𝐈𝐛𝐫𝐚𝐡𝐢𝐦 & 𝐒𝐚𝐧𝐚𝐚 : « 𝐚𝐦𝐨𝐮𝐫 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐟𝐢𝐧.»
S A N A A
-
Moi : -pleure- je t'en supplie me laisse pas Noham !!
Noham : -me prend dans ses bras- laisser lui une dernière chance !
Éducatrice : sa fait plusieurs fois qu'on lui laisse une chance.
Moi : promis c'est bon ! J'arrête ! J'arrête.
Éducatrice : la prochaine fois que je reviens on négociera pas.
J'ai serrée fort Noham dans mes bras,eux sont sortie, il a caressé doucement mes cheveux et j'ai fermé les yeux, faut savoir que je ne dors pas beaucoup voir pas du tout parce que je fini toujours me réveiller en sursaut, en cris, en pleure enfin tout et n'importe quoi.
Lendemain
Noham : tes pas obliger d'aller en cours.
Moi : -prend mon sac- on y vas.
Il soupire et on descend, plus on arrivais devant le lycée plus le stresse monter, je me suis mise à trembler, je sentais déjà tout les regards sur moi, mon coeur bat mal, vous savez que j'ai dû refaire mon opération pour le changer ? Alors que c'est censé être tout les 6 ans voir 12 mais là j'en est un qui normalement vas durée avec toute mes émotions.
Noham : t'es sur tu veux pas que je te dépose ? Tu tremble...
Moi : j...nan !
Je sors doucement de la voiture le coeur lourd, tout le monde me regarde, je le sais, je le sens je rabat ma capuche sur ma tête et marche vers l'entrée, les chuchotements, les rires je les entend...j'étais à deux doigt de pleurée vraiment.
2 heures plus tard.
Noham : -caresse mes cheveux- je t'avais dit que c'était pas une bonne idée de venir ici.
Moi : -pleure- j'en est marre de me cacher ! C'est toujours moi qui prend tout ! C'est quand qu'on me laisse tranquille ? Qu'on me laisse vivre comme une personne normal ! Je peux rien faire appart aller en cours, rentré et rester enfermer parce que je suis un danger pour les gens ?!!
Noham : tes une personne normal pour moi, ta famille et tes amies eux c'est des gens qui ont des problèmes dans leur tête je t'assure ! Tes pas un danger sinon je te ramènerai pas voir ma grand mère qui est malade ! Jamais de la vie.
Moi :
Noham : je vais tout faire pour te sortir de ça ok ? Tu fait quoi ? On rentre ?
Moi : nan...
Une fois que sa sonne je sors des toilettes, il m'accompagne en cours, j'entre la première et m'assois à ma place habituelle et puis de toute manière j'ai pas le droit de changer de place, c'est eux qui dicte ma vie loins des gens pour pas leur faire de mal alors que vous, vous me connaissez j'espère que vous me croyez quand même.
Je suis sortie de cours de mon plain de gré j'ai pas le droit mais j'avais besoin de prendre mes médicaments, en allant au toilette je croise un petit groupe de filles qui rigole et se moque de moi, je me retourne violemment et étrangle la première que j'attrape. J'entends des cries autour de moi mais j'arrête pas.
Ce matin en arrivant au lycée quand Noham est partie dans sa classe, on me poussait, on se moquer de moi, on m'a humilié, sa m'insultait de tout les noms et sa c'est seulement quand je suis seul, parce que quand je suis avec Noham sa chuchote mais sa n'ose pas me touchée.
Noham : -me tire en arrière- Sanaa nan ! Qu'est ce que tu me fait....
Moi : C'EST ELLES !
Noham : -prend mon bras- ils ont appelé l'éducatrice...
Moi : Noham...
Noham : marche plus vite on se casse.
Moi : i...ils sont là.
Éducatrice : attraper la.
Noham : cours !! Cours !!!
J'ai couru le plus vite possible, mais comment vous dire sur mon coeur allait lâché alors quand j'ai ralenti on m'a attrapé j'ai poussé un cris.
Noham : SANAA !!!
Moi : NAN NOHAM !
Noham : -se débat- LÂCHER MOI ! VOUS AVEZ PAS LE DROIT DE FAIRE ÇA !!!
O M N I S C I E N T
-
Éducatrice : on y vas.
Sanaa : NOHAMMM !!!
Les deux criaient, Les larmes de Noham commence à monter subitement, à lui aussi on venait de lui arracher sa petite soeur. Il la voyait hurlé, crier il savait que c'était fini, qu'il allait l'enfermé comme une personne avec des problèmes mentale alors qu'elle en a pas...
Leur regards se sont croisés, elle était toute rouge, les larmes à flot, elle criait sont nom mais il était impuissant, il avait beau se débattre ils le lâchent pas, elle est partie...c'est fini...il allait la rendre folle et lui faire plein de truc bizarre à cette instant là, sont coeur c'est déchiré en mille morceaux.
Ils ont étaient sortie du lycée, Noham est vite aller chez sa grand mère pour tout lui raconter en pleure, qui elle aussi c'est mise à pleurer, ils venait de les laisser gagner...ils ont eu ce qu'ils voilaient.
Du côté de Sanaa elle a été endormie, puis quand elle c'est réveillé elle était dans une chambre vide, enfin non il n'y avait qu'un lit, un lavabo, une petite douche minuscule, tout était très petit on aurais dit qu'elle était en prison.
Elle c'est mise à hurler en tapant sur la porte et sa durant plusieurs jours, mais c'était moins d'être leur soucis, ils avaient l'habitude, elle dormais pas, elle avait peur le soir elle entendais des trucs bizarres, mais en réalité c'était juste des personne atteinte mentalement.
Deux mois sont passés et elle était toujours là même, enfermer sur elle même, elle ne mangeait plus alors qu'avant elle manger ses trois repas par jour car Noham l'a forcer pour ne pas qu'elle perde de poids. Mais en étant ici elle a vite maigris, elle voulait rien manger si sa venait pas de Noham, elle prenait que c'est médicaments pour oublier.
Sanaa : je m'ennuie....
Sanaa : c'est quand que je sors d'ici.
Sanaa : je sais que vous m'entendez vous êtes tous des chiens ! Dieu vous voit ! Ce que vous me faites vous allez me payer ! Je suis pas folle ! Je suis juste une personne qu'on harcèle. C'est nous qui subissons de l'harcèlement mais c'est nous qu'on enferme. Ya Rabbi fait fonctionner leur cerveau tordue ! En plus vous me laissez même pas pratiquer ma religion, je vous est dit hein Dieu vous voie.
Sanaa : quand mon copain il vas sortir de prison il vas tous vous tuez pour ce que vous me faites ! Vous allez le payer ! Vous allez voir c'est quoi être une vrai folle quand je vais sortir d'ici ! Oui je vous menace votre travail vous le faites très mal ! On est pas des pourritures ni même des chiens ! On est des humains qui ont des problèmes beaucoup plus grave que les vôtre.
Elle se lâcher chaque jour comme ça, au finale elle priait quand même sans savoir la direction, elle avait des habilles qu'ils ont pris chez Noham donc elle trouvait des solutions pour prier, sa vas faire deux mois qu'elle est enfermé dans le noir c'est très peut éclairé.
Sanaa : bonne nuit les taret.
Je patiente comme un condamné
Je me contente de ce qu'on me donne
Les souvenirs communs qu'on avait
A suivre...