On arrive au bureau et sur la route avec Mohamed on ne faisait que prendre des snaps c'est lui qui insistait pour que je les prennes mdr.
Le portier viens nous ouvrir et tout le monde aux alentours nous regardait.
Je me précipite vers l'entrée mais Mohamed me rattrape et enlace nos doigts avant d'entrer tout les regards étaient posés sur nous alors j'étais intimidé et je me suis mis à trembler et Mohamed le remarque alors il me sert contre lui déposant ma tête sur son torse.
Bizarrement je me suis sentis comme protégé dans ses bras.
Il me dirige vers mon bureau.
— T'as peur des regards?
— Oui et t'avais pas à me prendre dans tes bras. Si tu ne l'avais pas fais ils ne m'auraient pas regardé.
— C'est toi qui veut jouer le jeu devant les autres non?
— Oui mais pas au bureau.
— Du coup moi je ne te suis plus. Tu veux faire semblant oui ou non.
— Oui mais pas quand il y a trop de monde.
— Du coup si tu ne fais pas semblant devant les autres tu vas faire semblant quand on sera que nous deux? Je pense que toi même t'es perdu alors reviens me voir quand t'auras les idées en place.
Il sort du bureau me laissant seul.
Je prend un bon coup d'inspiration.
Sofia débarque dans mon bureau.
— Une petite dispute de couple? Il avait l'ère un peu énervé en sortant.
— Bipolaire ce type!
— Hum sinon ça vas?
— Oui oui c'est juste les regards qui m'effraient rien d'autre.
— Mais normal qu'ils vous regardent vous êtes tellement mignon avec vos blancs là et vous étiez enlacés wesh.
— T'étais pas là comment tu sais tout ça?
— Sénégalais rek! Ils ont pris des photos et l'ont déjà posté sur le net.
— Tu blagues?
— Regarde par toi même!
— Oh punaise! Dis-je en m'écroulant sur mon bureau.
— Ça vas tu vas t'y habituer. Et ce voyage alors. Raconte moi tout ce que j'ai raté.
Je lui raconte tout. Sebastien, les bêtises de Mohamed et notre accord.
— Et si il était vraiment amoureux de toi?
— Impossible je te dis! Il a un cœur en pierre cet homme ne tombera jamais amoureux de sa vie.
— Ile ne faut jamais dire jamais.
— Moi je penses plutôt qu'il veut juste me perturber.
— Hum le temps nous le dira.
— Mhm!
— Sinon tu pars t'excuser ?
— Pour?
— C'est toi qui est en tors quand même lui il n'a fait que ce que tu lui as demandé.
— Pff!
— Allez vas-y !
— Ok c'est bon! J'y vais après je dois lui donner des dossiers je lui parlerais à ce moment.
— D'accord! Moi j'y vais avant qu'on ne réduise mon salaire.
— Réduire ?
— Bah ouais monsieur réduit le salaire de tout les employés qui fassent mal leurs travails ou arrivent en retard au bureau mais toi en tant que madame Seck tu n'en fera peut-être pas parti.
— Ouais c'est ça.
Elle s'en vas et je me mets au travail.
Après avoir terminé les documents nécessaires que je dois lui remettre je me dirige vers son bureau en passant devant ma soeur. ( le bureau de ma soeur est juste à l'entrée de celui de Mohamed.)
J'entre sans toquer ce que je pense regretter.
Pdv Mohamed Seck............
Cette fille là je jure qu'elle est dingue. Je fais tout pour garder mon sang froid mais elle me soûle frère. Déjà que j'essaye de supporter de voir sa tête tout les jours mais elle me dit de faire ceci et moi qui le fait en jouant au canard elle me dit non c'est pas ce que je veux. Et puis quoi? Folle à liée je jure.
Je me mets au boulot et quelques temps après ya cette conne là qui se présente à moi.
Et puis quoi encore c'est quoi cette journée de merde?
— Suis pas d'humeur alors va t'en.
— Faut qu'on parle.
— Zeyna les faits sont simple je me suis marié à la femme que j'aimais et puis basta va voir ailleurs un homme qui saura t'aimer.
— Mais moi c'est toi que j'aime et je refuse de croire que t'es tombé amoureux de cette femme.
— Pourquoi ?
— Juste parce qu'elle n'est pas faite pour toi. Elle n'est pas plus belle que moi, ni plus coquine, ni plus intéressante alors je ne comprends pas ce que tu lui trouves.
— De un en therme de beauté tu ne lui arrives pas à la cheville, de deux quand on parle de coquine on ne compare pas une algérienne à une Sénégalaise et de trois, Zeyna, elle est mille fois plus intéressante que toi my got si tu savais à quel point t'es ennuyant. A présent que t'as les réponses à tes questions fiche moi la paix.
Elle s'avance vers moi et retourne ma chaise.
Elle se mît sur mes cuisses et me prends le décolleté.
— Zeyna je ne veux pas être malpoli avec toi mais là tu exagères.
— Entre une algérienne et une Sénégalaise le choix se fait rapidement. Juste que tu n'as pas encore goûté une algérienne.
Même pas que je parle qu'elle m'embrasse.
Ça serait méchant de ma part si je disais qu'elle ne savais pas embrasser.
Je réponds à son baiser en la tenant par la taille.
Quoi? Je suis un homme avant tout me juger pas.
Elle entoure ses mains à mon cou et m'embrassais sauvagement comme si sa vie y dépendait.
En même temps elle a plutôt l'air savoureuse alors pourquoi ne pas tenter.
Je me lève avec ses jambes autour de ma taille et l'installe sur le canapé en me mettant sur elle.
Mais malchance Eva entre dans le bureau.
Génial deux plans gâchés.
Je ne vais plus pouvoir baiser cette conne et elle non plus ne va pas croire à mon sois disant amour pour elle.
Elle reste choqué à nous regarder.
Zeyna : On t'as pas appris à frapper ? Et puis sort tu vois bien qu'on est occupé.
Eva ferme la porte et croise les bras sous sa poitrine.
Génial ! Laisse moi finir man laisse moi finir. J'allais déballer un nouveau paquet mais fallait que tu montres ta tête de dragonne là. Putain!
Je me lève de Zeyna et arrange mes cheveux.
Elle fait de même.
Eva : Désolé du derangement hein c'est pas fait exprès.
Zeyna : Et puis t'attend quoi déjà pour sortir. Tu veux être viré peut-être ?
Eva la regarde de haut en colombes et sourit.
— Laisses moi deviner... Zeyna c'est bien ça? Ouais la pop colle !
— Pardon? Tu t'es crue où à me parler comme ça? Dit-elle en criant presque.
— Zeyna parle lui meilleur c'est ma femme!
Elle regarde Eva choqué.
— Ta quoi?
Eva : T'as les oreilles bouchés peut-être ?
— Impossible cette chose là ne peut pas être ta femme. Un peu de logique voyons.
Eva : Merci d'être passé tu peux partir à présent.... Oh *en me regardant* ou bien il ne t'as pas encore payé ?
À quoi elle joue là ?
Zeyna : Je t'ai l'ère d'une pute?
Eva : Tu n'en est pas une alors je m'excuse. Juste que j'ai trouvé mon mari entrain de soulager sa colère avec une autre femme après s'être disputé avec sa femme chérie.
Zeyna : C'est ce que tu veux croire ma belle mais si il était dans mes bras c'est parce qu'il en mourait d'envie rien d'autre. Peut-être bien qu'il t'as épousé mais il ne t'aimera jamais c'est clair.
— Oh tes parents ne ce sont pas marier par amour? Parce que moi et Mohamed on s'est vraiment marié par amour.
Moi : Bon ça vas arrêter moi ça.
Eva : Qu'elle s'en aille on doit parler. Dit-elle en déposant les dossiers qu'elle avait sur la table.
— Zeyna laisse nous s'il te plaît!
— Tu me renvoie au lieu de la renvoyer elle?
Eva s'avance jusqu'à moi caresse ma barbe de trois jours et s'installe sur ma siège en se balançant.
Ok!
— Évite moi le scandale s'il te plaît et pars!
— Qu'est-ce qu'elle a cette fille que je n'ai pas?
— Moi! Elle m'a moi et mon amour! Ce que toi tu n'as pas. Alors maintenant dégage.
— M... mais ya quelques minutes t'allait coucher avec moi.
— Dans un bureau! Elle toutes les nuits c'est elle qui se glisse dans mon lit. Alors s'il te plaît arrête de te torturer toi même et laisse nous tranquilles tu veux. Dehors!
Elle se mit à pleurer et sors.
Je me retourne vers l'autre là.
— *sourire* Alors comme ça monsieur est amoureux ? Drôle de manière d'aimer tu ne trouves pas?
— J'étais fâché alors je ne savais pas ce que je faisais.
— L'excuse parfait de tout les mecs. Bref! Dit-elle en se levant. J'étais venue t'apporter ces dossiers dont tu as besoin et m'excuser de mon comportement de tout à l'heure.
— Je te pardonne si tu me pardonnes.
— Oh mais je n'ai rien à te pardonner. Je te comprends il ne se passe rien entre nous alors normal que tu ailles voir d'autres qui ne te le refuse pas. T'es un homme et t'as des besoins en tant que telle mais s'il te plaît, évite de le faire dans ton bureau ou des endroits où les gens pourront te voir. Sois juste discret au pire des cas achète un appart pour ça.
— Alors la suis choqué ! Une femme qui demande à son mari de s'acheter un appart pour baiser?
— Juste que je suis compréhensible.
— Mhm! Et toi alors? T'as pas des besoins en tant que femme.
— *sourire* Je pourrais faire la même chose que toi!
Je sers son cou instantanément.
— Je n'y blague même pas. Ce qui est à moi est à moi et personne n'a le droit de le toucher.
— Lâche moi!
Je la lâche.
— Penses à me tromper et je te tue!
— C'est pas vraiment de la tromperie !
— A mes yeux si. Suis amoureux de toi et je ne cesse de te le répéter.
— Et moi je ne m'en lasserais de te dire que je ne te crois pas. Dit-elle en voulant sortir mais je lui retiens le bras et l'attire vers moi en une fraction de seconde en la tenant par la taille.
On étais si proche son souffle chaud sur moi, nos lèvres à quelques centimètres.
Je lui souffle doucement à l'oreille.
— Tu finiras par tomber amoureuse de moi si tu ne l'es pas déjà.
Je lui mordille le pavillon de son oreille et elle en frissonne.
——————————————————————————
Votez commentez partagez !
Abonnez vous!