Poèmes d'une jeune poète

By Lna063

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Amoureux des mots, Défenseurs des lettres. Venez vous repaître, Là où la poésie coule à flots. ( Merci infin... More

Amoureux de l'art
PREMIÈRE PARTIE : GRIS
Au pays sans fléaux
Ô mon imagination !
Mort, toi qui...
Je suis devenu la mort, le destructeur des mondes
Il était une fois
Vagabond
Poète mélomane
Inconnu
Malédiction qu'est le bonheur
Mais plus elles passent, et plus je les aiment
Ô mon esprit !
Et si j'osais...
Ami des rêves
Abominations
Vous autres traîtres
Coeur meurtri
Fêtes de poètes
Monde inconnu
La lumière et L'ombre
Désillusion
Nuit noire
Âme en perdition
Marionnette pourrie
Intenable insomnie
Renaissance
DEUXIÈME PARTIE : GRIS FONCÉ
Cauchemars
Rose desséchée
Le monde est gris
Espoirs et déboires
Princesse déchue
Ignominie
Jeune misanthrope
Changeantes nuances de gris
Dos courbé
Hypersensible
Comédie
Âmes grises
Silence
Toi
Au fond du fond
Des temps difficiles
Vanité
Imminente fin
Manichéen
Caché
Belles paroles
Brave guerrier
Processus
L'autre rive
Dépourvu de mots
Gris foncé
TROISIÈME PARTIE : GRIS CLAIR
J'avoue, j'aimerais renaître
Je me souviens d'un temps
Je veux partir dignement
Je n'arrive pas à écrire l'amour
Quand les comédiens montent sur scène
Un autre monde où vivent rêves et espoirs
Face à la mer, j'ai grandi
J'ai longtemps vécu dans cette maison de pierre et de bois
Fantôme désargenté
Le gris n'est pas synonyme de noirceur
Car l'art est éternel, sans trépas
L'homme à la cape en velours
Avant que ne vienne l'aurore
L'outsider
Muse enchanteresse à l'esprit éclairé
La mer n'est pas une maîtresse bien tendre
Peintre poète, amante du beau, du spleen.
Tu ne l'as pas regardée
Là où l'étrange est beau
Je ne pense qu'à t'oublier
Vos masques s'effritent, ne sont plus aussi bien vernis
Je t'en écrirai

Oh en cet an nouveau, j'aimerais...

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By Lna063

Oh en cet an nouveau,

J'aimerais apprendre à pardonner,

Tous ces gens qui plus tôt,

M'ont blessé bien plus qu'ils ne pourraient l'imaginer.

Oh en cet an nouveau,

J'aimerais me débarrasser de ces abominations,

Qui viennent me hanter chaque saison,

Et assassinent la symphonie de mes rêves les plus beaux.

Oh en cet an nouveau,

J'aimerais que mon hameau,

Ne soit plus jamais détruit,

Par ceux qui méprisent ma poésie.

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