Hi! J'espère que vous allez bien?
Merci infiniment pour vos commentaires sur le chapitre précédent! On se retrouve aujourd'hui pour le chapitre 8 qui, j'espère, vous plaira! J'aime tellement écrire cette histoire et encore plus la partager avec vous alors merci pour tout!❤️
...
CHAPITRE 8
☀
(Alone With Me_Vance Joy)
LOUIS.
Il est bientôt dix-sept heures lorsque je sors de mon camping car. Je referme la porte derrière moi avant de ranger les clés dans une des nombreuses poches de mon cargo noir. Je me suis dit que ça serait plus agréable qu'un short pour la balade à cheval. J'ai enfilé avec un t-shirt blanc classique.
Je me retourne pour commencer à me diriger vers l'accueil du camping mais je sursaute presque en découvrant grand-père planté derrière moi. Il sourit en voyant ma réaction et ne peut s'empêcher de me lancer:
« Je sais que je vieillis mais je ne pensais pas faire peur à ce point.
-Mais non. Tu es le papy le plus beau gosse du camping.
-Je vais éviter d'en sortir, alors. »
On rit tous les deux et j'avance vers grand-père en lui disant:
« Je vais à l'accueil, tu me suis?
-Oui. J'allais justement chercher ton père, on a prévu de se faire un barbecue ce soir et il voulait qu'on fasse quelques courses. Tu te joins à nous?
-Evidemment. Je serais rentré pour dix-neuf je pense.
-Où vas-tu?
-On va faire une balade à cheval avec Cléo, Rafael, Léo, Harry et sa petite soeur Zoé.
-Harry? » Il relève, semblant réfléchir un instant.
« C'est un garçon qui est arrivé en début de semaine avec sa famille. Ils viennent de Normandie.
-Oh, oui, la famille qui fait construire au Grau Du Roi.
-C'est ça.
-C'est gentil de ta part de l'aider à s'intégrer à ton groupe d'amis.
-Je ne sais pas si c'est ce qu'il dirait aussi. » Je pouffe en me décalant pour laisser une famille en vélo passer.
« Pourquoi ça? » Sourit grand-père.
« On va dire que jusqu'à maintenant, je lui impose un peu ma présence.
-Ça devrait le flatter alors. Ça veut dire que sa compagnie est agréable. »
Je ris malgré moi. Si la compagnie d'Harry est agréable? Il a une répartie qui pourrait me blesser parfois mais qui m'amuse surtout, parce que j'aime beaucoup son second degrés. Je crois que si je ne parlais pas, il resterait plongé dans son livre sans s'inquiéter une seule seconde de ma présence. D'ailleurs il n'hésite pas à me le faire comprendre lorsque je le dérange. Mais il n'arrive pas toujours à cacher ses discrets sourires qui me prouvent que je le dérange moins que ce qu'il tente de me persuader. Ou de se persuader. Et moi je me surprend à apprécier l'idée de passer du temps avec lui et avec Zoé. Cette gamine est très intelligente. Son discours sur le fait d'avoir peur de tomber amoureux me l'a prouvé. J'ai tenté de ne rien laisser paraître, comme j'ai pris l'habitude de le faire depuis le divorce soudain de mes parents, mais ça m'a touché plus que je ne le pensais.
Parce qu'elle a visé juste sans le savoir.
Je chasse rapidement cette pensée en même temps que mon grand-père reprend:
« Vous allez faire la balade avec les chevaux de Mickaël ?
-Oui. Je l'ai contacté et il était content de savoir que je venais avec des amis.
-Tu lui passera le bonjour et tu lui diras de le passer également à ses parents.
-Je le ferais. »
Je souris à grand-père et nous traversons une nouvelle allée avant d'arriver à l'accueil du camping. Lorsque nous y entrons, je remarque que tout le monde est arrivé. Cléo et Rafael sont accoudés au comptoir, discutant avec mon père. Zoé est accroupis près de Falcon, le caressant sous le regard attendri de Léo. Puis mon regard glisse un peu plus loin, sur Harry qui tient la lanière de son sac à dos, regardant furtivement les photos accrochées au mur. Je remarque que son nez et ses joues sont plus rouges que d'habitude et ce détail me fait sourire sans que je ne puisse le contrôler. Apparement il a prit le soleil durant la visite du grau du roi avec ses parents.
« Et voilà le retardataire, comme d'habitude! » Lance Rafael en me voyant.
« Désolé mais j'ai dû aider une personne âgée à traverser. » Je répond en pointant grand-père du doigt.
« Si je n'étais pas un homme rempli de sagesse je te dirais que tu es un petit con. » Répond papy en tapotant mon épaule.
Mon père rit derrière le comptoir et, lorsque je tourne la tête vers Harry, je vois ce dernier me regarder avec un sourire amusé.
« J'étais en train de dire à Cléo que tes amis pourraient se joindre à nous pour le barbecue. » Déclare mon père.
« Et j'étais en train de répondre que je voulais participer aux courses si c'était le cas. » Ajoute mon amie.
« Mais ton père était en train de nous dire qu'il refusait qu'on participe à quoi que ce soit. » Intervient Rafael.
Je ris, parce que ça ne m'étonne pas de la part de mon père. Et, tout en décidant d'entrer dans leur jeu, je tourne la tête vers Harry pour lui demander:
« Et toi? T'étais en train de dire oui ou non? »
Il sourit légèrement avant de regarder mon père et de répondre presque timidement:
« Je veux juste pas déranger si vous êtes déjà beaucoup...
-Oh mon garçon, s'il y a assez pour nous il y a assez pour toi aussi. Et ta petite soeur si elle décide de te suivre.
-Elle viendra. Il y a Falcon. » Je répond en regardant Zoé qui relève la tête.
« S'il y a Falcon, je viens. Hein, on vient Harry? »
Harry la regarde avant de me regarder à mon tour. Je souris en coin et il sourit tout en retroussant son nez, comme pour se retenir de sourire encore plus. Je crois qu'il a comprit maintenant que je sais me servir de Falcon et Zoé afin de le faire venir lui aussi.
« On viendra oui, merci en tout cas.
-Avec plaisir. » Répond mon père. « Tout le monde mange de tout? »
Mes amis acquiescent et, alors que Cléo et Rafael partent dans un débat sur les merguez piquantes ou non, j'en profite pour me rapprocher d'Harry, faisant signe à papy de me suivre.
« Harry, je te présente mon grand-père Augustus. Papy, voici Harry.
-Enchanté monsieur. » Dit poliment Harry en serrant la main de mon grand-père.
Ce dernier lui sourit et répond:
« Juste Augustus. Ça suffit largement. »
Puis, sans que je m'y attende, mon grand-père rajoute:
« Mon petit-fils m'a fait comprendre que tu étais d'une bonne compagnie. »
Mes yeux s'écarquillent et mes joues se mettent à chauffer sans que je ne puisse le contrôler. Et lorsque papy me lance un regard, je comprends qu'il est tout simplement en train de se venger de ma précédente blague sur la personne âgée. Il me sourit innocemment alors que, Harry, lui, me lance un regard surpris avant de regarder de nouveau grand-père. Il semble ne pas savoir quoi répondre et je me surprends à ne pas savoir quoi dire non plus. Ce qui ne m'arrive pas souvent. Pourtant, il n'y a rien d'exceptionnel à la remarque de papy. Alors pourquoi j'y entend un sous-entendu? Pour je me crée ce sous-entendu?
Comme s'il pouvait entendre mes pensées, Papy décide de ne pas me torturer plus longtemps en lançant à Harry qui ne semblait toujours pas quoi répondre:
« J'ai vu que tu regardais les photos du camping?
-Oh, oui. » Se reprend Harry en regardant le mur à côté de lui. « Il y en a des très vielles on dirait.
-Je ne sais pas comment le prendre puisque je suis sur ces photos.
-Quoi? Non! Enfin, je voulais pas dire ça je...
-Tu vois pas qu'il fait exprès de t'embêter? » Je coupe Harry dans sa panique, m'approchant de lui.
J'entends grand-père rire derrière moi et Harry le regarde avant de rire à son tour et de baisser la tête pour murmurer, afin que seul moi l'entende:
« C'est de famille alors... »
J'ouvre un peu plus les yeux, un sourire naissant aux coins de mes lèvres lorsque Harry tourne de nouveau la tête vers les photos, ne s'arrêtant pas de sourire pour autant. Puis ses yeux se posent sur une photo en particulier et mon coeur se serre malgré moi. J'espère secrètement qu'Harry passe à une autre mais il ne le fait pas. Il regarde cette photo de mes parents enlacés devant le camping, avec moi dans leurs bras. Je dois avoir trois ou quatre ans. Mes bras sont enroulés autour de la nuque de ma mère qui embrasse ma joue alors que mon père nous sert tous les deux contre lui. Juste à côté, il y a une photo de nous trois mais plusieurs années après. On l'a prise il y a deux ans et on l'avait mise là parce qu'on trouvait la comparaison avec la première photo touchante. Sur celle-là, je pose au milieu de mes parents qui ont tous les deux passé un bras autour de moi. Et ma mère m'embrasse toujours la joue.
Je déglutis difficilement et, lorsque je tourne la tête vers grand-père, je remarque qu'il ne sourit plus non plus, surveillant ma réaction lorsque Harry me demande soudainement:
« Est-ce que c'est ta mère? Je ne l'ai jamais vu au camping. »
Je lâche le regard de grand-père pour retrouver celui d'Harry. Ce dernier sourit toujours, ne se doutant pas une seule seconde que cette simple question est la raison de cette boule naissant au fond de ma gorge. Mais il pourrait commencer à se poser des question en recevant en premier temps le silence comme simple réponse. Il lance un discret regard à mon grand-père avant de me regarder à nouveau, son sourire se fanant légèrement. Et c'est en voyant sa réaction que je décide de rapidement retrouver le sourire, même s'il n'est pas vraiment sincère, avant de lui répondre simplement:
« Oui c'est ma mère mais elle ne travaille plus ici.
-Oh, d'accord. » Il répond, n'insistant pas mais gardant son regard ancré dans le mien.
Et c'est comme s'il y cherchait plus de réponses silencieusement. Mais je ne peux pas lui en vouloir d'avoir compris que quelque chose n'allait pas. Parce que je pense l'avoir compris moi aussi à midi lorsque nous étions au bar et qu'on leur a demandé, à Zoé et lui, pourquoi ils avaient quitté la Normandie. Je me fais peut-être des films mais j'ai bien vu la façon dont le visage d'Harry s'est fermé à cette question. Tout comme j'ai vu les regards que Zoé lui a lancé avant de répondre comme si de rien n'était. Elle a dit que c'était parce que leurs parents voulaient découvrir nos oiseaux roses. Ça a fait rire tout le monde. Mais Harry, lui, souriait presque tristement en regardant sa petite soeur.
Harry aussi semble avoir des réponses un peu trop douloureuses à prononcer.
Et même si je suis curieux, même si peux être indiscret et envahissant, je ne me permettrais pas de forcer sur le sujet après avoir interprété les réactions d'Harry. Peut-être ai-je mal interprété. Mais dans le doute, je ne préfère pas vérifier.
Je me surprend également à ne pas vouloir prendre le risque de le faire fuir.
Sûrement parce que papy avait raison.
Même si je ne saurais l'expliquer, j'aime beaucoup la compagnie d'Harry.
Je décide donc de chasser les mauvaises pensées et retrouve un sourire sincère lorsque je regarde Harry en même temps que j'annonce à tout le monde:
« On devrait y aller si on ne veut pas être en retard.
-Dit-il. » Pouffe Rafael.
« La ferme. » Je ris. « On prend ta voiture et la mienne?
-Ça me va. Qui monte avec qui? »
On se regarde tous, se questionnant silencieusement du regard. Mon regard croise celui de Cléo et, après avoir regardé Harry derrière moi, elle propose de façon détachée:
« Léo et moi avec Rafael et Harry et Zoé avec Louis?
-Ça me va. » Sourit Léo.
« J'espère que tu conduis bien. » Me lance Zoé en venant se mettre devant moi.
Je souris et ébouriffe ses boucles blondes, la faisant rire et râler en même temps.
« Je suis sûr que je conduis mieux que ton frère. » Je réponds.
« En conduite accompagnée il s'est prit un trottoir. » M'avoue Zoé.
Harry écarquille les yeux avant de se défendre:
« C'était serré et j'essayais de ne pas me prendre le trottoir de droite.
-Mais tu te l'es pris quand même? » Je demande en fronçant les sourcils.
Harry secoue la tête avant de marmonner, espérant sûrement que je ne l'entende pas:
« Non... Je me suis pris celui d'en face. »
Je ne retiens pas le rire qui s'échappe d'entre mes lèvres tandis que Harry soupire, retenant un sourire, avant de sortir de l'accueil en même temps que mes amis qui viennent de dire à tout à l'heure à mon père et mon grand-père. Zoé fait de même, caressant une dernière fois Falcon avant de se mettre à courir pour rejoindre son frère.
« A ce soir! » Je lance à mon tour en regardant mon père et papy.
« Amusez-vous bien! »
Lorsque je sors de l'accueil pour rejoindre les autres sur le parking, je ne peux m'empêcher de rire en voyant que Rafael, Cléo et Léo sont déjà monté en voiture tandis que Harry m'attend, les bras croisés sur son torse et Zoé juste à côté de lui.
« Tu voulais fuir sans savoir quelle est ma voiture? » Je me moque en arrivant devant lui.
Il ouvre la bouche pour me répondre mais je le coupe aussitôt en lui disant:
« Vous voyez la Ferrari là-bas? »
Harry et Zoé se retournent pour voir la Ferrari en question que je montre du doigt. Harry ouvre un peu plus grand les yeux, surpris, et je me mord la lèvre pour me retenir de rire.
« Elle est trop belle! » S'exclame Zoé.
« On est d'accord. » Je souris en nous faisant avancer vers la voiture.
Harry continue de la regarder, impressionné. Puis, alors qu'on arrive vers le coffre de cette dernière, je rajoute naturellement:
« La mienne c'est la C2 à côté. »
Zoé et Harry froncent les sourcils en me regardant tandis que je ris en sortant de ma poche les clés de ma voiture.
« Bah quoi? Je vous ai juste demandé si vous voyez la Ferrari.
-Je préférais la Ferrari. » Avoue Zoé.
Je ris et lance un coup d'oeil à Harry qui lève les yeux au ciel, amusé ou exaspéré par ma blague, je ne sais pas trop. Sûrement les deux. Comme ma voiture n'est qu'une deux portes, Harry doit baisser le siège passager pour laisser entrer sa soeur qui se plaint directement de la chaleur.
« Désolé, je la met à l'ombre à côté de mon camping car d'habitude mais on est allé boire un verre avec Cléo et Rafael cet aprem alors je l'ai garé là en sachant qu'on allait repartir. »
J'ouvre rapidement les fenêtres en me laissant retomber derrière le volant brûlant, ayant peut-être oublié également de prendre le temps de mettre un pare soleil. Ou peut-être aussi que j'avais juste la flemme. Harry s'installe donc à mes côtés et son regard se pose directement sur le petit canard jaune suspendu à mon rétro viseur.
« Sérieusement? » Il pouffe.
« N'ose même pas juger coincoin.
-Coincoin?
-C'est son nom.
-Un canard qui s'appelle coincoin.
-Parce qu'il fait vraiment coincoin. »
Sur ces mots, j'enroule mes doigts autour du petit canard pour appuyer sur ses ailes. Des coincoincoin se mettent alors à retentir en même temps que son bec s'illumine. Et oui, il fait aussi lampe torche. Je regarde fièrement Harry et il ne peut s'empêcher de sourire en secouant la tête.
« J'adore. » Avoue Zoé derrière nous.
« Ah, merci! » Je réponds en mettant enfin ma ceinture de sécurité.
Puis je quitte enfin le parking pour retrouver la route. J'allume la radio et en profite pour demander à Harry et Zoé comment s'est passé leur après-midi au Grau Du Roi. Sans surprise, c'est Zoé qui me répond en se mettant à me raconter tout ce qu'ils ont fait dans les moindres détails. J'ai rapidement remarqué que, si Zoé parlait autant, c'est aussi parce qu'elle sait que son frère ne le fera pas. On dirait une sorte d'entente, consciente ou non. Elle me raconte leur balade, les glaces qu'ils ont mangé et quels goûts elles avaient. Elle me parle de la peluche flamant rose que ses parents lui ont acheté et des bateaux de pêche qui se faisaient suivre par des mouettes et des goélands.
Alors qu'elle me raconte tout ça, je ne peux m'empêcher de lancer un coup d'oeil vers Harry. Ce dernier a la tête tournée vers la fenêtre, regardant silencieusement le paysage défiler sous ses yeux. Des paysages qui lui sont inconnus mais qui sont devenu son nouveau chez-lui depuis le début de la semaine. Je me doute que c'est trop peu pour s'y habituer. Je ne sais même pas si c'est ce qu'il voulait. Et je n'ose pas vraiment lui demander.
A la place, je lance à Zoé:
« Harry a prit un beau coup de soleil au nez durant cette balade, en tout cas.
-Maman lui avait pourtant dit de mettre de la crème solaire! » Elle balance, amusée.
Harry se retourne vers sa soeur comme pour la menacer du regard mais, rapidement, ils se mettent à sourire tous les deux. Leur complicité est plus forte que tout et, étant fils unique, je trouve ça touchant. Si j'avais dû avoir un frère ou une soeur, j'aurais aimé avoir une relation comme la leur.
« J'attends. » Dit soudainement Harry en me regardant.
Je fronce les sourcils en lui répondant:
« T'attends quoi?
-Que tu te moques de mon coup de soleil. »
Je souris en regardant la route, lâchant un léger rire au passage.
« C'est mal me connaître. » Je réponds innocemment.
« Je pensais pourtant commencer à me faire une idée. »
Sa réponse me fait un peu plus sourire et je ne le regarde toujours pas lorsque je lui dis:
« Je ne me moquerais pas. Pas cette fois.
-Ah bon? Et pourquoi? » Il me répond en tournant la tête vers moi.
Je vois alors un sourire ironique prendre place sur son visage en même temps qu'il attend ma réponse. Et cette dernière me vient sans que je ne puisse le contrôler:
« Parce que le soleil te va bien. »
Toute ironie s'évapore de son sourire, laissant place à la surprise. Et je dois avouer que je le suis aussi. Surpris par ma propre réponse mais surtout par la sincérité que j'y est mis naturellement. Mon sourire amusé disparaît peu à peu et mon regard s'ancre dans celui d'Harry, faisant naître une douce chaleur au creux de mon estomac. Rapidement, je détourne le regard pour de nouveau me concentrer sur la route. Du coin de l'oeil, je vois Harry tourner la tête à son tour, se concentrant à nouveau sur le paysage et m'empêchant de voir son visage.
Puis mes yeux se lèvent vers mon rétroviseur.
Croisant le regard de Zoé qui sourit discrètement.
...
J'espère que ce chapitre vous aura plu?
Dans le prochain chapitre on arrive ENFIN à la balade à cheval et j'espère que ça vous plaira!
Je vous dis alors à mercredi et encore merci pour tout.❤️