a avoir chaud donc pousse toi
Zaim : c'est toi qui es sur moi
Moi : la faute a qui ?
Zaim : toi
Moi : non toi
Zaim : et pourquoi sa ?
Moi : parce que c'est toi qui m'y a mis
Zaim : pas faux
On reste comme même dans la même position pendant quelques minutes jusqu'a ce que je me rappel de ce qu'il m'a dit hier soir, je n'y avais pas fait attention sur le moment .
Moi : zaim ?
Zaim : oui
Moi : hier tu m'a dit que toi aussi tu étais vierge ?
Un long silence vient après ma question, mais il fini par me répondre.
Zaim : oui
Moi : comment sa ?
Zaim : tu es la première avec qui je le fait
Je relève la tête vers lui.
Moi : comment est-ce possible ?
Zaim : bah c'est seulement la vérité yousra
Moi : mais la fois ou j'avais trouver le message de kenza
Zaim : en réalité on avait rien fait appart s'embrasser, elle voulait aller plus loin mais je l'avais arrêter, et c'est pour sa qu'elle m'avais demander quand est-ce qu'on allait le refaire, seulement pour essayer d'aller plus loin
Moi : et tu l'as vraiment jamais fait ? Mais pourquoi tu me la jamais dis ?
Zaim : je sais pas, j'avais peur que je ne te plaise plus ou autre, oui je sais c'était très bête de penser sa, pas la peine de me le répéter ali me la déjà dit des centaines de fois
Moi : lui aussi ne savait pas ?
Zaim : oui
Moi : qui l'aurai cru le grand zaim, s'est préserver pour sa femme
Zaim : eh oui
Moi : donc la dernière fois on s'était embrouiller pour rien
Zaim : je l'avais comme même embrasser, et puis de toute manières tu m'avais vite pardonner, d'ailleurs pourquoi ?
Moi : j'avais beaucoup trop peur de te perdre, surtout qu'a ce moment la c'était malheurs sur malheurs qui m'arrivait, et j'ai bien fait de te pardonner, t'es partie a peine quelques jour après
Zaim : je suis désoler
Moi : le plus important c'est qu'en ce moment même on est marié, et qu'on se réveille enfin dans le même lit, le passé c'est le passé, il est bien trop tard pour revenir en arrière, et puis si sa s'est passé comme sa, c'est que c'était écrit
Zaim : tu as raison... tu as arrêter de fumer ?
Moi : sa fait un peu plus de deux semaines que j'y ai pas toucher mais je sais pas
Zaim : continue comme sa, c'est bien
Moi : et toi alors ?
Zaim : j'ai beaucoup diminué depuis le jour ou tu m'a pardonner, et la j'en fume a peine
Un silence se fut dans la pièce.
Moi : bon il est temps de se lever
Zaim : bah vas-y lève toi
Je le regarde dans les yeux.
Zaim : tu sais que je te sent contre moi, que je sent ta poitrine écrasé contre mon torce, et puis je t'ai vu hier
Moi : c'est pas la même chose, hier il y'avait une bonne raison, et puis la lumière était éteinte
Il souffle, et met sa main droite devant ses yeux.
Zaim : vas-y lève toi
Moi : merci
Je prend un drap juste a coté et me leve doucement de son corp, et j'enroule le drap contre le mien. Et sort du lit.
Moi : c'est bon tu peu ouvrir les yeux
Il retire sa main de devant ses yeux.
Zaim : j'ai l'impression qu'une partie de moi même manque, retire ton drap et viens sur moi
Je lâche un rire.
Moi : je vais me doucher
Zaim : je viens ?
Moi : non
Zaim : trop tôt ?
Moi : trop tôt
Zaim : très bien
Je me dirige tout de suite vers la douche, je me brosse les dents et je prend un bain.
Une vingtaine de minutes plus tard je sort de mon bain, et me seche avec une serviette, il n'y avait plus de peignoir, donc j'entre ouvre la porte de la salle de bain, et je vois zaim assis sur le lit déjà doucher et torce nue.
Moi : zaim ?
Zaim : oui
Moi : apporte moi mes vêtement s'il te plait
Zaim : je te prend quoi
Moi : un short un t-shirt et des sous vêtement
Zaim : d'accord
Il va vers ma valise pendant que moi je m'avance vers le miroir, et me regarde dans celui-ci.
Il ouvre la porte quelques secondes plus tard.
Zaim : tu en as des surprise dans t'a valise, pourquoi tu n'en met pas ?
Je le regarde dans les yeux légèrement gêné.
Zaim : trop tôt ?
Moi : trop tôt
Il me tend mes vêtement et ressort de la salle de bain en fermant la porte.
Je m'habille et sort de celle-ci.
Je saute sur le lit, j'atterrie donc a coté de lui.
Il m'embrasse le front.
Moi : il est quel heure ?
Zaim : onze heure
Moi : ok
Zaim : tu voulais qu'on fasse quoi aujourd'hui d'ailleurs
Moi : bon aujourd'hui c'est moi qui paye tout, je le dit d'avance pas de débat
Zaim : comme tu veux madame khlifi
Un grand sourire s'affiche sur mon visage.
Zaim : sa te autant plaisir que sa d'être ma femme
Moi : évidemment
Il lâche un rire.
Moi : enfin bref, déjà on va s'habiller et on va manger
Zaim : oui
Moi : puis on va faire ce dont je t'ai parler hier
Zaim : mais c'est quoi ?
Moi : t'inquiète pas je suis sur que tu va aimer
Zaim : je te fait confiance, on s'habille comment
Moi : de sorte a être alaise
Zaim : d'accord
On se leve de notre lit, et on se dirige vers nos valise.
Je prend un t-shirt, et un k-way nike.
Zaim prend un t-shirt blanc et un short nike gris.
Je met mes air force, et lui aussi.
Puis on sort de la villa.
Zaim : on va manger ou ?
Moi : je sais pas franchement on aurai été en France j'aurai pris un kebab
Zaim : y'en a ici
Moi : ah bon ?
Zaim : oui, la dernière fois que je suis venu j'en ai trouver un c'est un algérien d'ailleurs
Moi : ah d'accord, on y va alors ?
Zaim : bah oui
On prend donc la route en direction du kebab.
~une heure plus tard°
On vient de fini de manger, et cette fois-ci c'est moi qui conduit.
Zaim : tu es certaine que je vais aimer ?
Moi : tu es courageux donc oui
Zaim : ah ! On a besoin d'être courageux pour faire ton activité la ?
Moi : oui
Il me regarde quelques secondes en essayant de deviner ou est-ce que je nous emmene, mais il a fini par abandonner.
Une vingtaine de minutes plus tard on arrive devant l'endroit.
Zaim : mais c'est un pont
Moi : c'est pas tout, viens descend
On descend donc tout les deux de la voiture, et en montant les escaliers il vois plusieurs personne, ainsi que des moniteurs au vu de leur tenu.
Zaim : non ? T'es pas sérieuse ?
Moi : bah pourquoi ?
Zaim : tu veux vraiment faire sa, le pont est très haut hein
Moi : je le sais sa, sa te derange pas toi ?
Zaim : bien sur que non
Moi : très bien alors
On va faire du saut a l'élastique.
Apres dix minutes d'attente c'est enfin notre tour, je me tien a lui en enroulant mes jambes autour de sa taille, on est bien sûr tout les deux attachés.
Et quand on est enfin prêt a sauter je lui dit.
Moi : avant de sauter je dois te prévenir d'un truc
Zaim : oui ?
Moi : l'élastique de la dernière personne qui a fait sa a craquer
Il fait les gros yeux.
Zaim : mais ça va pas ?
Moi : au ça va y'a de l'eau en bas, dans tout les cas on ne mourra pas
Zaim : au pire on a rien a perdre
Moi : voila, je t'aime
Il me regarde quelques secondes dans les yeux avec un grand sourire.
Zaim : moi aussi je t'aime
De la il recule jusqu'a ce qu'on tombe tout en bas.
On criait nos vie, c'était vraiment trop bien.
Les moniteurs nous remontent.
On l'a refait deux fois de suite puis on a décider de passer la journée a la villa.
On va donc se doucher un a un.
Moi : on va se baigner ?
Zaim : dans la piscine ?
Moi : oui
Zaim : d'accord mais a une seul condition
Moi : la quelle ?
Zaim : c'est moi qui choisi ton maillot de bain
Je reste silencieuse quelques secondes.
Moi : d'accord, mais n'exagère pas
Zaim : ne t'inquiète pas
Je m'assois sur le lit, et j'attend.
Il se retourne vers moi avec un petit sourire en coin.
Moi : oh non je crain le pire
Il me montre le maillot de bain qu'il a choisis, et c'est un bikini noir ⬇
Moi :c'est moi qui vais porter sa ?
Zaim : fallait pas le prendre si non
Moi : c'est les filles qui ont fait ma valise pas moi
Zaim : t'a accepter, il n'y a plus de retour en arrière, tien
Je souffle et je le lui prend des mains, puis je me dirige vers la salle de bain, et je le met.
Je ne voulais vraiment pas sortir.
Zaim : bah alors ?
Moi : j'arrive, j'arrive
Zaim : je t'attend en bas
Moi : vas-y
Je l'entend descendre, je prend un peignoir en soie noir, et le met.
Je sort de la salle de bain, et je commence a descendre en bas.
Je sort dans le jardin, et je vois que zaim avait la le dos tournée, j'enlève donc vite le peignoir, et je saute a l'eau.
Il se retourne vers moi.
Il me regarde avec un sourire en coin, qui montre qu'il avait compris ce que je voulais faire.
Il s'avance vers moi, et moi je recule.
Zaim : pourquoi tu recule ?
Moi : je sais pas, mais je sent que tu va faire quelque chose
Zaim : bah non
Moi : t'es sur ?
Zaim : oui et certain
Je m'avance donc aussi vers lui, il me rapproche de son corp et mes ses mains autour de ma taille.
On se regarde tout les deux dans les yeux, j'étais tellement concentré sur ses yeux, que je ne m'était pas rendu compte, qu'il nous avançait vers le coté le plus profond.
J'étais donc obliger de mettre mes jambes autour de sa taille, quant a lui il redescend ses mains vers mes fesses.
Moi : tu prend pas un peu trop la confiance toi ?
Zaim : on est marié, j'ai tout mes droit
Moi : pas tant que je suis pas d'accord
Zaim : tu va me faire croire que sa te dérange que je mette mes mains la ou elles sont en ce moment
Moi : j'ai dis sa ?
Zaim : c'est bien ce que je croyais, t'es belle, tu sais ?
Moi : oui tu me l'a déjà dit
Zaim : habiller comme sa t'es encore mieux
Moi : eh ! C'est bon plus jamais je m'habille de cette façon, profite parce que sa sera la dernière fois
Zaim : tu va y prendre gout, de t'habiller comme sa devant moi tu verra
Moi : on verra bien
Il me retourne et me met contre le mur, je dépose dans mes bras autour de son coup.
Moi : j'ai eu une idée
Zaim : la quelle ?
Moi : je voulais qu'on aille en Algérie la dernière semaine de notre lune de miel
Zaim : y'a pas de problème je pourrais te présenter a ma famille
Moi : et moi a la mienne, de plus je te ferai visiter tizi Ouzou, et Bejaia
Zaim : comme tu veux
Moi : on reste deux jours a Alger, deux jours a tizi Ouzou et le reste a Bejaia, toi tu me fera visiter Alger
Zaim : attend attend je connais pas parler kabyle moi
Moi : ils comprennent tous l'arabe, et ils le parlent très bien, mais je vais pas te cacher, qu'ils vous détestent
Zaim : mais pourquoi ?
Moi : on a pas tous la même vision des choses, tu sais ? Pour nous, les arabes ont détruit notre peuple, dit toi qu'on était tous un peuple unis, un seul et très grand pays, la Numidie, et on était tous des kabyles sans exception, après leur arrivés sa s'est divisé en deux clans les arabes et les kabyles, notre pays est devenu arabes, ils ont refusées qu'il y est notre langue natale dans les école, on les a donc détestées, on faisaient beaucoup de manifestation, mais elles n'ont abouties a rien, moi je vous considères tous comme des kabyles, mais les miens ne voient pas les choses comme moi je le fait, pour eux vous êtes les personnes qui ont détruit notre peuple
J'avais fini de parler, mais il a continuer a me regarder.
Moi : zaim ?
Zaim : oui, t'a fini ? Mais non continue
Je lache un rire.
Moi : mais pourquoi ?
Zaim : ton regard est différant quand tu parle de ton peuple, on vois bien que cette histoire te fait du mal, mais tu as comme même beaucoup d'admiration pour les tiens, tu as les yeux qui brilles quand tu parle de la Kabylie, tu as tellement l'air appliqué dans ton histoire, que j'ai voulu que tu continue, je veut que tu ai les mêmes yeux quand tu me parle, ou quand tu parle de moi youssra, parce que c'est admirable
Je n'ai pas pu mon empêcher, j'ai rapprocher sa tête de moi, et je l'ai embrasser.
Il a bien sur répondu a mon baiser, une trentaine de secondes plus tard, on se détache l'un de l'autre tout en laissant nos font collé l'un a l'autre.
Il mes ses bras autour de ma taille et me serre contre lui, quant a moi j'enroule les miens autour de son coup, et le serre contre moi.
~quatre jours plus tard°
La semaine en Thaïlande vient tout justement de finir, on prendra l'avion pour l'Algérie a 00h00 pour arriver a 13h.
Il est actuellement 19h34 et on prépare nos affaires.
Moi : on verra qui en premier ta famille paternelle ou maternelle ?
Zaim : on verra seulement ma famille maternelle, avec l'autre...on va dire qu'on ne s'entend pas très bien
Moi : d'accord
Zaim : et toi alors ?