Je serais pas sortis, si j'avais su..
J'ai vu Hakim, venir vers moi.
Hakim : Salut, la coincée.
Je l'ai regardé mal, et j'ai même pas répondu.
Hakim : C'est dommage t'es une belle fille, tu te braque vite.
Moi : Comment ça ?! Je veux juste pas te parlé c'est tout.
Il c'est approché de moi, il ma bloqué le passage et il me fixé. Je détestais son regard, il avait un regard malsain.
Moi : POUSSE TOI !
Hakim : Tu veux pas t'amuser ?
J'ai eu des frissons de gêne dans tout mon corps tellement il me dégoûtait. Il me répugnais.
J'essayais de me débattre, mais impossible. Il me tenait avec ces deux mains, j'essayais de le frapper.
Moi : MAIS POUSSE TOI !
Hakim : Sois gentille au moins une fois.
Moi : BARRE TOI.
On à entendu quelqu'un venir vers nous.
Sofiane.
Dès qu'il à vu Sofiane, il m'a lâché. Il à regardé Sofiane et il est rentré dans la salle.
Sofiane : Embrouille avec son mec ?
Moi : A..
J'allais répondre mais c'était comme si ma langue était coupé sah. J'avais aucun son qui sortait de ma bouche.
Je l'ai regardé et j'arrivais même plus à lui parlé. Je me rendais compte que quand il me parlé j'étais directement gêné..
Je l'ai poussé, pour rentré dans la salle. J'étais vraiment perturbée. Je comprenais RIEN, Hakim qui voulait je sais pas quoi et les regards avec Sofiane.. Peut-être que j'étais folle après tout.
Après les semaines passait, il c'est passait pas grand chose car je sortais jamais je révisais vraiment beaucoup.
Maman : Benti ?
Moi : Mmh ?
Maman : Tu veux aller chez Chaïma ?
Moi : Quoi ? Bah oui.
Maman : Ok, je demanderai à Amine de te déposer.
Moi : Merci !
J'étais trop contente, Chaïma c'était une de mes meilleures amies sauf quelle à déménager et elle a pas de téléphone donc aucun moyen de lui parler, je pouvais que la voir mais elle habitais vraiment loin. J'étais dégoûté quand elle à déménager w'Allah.
J'ai reçu un appel de Amine, dix minutes après.
Amine : ALLO ?
Moi : Oui ?!
Amine : TU VAS CHEZ CHAÏMA ?!
Moi : Oui, mais faut que tu m'emmènes.
Amine : ORH ! Zeubi.. Attends... !
Moi : Alors ?
Amine : J'PEUX PAS J'AI DES AFFAIRES À RÉGLER MOI ! MAIS Y'A SOFIANE IL VA TE RAMENER T'INQUIÈTE IL VEUT BIEN !
Je vous jure que là, je me suis pincé pour voir si c'était pas un rêve. J'avais la haine, je voulais pas. J'allais resté au moins six heures dans la même voiture.
Moi : Ok..
Il a raccroché.
J'avais fait toutes mes affaires j'attendais sur mon lit comme une sans vie mddr.
J'ai reçu un message d'un numéro inconnu.
: Descend.
Bon bah c'était Sofiane.
J'ai dis au revoir à tout le monde et je suis partis.
J'suis rentré et y'avais personne dans la voiture.. Sa me gênais un peu mais bon pas le choix.
Sofiane : OH DÉPÊCHE TOI LÀ !
Toujours aussi aimable.
Sur la route il parlé pas du tout, aucune radio. RIEN.
Après une heure, il c'est arrêté vers une station.
Sofiane : J'arrive.
Il est revenu avec pleins de nourriture. Mais genre tout ce que j'aime, sandwich au thon, coca, smarties ! J'étais trop contente.
Moi : J'ai même pas faim.
J'voulais juste l'embêter mddr.
Sofiane : Bah vas-y j'mange à ta place.
Moi : Non c'est bon.
On mangeait, les fenêtres elle était ouverte y'avais un peu d'air. Ça faisait grave du bien.
Et je le vois avec avec un paquet de kinder, mais moi faut pas me montrer ça hein j'lui ai pris des mains et j'lai croquer direct.
Je crains pas du tout, même boire dans le même verre que quelqu'un ça me dérange pas je sais pas pourquoi.
Sofiane : OH TU FAIS QUOI LÀ ?! MON KINDER ZEUBI !
Moi : C'est le mien maintenant.
Sofiane : RENDS !
Mddrr on se battait dans la voiture, il me mettait des tartes et tout ! Il essayait d'le reprendre j'le cachais dans mes mains c'était n'importe quoi.
J'suis sortis de la voiture, on était en arrêt hein mdrr. Il me courait après.
Sofiane : OH REVIENS OU J'TE FAIS BOUFFER LE SOL !
Moi : PTDDDRRRR !
Et bien sûr j'ai glissé y'avais une grosse flaque dedans et je suis tombé dedans, j'étais mouillé de partout.
Sofiane : MDDDRRRRR, j'ai pas eu besoin de te faire bouffer le sol enfaite.
Il ouvert sa bouteille d'eau et il m'a tout renversé pendant que j'étais entrain de me relevé wsh. C'est quoi ce gamin svp ?
J'lai courser, en plus il faisait froid.
Il courait grave vite en plus comment je pouvais le rattraper ?
Moi : MAIS !
Il est rentré dans la voiture en faisant un sprint. Il à commencé à rigolé avec un rire d'ogre son rire il est incompréhensible.
Moi : Salem tu rigoles où c'est une moto ?
Sofiane : Salem ta pris une douche ?
Moi : Mdrr vas-y ferme là j'ai froid en plus.
Sofiane : Ah bon t'as froid ?
Moi : Oui.
Sofiane : Bah j'men fou.
Moi : C'est à cause de toi si je tombe malade.
Sofiane : C'est toi t'a commencé.
Moi : Bah tu m'as pas pris de kinder aussi.
Sofiane : T'es déjà assez grosse comme ça.
Moi : Et alors toi tu fais trois fois mon poid.
Sofiane : M'oblige même pas à me déshabiller.
Moi : Non c'est bon, conduit.
Après je me suis endormis, j'avais trop bien dormis. C'était rare en vrai que je dormais bien comme ça..
Le matin quand on était arrivé, il m'a réveillé en me renversant de l'eau mais de l'eau congelé. C'est un des pires réveil de ma vie c'était vraiment trop froid.
Moi : AHHHHHH MAIS !
Sofiane : Putain on est au pôle nord.
Moi : Tu racontes quoi là ?!
Sofiane : Vas-y sort on est arrivé.
J'ai pris mes sacs, et bien sûr je voulais me venger, j'ai pris la bouteille qui restait j'lui ai lancé dessus et il est direct sortis de la voiture il me coursait encore ! Je venais d'me réveiller quand même.
Je courais comme une handicapé avec mes sacs.
Il m'a attrapé le bras.
On c'est regardé droit dans les yeux, y'a eu un gros blanc..On nous aurait vu on nous aurait pris pour des fou. On était figé. Je sais même pas pourquoi on c'est fixé comme ça. Mais j'aimais bien ces yeux. Enfin je sais pas.
Après ça il est partis.
J'ai sonné chez Chaïma, il devait être huit heures au moins. Mais sa mère m'avait dit que Chaima serait réveillé.
Chaïma : Insaf ?
Moi : Chaïma !
On c'est direct fait un câlin, ça faisait tellement longtemps.
Chaïma : Enfin ! J'ai trop de truc à te raconter.
J'ai dis bonjour à sa famille, elle avait un frère il est trop gentil c'est Issam.
Issam : Tu dates toi.
Moi : Toi aussi tu dates.
Issam : Tu restes jusqu'à quand ?
Moi : Dimanche.
Issam : Deux jours avec toi, l'enfer.
Chaïma : Bon dégage on à des choses à se dire.
Issam : Smeh les piranhas.
Depuis petites il nous appelait comme ça mais on à jamais su pourquoi mddr.
Le soir on à mangé c'était trop bien, sa famille il m'aime trop et ils sont trop drôle.
Issam : Ya une fille elle me colle à la fac alors que je lui ai pas fais du shour !
Chaïma : Pourtant t'es laid.
Moi : Hideux.
Chaïma : Affreux.
Moi : Moche.
Chaïma : Horrible.
Issam : Vous voulez plutôt dire bogoss.
Chaïma : Non.
Issam : Incroyable.
Moi : Toujours pas.
Issam : Magnifique.
Chaïma : Non.
Issam : Maman elle me hechem devant toi et tu dis rien.
Elle : Elles ont raison ! Mlih les filles.
Elle nous à fait un pouce mddr j'étais morte elle est grave drôle.
Chaïma : Mddrr tu vois.
Il faisait genre de plus nous parlé il avait l'seum miskine.
Bon après le dimanche est arrivé et cette fois-ci c'était Amine qui venait me chercher. Il m'a appelé quarante fois au moins il m'avait harcelé. J'ai dis au revoir à tout le monde, j'avais pris le numéro de téléphone de Issam pour pouvoir parler à Chaïma. J'suis partis grave vite sinon j'allais me prendre une avalanche d'insulte par Amine mddr.
Amine : OH DÉPÊCHE J'AI PAS TON TEMPS MOI ! TU PEUX PAS PRENDRE LE TRAIN COMME TOUT L'MONDE.
Moi : Bah paye le moi ton train.
Mddr j'aimais trop l'énervé mais il m'a soûler, il m'engueule pour rien.
J'ai dormis tout le long du trajet j'étais vraiment fatigué on est arrivé vers dix neuf heures.
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