𝕷𝖊𝖎𝖑𝖆: ℭ'𝔢𝔰𝔱 𝔩𝔢 𝔡�...

By iammahera

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Selem aleïkoum. Je m'appelle Leïla, 19 ans, algérienne et je viens de Marseille. C'est mon histoire. Mon pass... More

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Flashback
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Récapitulatif De L'histoire :
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By iammahera

•Chapitre 70•

~Fares~

J'ai coupé le contact et verrouillé les portes.

- Arrête ça.

Farah: Ah t'es mon père ? Il fallait me le dire plus tôt.

- Je me répéterai pas.

Farah: J'en ai rien à foutre de ce que tu veux.

J'ai tourné mon rétro intérieur pour l'avoir dans mon champ de vision. Elle me regardait très salement, comme durant tout le reste du trajet.

- Et t'en as rien à foutre de ce que lui pourrait penser ?

Elle m'a lancé un regard meurtrier.

Farah: Ne parle pas de lui sale fils de ch-

- Ferme ta gueule et réfléchis à ce que t'est en train de faire parce que t'agis comme une enfant. T'as six ans peut être ? Grandis.

Elle a croisé les bras en se radossant au siège, toujours avec la même colère dans les yeux qui l'était destinée.

Farah: Je sais très bien ce que je fais. Arrête de faire comme si tu t'inquiétais pour moi, ça fait pitié. T'essaies de soulager ta conscience en me disant d'arrêter ou bien tu penses que j'étais si désespérée au point de me lancer dans la première idée qui m'est venue à l'esprit sans réfléchir ?

Je ne me rappellais pas qu'elle parlait autant avant. En même temps je lui disais à peine selem à l'époque.

- J'ai ni conscience à soulager, ni inquiétude pour toi. Te donnes pas trop de considération, t'en vaux pas la peine.

Le choc, le dégoût et la rancœur se sont suivis sur son visage. J'imaginais déjà les insultes qui devaient traverser son esprit et j'avoue que je les méritais cette fois. La dernière fois aussi. Toutes les autres aussi en fait. Mais c'est pas le sujet.

Farah: Pardon ? Es ce que t'es vraiment sérieux ?

Et puisqu'elle est du genre à s'énerver rapidement, elle n'a pas tarder à vouloir hurler.

Farah: MAIS COMMENT TU-

- Commence pas à vouloir crier. Je sais pas pour qui tu me prends, t'as cru que je te disais ça parce que j'ai des regrets ?

Elle était tellement énervée qu'elle commençait à avoir les yeux humides. Elle n'allait pas tarder à pleurer et à balancer des coups n'importe comment.

Et j'avais autre chose à faire que gérer ses états d'âme.

- Tu vas arrêter ce que tu fais et tu diras à Selim de revenir ici rapidement. J'imagine qu'il a autre chose à faire que me suivre comme un chien là où je vais. Je compte sur toi pour faire passer le message.

J'ai déverrouillé les portières.

- Maintenant rentre chez toi.

Ses larmes coulaient à flots tandis qu'elle ouvrait sa portière. Je l'ai vue essuyer ses yeux une fois dehors puis contourner la voiture jusqu'à se planter devant ma vitre.

- Quelque chose à ajouter ?

Farah: Si on avait su comment t'étais réellement et les coups bas que tu allais nous faire, tu serais resté dans ta ville à pleurer la mort de ton père comme la pute que t'es.

Le canon de mon glock n'a pas tardé à se retrouver posé sur son front.

- T'as toujours eu de la bouche, mais là c'est pas le bon moment. Ferme ta gueule et rentre chez toi sans faire d'histoires. Et range tes larmes si tu veux être crédible.

Elle me défilait du regard, le menton relevé. Elle pleurait toujours mais la peine n'était qu'en second plan dans ses yeux.

Farah: Vas-y. Appuie. Tu crois que j'ai peur ?

J'ai enlevé la sécurité.

- Rentre chez toi bouffonne.

Elle était déterminée à avoir le dernier mot, et à me faire comprendre à quel point elle me haïssait.

Farah: Tu sais pas de quoi je suis capable. Continue de me prendre pour une gamine ou une conne, le jour où c'est moi qui pointera une arme sur toi tu feras moins le malin.

- D'accord. Dégage maintenant.

Elle a enfin reculé, non sans me lancer une dernière insulte au passage.

Farah: Vas crever en enfer avec le sheitan sale chien.

Elle s'est enfin retournée pour rentrer chez elle. Elle disparaîssait dans le hall de so' bâtiment au moment où mon téléphone s'est mit à sonner.

- Allô ?

Moha: Un kilo de kétamine a disparu il y a huit semaines là où t'es.

J'étais assez bien renseigné pour savoir qu'un kilo pouvait faire des ravages immenses. Et j'étais également assez bien renseigné pour savoir dans quel état elle se trouvait à ce moment là.

L'idée qu'elle ait pu recevoir un kilo de cette merde était terrible, peu importe la fréquence et la quantité donnée à chaque fois.

- Elle en a reçu combien ?

Ils étaient pas foutus de savoir quand elle a commencé à en recevoir et ils étaient pas motivés non plus à enquêter la dessus.

Moha: Tout ce qu'ils savent c'est que la dose était forte.

J'ai posé mon visage sur ma main pour réfléchir. Sa santé allait être salement impactée. J'imaginais pas l'étendue des ravages que ce truc allait faire.

- Elle s'en sort comment ?

Moha: Très mal. La dernière fois que je l'ai vue elle sortait des sons aléatoires et elle pleurait sans bouger. Ça faisait presque flipper, on aurait dit un film d'horreur.

J'ai inspiré profondément en fermant les yeux. Le médecin que j'avais payé pour me tenir informé m'avait annoncé de très mauvaises nouvelles, et il était en train de me les confirmer.

Moha: Ilyes a dit qu'elle s'en sort un peu depuis un moment. Mais ça reste la merde. Elle peut plus bouger les jambes.

Ce qui m'énervait le plus dans cette histoire c'était que tout ça s'était passé sous les yeux de tout le monde et que personne n'a rien vu. Dans un hôpital où les gens étaient censés surveiller la santé des patients.

- Et le gars ?

Moha: Il l'a suivie pendant trois kilomètres, mais j'ai pas son visage.

J'ai relevé la tête pour regarder un groupe de dealers un peu plus loin.

- Sur trois kilomètres t'as pas son visage ? Tu te fous de moi ?

Moha: Il avait une cagoule.

- Une cagoule en été ?

Moha: Oui. Je t'envoie sa photo, peut être que tu vas le reconnaître. Moi il me dit rien.

- Ok.

Moha: Bref, je vais raccrocher. Ah attends, tu sais que tu devrais rentrer rapidement quand même. Arrête de faire le mort, il y a des gens ici qui s'inquiètent.

À vrai dire je savais déjà quand j'allais rentrer.

- T'en fais pas pour ça.

Moha: Pas sûr qu'il yes soit calme quand tu vas le revoir.

- Je sais.

Moha: Bref je vais faire une sieste, à plus.

Une sieste à quatre heures du matin ? Pourquoi pas. Il était complètement déréglé de toute façon.

J'ai envoyé un message à ma sœur avant de démarrer.

Moi:

Je rentre demain.

...

J'hésitais à descendre de ma voiture depuis au moins vingt bonnes minutes. Je cherchais toujours le courage de sortir de la voiture en regardant le sac de sport contenant mes affaires que j'avais balancé sur le siège passager avant de démarrer.

C'est vingt autres minutes plus tard que j'ai fini par me décider à ouvrir ma portière et à rendre une dernière visite avant de partir.

Des plantes avaient poussées sur la terre, mais le reste était exactement comme la dernière fois. Le silence, l'odeur et même le poids sur mes épaules.

- Assalem wa'aleykom.

C'est un courant d'air chaud qui m'a répondu puisqu'il n'y avait personne à mes côtés. La personne à qui était destiné ce selem était dans un trou de deux mètres de profondeur.

Je me suis mis à me demander ce que je faisais là. Si j'avais le droit d'être ici. Ce que j'attendais exactement et plein d'autres pensées inutiles.

- Ça va bientôt faire un an.

Je n'en revenais pas qu'autant de temps ce soit écoulé depuis cette nuit. J'avais l'impression que c'était la semaine dernière que je lavais son sang sur mes mains.

- J'ai trop de choses à te dire, ça prendrait une éternité pour tout te raconter.

Je me suis accroupi près de sa tombe.

- Mais Selim a dû tout te dire avant moi. Tu dois déjà être au courant non ?

Il avait dû lui confier toute la haine qu'il ressentait avant même que je rentre dans ce cimetière pour la première fois. Et Sofiane devait être ravi que quelqu'un veuille le venger de cette mort qu'il ne méritait absolument pas. Il devait regretter de m'avoir suivu cette nuit là. Il s'était bien fait avoir.

Le Sofiane à qui je parlais devait être révolté que j'ose lui rendre visite. Il devait avoir hâte que Selim mette à exécution le plan qu'il avait en tête.

Et je me demandais qu'est ce qu'il attendait pour le faire. Que Sofiane revienne à la vie pour l'encourager ?

- Tu sais que Selim a entraîné Farah dans ses plans ? Je sais pas ce que t'en penses mais ça doit pas te plaire à mon avis.

Il aurait pété un câble avant en apprenant qu'elle avait marché à même pas trois mètres d'une vente.

- On dirait qu'il compte pas le faire alors je vais garder un œil sur elle. J'espère qu'elle va pas se faire tuer bêtement. Mais je crois que ça fait même plus partie de ses soucis.

Sofiane lui aurait salement fait la morale en voyant ce qu'elle était devenue. Je ne pense pas qu'il serait allé jusqu'à la frapper, mais il en avait même pas besoin. Un mot de lui et elle aurait tout laissé tomber.

- Si j'avais su tout ça...

Tout avait basculé si rapidement que parfois j'oubliais qu'il n'était plus là. Mais la réalité me rattrapait très très vite.

- Je crois que je vais pas tarder ici. Je voulais juste passer avant de descendre à Marseille, histoire de te dire bonjour. Mais tu trouves pas ça hypocrite de ma part ?

J'avais engendré sa mort et je venais me recueillir sur sa tombe presque un an après comme si de rien n'était. Je n'aimais pas ça.

- Je sais que ça ne sert plus à rien de m'excuser, mais j'espère quand même que tu sais que j'ai jamais voulu ça.

Qui aurait voulu que les choses se déroulent ainsi ? Juste les sadiques.

- J'ai pas eu l'occasion de voir khalti Fatima, désolé.

C'était bas de mentir comme ça.

- Je l'ai évité en fait. J'avais pas envie de me tenir à nouveau devant elle comme si de rien n'était, tu dois le comprendre j'imagine.

Je me suis contenté de l'apercevoir au loin parfois, quand elle allait faire des courses ou qu'elle jetait les poubelles.

- Je pense que je vais partir maintenant.

J'ai mis mes mains dans les poches et regardé à nouveau l'inscription dans la pierre en me disant que sous cette terre se trouvait l'homme qui m'avait aidé durant toutes ces huit dernières années.

Il était mort. Il n'était plus là. Je ne le verrai plus jamais. Je n'entendrai plus jamais sa voix. Sa vie était finie.

?: Fares ?

J'ai frotté mes yeux rapidement avant de me retourner vers cette voix que je reconnaissais.

- Selem.

Fatima: Wa aleykoum selem wouldi (mon enfant). Je ne savais pas que tu étais ici, tu restes longtemps ?

J'ai secoué la tête.

- J'allais prendre la route pour rentrer.

Fatima: Ah...

Elle a posé les yeux sur la tombe de son fils et s'est assise sur le banc.

Fatima: Assieds toi avec moi s'il te plaît, ça me fera du bien d'avoir un peu de compagnie.

J'aurais voulu refuser et la laisser seule avec lui. C'était la chose la plus naturelle à faire. Mais mes parents m'ont appris à toujours écouter les anciens, et même si elle était pas si vieille que ça, elle restait bien plus âgée que moi.

Alors j'ai fini par m'asseoir à l'autre bout du banc avec la sensation de ne pas être à ma place.

Fatima: Je viens tous les jours tu sais. Il me manque beaucoup, mon fils.

J'avais beau chercher je n'avais rien à répondre à ça. C'était moi qui le lui avait enlevé et j'avais le culot de vouloir la consoler.

Fatima: Selim aussi venait au début, mais il a arrêté. Il n'y a que Farah qui reste avec moi.

J'imaginais parfaitement le poids de la solitude qu'elle devait ressentir. 3ami travaillait toute la journée et il bossait deux fois plus depuis le décès de Sofiane. Elle était donc seule la plupart du temps, et sa seule compagnie était Farah qui se retrouvait seule elle aussi.

Fatima: Comment tu vas ?

- Ça va.

Elle a hoché la tête tristement. Et je n'aimais pas savoir qu'elle avait encore de l'empathie pour moi alors que c'est moi qui lui ai enlevé son fils.

Elle devrait faire comme Farah et me haïr du plus profond de son âme.

Fatima: Comment va Selim ? Tu lui parles des fois ?

- Non, on se parle plus.

Fatima: D'accord...

J'ai a nouveau posé les yeux sur la terre recouvrant le corps de mon ancien frère.

Fatima: S'il te plaît wouldi, j'aimerai te demander un service...

- Oui ?

Fatima: Garde un œil sur Selim s'il te plaît.

J'ai fermé les yeux tandis qu'elle continuait de parle de lui.

Fatima: Je m'inquiète pour lui, Marseille c'est une ville dangereuse et il est encore bouleversé par le départ de Sofiane...

Je détestais mentir mais je ne faisais que ça.

- D'accord.

J'aimerai lui dire ce qu'il était devenu mais je ne veux pas lui briser ses illusions si brutalement.

Fatima: Merci wouldi. Qu'Allah te préserve.

Je me suis levé.

- Je dois y aller désolé. Tu veux que je te dépose quelque part ?

Elle a secoué la tête.

Fatima: Je vais rester un peu avec mon fils.

C'est avec un noeud dans la poitrine que j'ai hoché la tête et quitté cette famille qui était la mienne à une époque.

Une époque bien loin qui ne remonte qu'à un an en arrière...

Il fallait que je rentre et que je répare tout ça. Mes bêtises.

Je me suis installé au volant de ma voiture lorsque mon téléphone s'est mit a sonner.

- Allô ?

Ilyes: J'espère que t'as une bonne raison d'avoir fait le mort.

Je n'avais même pas réfléchi à une excuse.

- Pas vraiment.

Ilyes: Tu rentres quand ?

- J'allais démarrer.

Ilyes: T'es où là ?

- Au cimetière.

Je ne sais pas si vous savez, mais Ilyes connaîssait Sofiane et Selim depuis longtemps. Et il était au courant pour la fameuse nuit.

Ilyes: OK, je retire ce que j'ai dit tout à l'heure. Tu seras là quand ?

Et ce que j'appréciais chez lui c'était qu'il n'en faisait pas tout un plat. Peut être parce qu'il connaissait déjà cette situation en quelques sortes. En tout cas je le remerciais de ne pas changer et de ne m'accorder aucune pitié.

- Ça dépend, tu comptes rester encore longtemps au téléphone ?

Ilyes: Je sais pas vraiment. Et toi ?

J'ai posé mes doigts sur mon front en soupirant.

- Tu vas me donner une migraine.

Ilyes: Bref on parlera quand tu seras là. Appelle quand t'arrive.

- Selem.

Je n'ai eu que le temps de jeter mon portable sur le siège passager et de démarrer qu'il s'est remis à sonner.

- Quoi ?

Marwa: Fares ?

Elle avait l'air déboussolée. Elle ne s'attendait sûrement pas à ce que je réponde cette fois.

- Quoi ?

Marwa: Euh... Selem déjà. Tu...

J'ai froncé les sourcils. Il y avait quelque chose qui clochait.

- Parle, je suis à sept cent kilomètres de toi je vais pas te frapper.

Marwa: Non c'est pas ça... Je suis juste un peu... Bref oublie. Ça va ?

- Qu'est ce que t'as ?

Marwa: Euh... Rien je vais bien al hamdoulilah. Et toi ?

- Ça ira pas tant que tu me diras pas ce qui t'arrive. T'as vu un jnoun ?

Marwa: Tu t'es mis à l'humour maintenant ?

- Soit tu parles soit je raccroche.

Marwa: Tu rentres quand ?

- Bientôt.

Marwa: "Bientôt" façon je veux pas te donner de faux espoirs ou bientôt façon "je sais quand je vais rentrer" ?

- "Bientôt" façon continue à me soûler et je serai bientôt là pour te frapper.

Marwa: D'accord je vois. J'ai une question, mais réponds clairement j'ai pas envie de passer par quatre chemins.

- Parle.

Marwa: T'as des nouvelles de Leïla ?

La migraine d'Ilyes commence à s'emplifier avec Marwa.

- Pourquoi cette question ?

Marwa: Réponds juste, tu sauras ensuite.

- Non.

C'était faux bien évidemment. J'avais des nouvelles d'elle tous les jours mais comment le lui expliquer ? Et pourquoi le faire d'ailleurs ?

Marwa: Moi j'en ai... Et...

J'aimais pas le ton qu'elle venait de prendre.

- Et quoi ?

Marwa: Rien, rien... Ah mince je dois prendre l'avion. Je te laisse, selem.

Elle a raccroché précipitamment.

- Je vais la jetter par la fenêtre.

J'ai rappelé mais elle avait mit son téléphone en mode avion. J'ai fini par poser mon portable et démarrer.

A suivre





Je sais que j'avais dis que j'allais publier plusieurs chapitres d'un coup mais j'ai que 3 pourcents, un seul chapitre prêt à être publié les yeux fermés et de la peine pour vous alors je me suis dis faisons leur plaisir et corrigeons le reste plus tard pour leur donner tout d'un coup...

Considérez ça comme la suite et la fin d'une première ère...

Prochain chapitre : PDV Leïla

(préparez vos ventolines et vos mouchoirs vous allez en découvrir plus sur elle)

Voilà voilà, on se retrouve une prochaine fois avec un chapitre bien triste pour pas changer. Prenez soin de vous💞

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