tw self harm et sang
océan salé au creux du cou,
les mains mouillées par ses larmes d'argent
comme du sang séché
qui tâche mon corps violet.
sa lumiere dérobée bat comme mon coeur.
qu'à moitié, de luciole à nuit infinie,
de phare dans la tempête à l'ombre éternelle qui englouti les passants les soirs
où la lune s'évanouit à travers les avenues.
c'est comme une histoire sans fin
que je grave inlassablement sur ma peau noyée par le flot écarlate de mes veines.
tous les jours ont la même couleur,
t'essayes de me sauver la vie
mais je sais pas si tu peux.
j'ai peur de l'avoir perdu
et de ne jamais plus le retrouver.
(son sourire qui me dit qu'il m'aime)
if you want to leave,
please do
even if i beg you
even if i cry and cry until the world seems incredibly fuzzy
and beg you one last time,
with a soft and broken voice
for you to stay