P.D.V Nesrine
Le bruit de la porte me fit sortir de mon sommeil . Mes paupières lourdes essayent de s'ouvrir pour voir l'auteur de ce bruit et je finis par enfin les ouvrir à moitié . La lune illumine la pièce sombre et je me lève en restant assis sur le canapé . Je m'était endormie devant la télé avec un paquet de chips sur la table . L'horloge à côté de la télé indique 3 heure du matin et mon corps avait envie de retourner dans ce canapé même si il était inconfortable .
Je tourne la tête pour voir d'où provient le bruit et j'écarquille les yeux quand je vois Farès , debout en sang . Son arcade , ses lèvres , ses poings . Tout est en sang . Je me lève précipitamment du canapé et avance de quelque pas pour bien voir .
Il me regardait droit dans les yeux mais ne dit rien et je déteste ce silence .
-Moi : Assied toi sur la chaise j'arrive
Je me précipite à l'étage pour aller chercher une trousse de secours dans la salle de bain . Je devrais plutôt lui demandé ce qu'il lui ai arrivé et qui lui a fait sa mais je sais qu'il ne me diras rien .
Une fois la trousse en mains je descend les escaliers à vive allure et voit qu'il s'est assieds sur la grande chaise de la cuisine comme je lui ai demandé pour une fois .
Je m'assoie sur la chaise en face de lui et ouvre la trousse pour prendre du coton et de l'antiseptique que j'imbibe dans le coton . Pendant ce temps , lui , ne me quitter pas des yeux et regarder attentivement mes gestes. Il n'avait rien dit depuis le début et c'était bizarre , très bizarre . Il m'aurait certainement insulté ou dire qu'il n'a pas besoin de moi .
-Moi: Qu'est ce qu'il t'arrive ?
-Farès : Rien pourquoi ?
-Moi : Bah je sais pas ...quand je t'ai dis de t'asseoir tu t'es assis et là tu me rejette pas alors que je vais te soigner
-Farès : Je suis peut être un connard Nesrine mais pas au point de t'insulter ou de te touchée alors que tu veux me soigner
Je le regarde longuement dans les yeux et place le coton sur son arcade . Il ne réagit pas face au produit et j'en suis plutôt surprise . Il n'a pas arrêter de me regarder dans les yeux ce qui me déstabilise fortement . Ces yeux sont ancrée dans les miens et ne veulent plus les quitter . Une fois son arcade soignée je prend ces mains est passe toujours le coton sur ses phalanges en sang . Ces mains font peut être 2 fois les miennes ce qui me fit doucement rigoler . Je prend du ruban et l'entoure toujours autour de ses phalanges.
Plus les secondes passe et plus je ne pouvais plus supporter ses yeux dans les miens .
-Moi : Comment tu t'es fait sa ?
-Farès : Une bagarre qui a mal tournée .
-Moi : Et pourquoi tu t'es battu ?
-Farès :Vaut mieux pas que tu le sache .
Je n'insiste pas plus parce que je sais pertinemment qu'il ne me diras rien de plus . Après avoir fini je m'attaque à ses lèvres qui sont ouvertes mais rien de grave heureusement. Je passe le coton sur ses lèvres légèrement entre ouverte . Ces lèvres sont charnue et plutôt boudeuse ce qui lui donne un certains charme .
-Moi : Arrête de me regarde comme sa
-Farès : Comment ?
-Moi : Comme si tu allais me dévorer !
Il rapproche sa tête de la mienne à tel point que je sens sa respiration sur mon visage
-Farès : Peut être parce que j'en ai envie .
Je lève mes yeux vers lui et regarde ses yeux noirs .Ces yeux m'hypnotise , ces yeux fait disparaître tout ce qu'il y a autour de nous . Puis je remarque sur sa joue droite balafrée une cicatrice que je n'avais jamais remarqué .
Elle était petite mais elle avait l'air assez profonde . Sans que j'y puisse faire quoi que ce soit je pose ma mains sur sa joue et retrace cette cicatrise avec mon pouce . Cette cicatrice...elle raconte une histoire , je le sais , je le sens . Et je ne lui poserais pas la question du comment s'est-il fait sa parce que tout simplement je veux que ce soit lui qui m'explique sans que je n'est à lui demandé .
Farès est tellement mystérieux . Je sais peux de chose sur lui à part qu'il a une mère , une sœur que je n'ai toujours pas rencontré , son père décédé Allah y Rahmo et ses tantes les sorcières . Je ne sais pas ce qu'il fait dehors , je ne sais pas si c'est un dealers , je sais pas qu'elle est son plat préféré , je ne sais pas sa couleurs préférée , je ne sais absolument rien .
Je ne sais pas combien de temps nous sommes là , je ne sais pas combien de temps je retrace sa cicatrice sur sa joue . Je m'éloigne de lui et prend un pansement pour le mettre sur ces lèvres . Une fois fait , je jette les emballages et range tout dans la trousse de secours . Je sais qu'il me regarde toujours , il ne m'a pas quitté des yeux depuis qu'il est rentré de la maison .
-Farès : Merci
Son mot était presque inaudible mais je l'ai entendu . Plutôt surprise je me retourne et vois qu'il a baissé les yeux . Je rêve où il est gêné ?! Je souris et répond :
-Moi: Va dormir Farès, t'a l'air épuisé .
Le trousse à la main je monte les premières marches des escaliers mais je me tourne pour voir ce qu'il fait . Il n'avais pas bougé de sa place et sa tête était baissée . Les coudes sur ses genoux , il semble réfléchir, il a l'air ailleurs . Je crois qu'il a besoin de rester seul alors je monte les marches pour enfin m'affaler sur mon lit . Je monte le draps jusqu'à ma poitrine et regarde par la baie vitrée .
Il avait l'air bouleversée . Je ne sais pas pourquoi et je sens que sa a en rapport avec moi . J'aimerai tellement lui demandé ce qui lui tracasse autant , qu'est ce qu'il fait dehors ? Qu'il m'explique d'où sort ces armes et les drogues qui était caché dans ma chambre . D'ailleurs est ce que elles sont toujours là ? Non , je n'ai plus envie de voir ces armes et cette drogues . C'est pas moi et le faite que il y'a sa dans la maison encore plus dans ma chambre me dégoûte .
Mais je ne suis pas prête à lui demandé ce que fout ces putains de trucs illégales dans ma chambre parce que tout simplement j'ai peur , j'ai peur de sa réponse . Alors je me tais , c'est ce qu'il y a de mieux à faire . Mes paupières deviennent lourdes et je me rappelle qu'il est bientôt 4 heure du matin et que je travaille dans quelques heures . Alors je laisse le sommeil m'emporter .
1 semaine plus tard
Il est 15h30 quand je passe la porte de la maison . Je venais de rentrer du travaille et j'avais fini plus tôt à mon plus grand plaisir .
Une semaine était passé depuis que j'avais soigné Farès et depuis il m'évite . Il ne reste pas dans la même pièce que moi mais pourtant il reste à la maison ce qui est bizarre . Avant il ne venez jamais à part pour dormir ou bouffer , defois il disparaissait pendant 3 trois jours sans donner de nouvelles .
Mais depuis que son « pote » est venue à la maison il est beaucoup plus présents chose que je pensais inimaginable.
En sortant du travaille j'ai fait quelque petite course alors je pose les sacs sur l'îlot central de la cuisine . Je retrousse les manches et me lave les mains dans le lavabo de la cuisine .
Je coupe l'eau puis tout d'un coup j'entends quelque chose se casser qui provenez de l'étage . Est ce que c'est Farès ?Je ne sais pas si sa va voiture est garée devant la maison à vrai dire je n'ai pas vraiment fait attention.
Alors je monte les marches d'un pas rapide et vois là porte au fond du couloirs entre ouverte . Quand j'ai emménagé ici , cette porte été fermée à clé et depuis , je n'y est plus fait attention pensant que c'était un placard à balais ou un turcs du genre . Je m'approche tout doucement et sans faire attention, ma respiration se fait de moins en moins forte .
Je pousse la porte en question et je croise directement les yeux à Farès et il avait l'air en colère , très en colère , et je crois que je ne l'ai jamais vu en colère jusqu'à aujourd'hui. Ses sourcils était froncée , ces poings étaient serrées et son regarde ne dit rien qui vaille .
Et cette salle était un bureau . Je l'examine de plus près et vois un bureau en bois simple et derrière une grand baie vitrée qui donne vue sur la nature . Des tableaux était accrochés un peu partout dans là pièces . Puis je vois par terre des bouts de verres en mille morceaux juste à côté de la porte .
-Farès : Sors d'ici .
Je lève les yeux vers lui et il ne m'avait pas quitté du regard . Il avait dit sa phrase avec tellement de ...haine que je peut pas m'empêcher de lui poser la question :
-Moi: Qu'est ce qu'il t'arrive en ce moment ?
Il rit nerveusement . Ce qui me fait froncer les sourcils parce que je n'avais absolument rien dit de drôle .
-Farès : Tu crois quoi ? Sayer je t'ai laissé me soigner , je te parle normalement et tu t'occupe de moi ? Ne crois pas que sa a changé . Je peut bien t'enculer maintenant et tout de suite comme avant !
Je le fusille du regard . En réalité , sa phrase m'avait blessé . Je pensais ...putain que je suis conne . Il a raison ! Si il a levé la main sur moi plusieurs fois il peut très bien recommencer encore et encore . Je suis naïve , beaucoup trop naïve . Moi qui pensait qu'il s'était calmé , putain mais qu'elle conne.
Il ne m'avait toujours pas quitté des yeux et moi non plus .
-Farès : Baisse...tout de suite les yeux
Je ne l'écoute pas . Non...non je l'ai baisserais pas et encore moins si il me le demande . Il tape son poings sur le bureau ce qui me fit légèrement sursauter sans pour autant le quitté des yeux .
-Farès : J'ai dit ...baisse les yeux
-Moi : Non .
C'est sortit tout seul et je sens que je vais très vite regretter quand je le vois se reprocher de moi . Il n'était pas dans son état normal . C'était comme si il était possédé .
-Farès : Non ?
Il se rapproche de plus en plus de moi et mon coeur n'arrête pas de battre rapidement. Il se plante devant jusqu'à en avoir le front collé . Il avait toujours les sourcils froncé et ses poings était toujours autant serré .
-Farès : Répète pour voir ?!
Bien sûr que j'allais le répéter même si je savais très bien que je le regretterais très vite .Mais alors que j'allais ouvrir ma bouche pour répéter , la sonnette de maison retenti . Je tourne ma tête vers la porte d'entrée que je ne voyais bien évidemment pas vu que je suis à l'étage et c'est à mon tour de froncer les sourcils .
-Farès : T'attend qui ?
-Moi : Personne
Il se décolle de moi et descend en bas pour sûrement ouvrir la porte alors je le suis de près . Une fois en bas , il ouvre plutôt violemment la porte et les personnes qui était devant moi me fit retenir ma respiration.
C'était vraiment ni le jour , ni le moment putain !
Inaya et Amine était là , devant la porte d'entrée . Mon coeur fait un bon dans cage thoracique. C'est la merde , vraiment la merde . Mes meilleurs amis dit salam a Farès et celui répond d'un ton sec, très sec .
Il a répondu c'est déjà un début .
Inaya : Bah surtout cache ta joie toi , en me regardant
Je souris légèrement puis va faire un câlin a Inaya puis à Amine . Je sentais le regard noir de Farès et je déteste ça . Je l'ai fait rentrer dans la maison en leurs disant d'aller s'assoir sur le canapé . Je ferme la porte alors que Farès était toujours à côté . Il n'a toujours pas cessé de me regarder .
Moi : S'il te plaît , ne fait rien .
Je le suppliais du regards de ne rien faire . Je savais qu'il voulait sauter sur Amine vu le regards qu'il lui a lancé . Mais la question c'est pourquoi ? Farès et moi nous ne somme ...rien . Ni mari et femme , ni en couple , ni amis . Juste des inconnus
Alors qu'il allait parler son téléphone commence a sonné . Il le sort de sa poche et regarde qui est ce qui l'appelle . Il reporte son regard sur moi avant de prononcer :
-Farès : Quand ils partent , tu va regretter d'avoir dis oui à la mairie .
Puis il se dirige les escaliers en passant devant Inaya et Amine .Il ne leurs lance aucun regard et monte les escaliers .
-Inaya : Il a pas l'air de très bonne humeur ton mari
-Moi : Euh...ouai ...son équipe de foot a perdu
Je vois qu'ils froncent les sourcils touts les deux avant de ce regarder . Pitié faite qu'il ne pose pas plus de question .
-Inaya : Je t'avais dit Amine , le foot sa vous rend fou
Une bouffe d'oxygène vient pénétrer enfin mon corps comme si j'avais totalement arrêté de respirer . Je les regardes avant de croiser les bras et de dire :
-Moi : Vous ne m'avez pas prévu que vous veniez .
-Amine : Inaya voulait te faire une surprise
-Inaya : NON MAIS QUEL MYTHO, j'étais tranquillement sur mon canapé quand tu m'appelle en disant « je suis en bas on va chez Nesrine »
-Amine : Connasse t'était pas censé le dire !
-Inaya : Ouai bah j'ai changé d'avis
Je secoue la tête en souriant légèrement. Leurs dispute m'avait manqué. Enfaite ils m'ont manqué tout court .
-Moi : Vous voulez manger quelque chose ?
-Amine : T'inquiète on va sûrement trouver quelque chose dans les placards
Puis ils se déplacent dans la cuisine est Inaya ouvre le frigo en l'examinant de près et Amine ouvre un placard . J'hausse les sourcils.
-Moi : Faite comme chez vous surtout !
-Amine : Oh t'inquiète t'avais pas besoin de le dire
-Inaya : Ah oui j'ai oublié de te dire , t'a maison est super canon !
Je secoue la tête et me pose sur la grand chose de la cuisine . Amine pose des gâteaux sur la table et Inaya pose des boissons .
-Inaya : Appelle ton marie
Vraiment pas super idée Inaya je crois que c'est la pire des idées que t'a pu avoir jusqu'à présent
-Moi : Non , il est occupé
-Amine : Tu m'a pas dit qu'il était pas souvent ici ?
-Moi: Si , mais il vient quand même et puis c'est sa maison je te signale
-Inaya : Tu nous parle jamais de lui , alors ?
-Moi : Alors quoi ?
-Amine : Vous vous entendez bien ?
-Moi : Euh...ouai
C'est pas comme si y'a même pas 2 minute il voulait littéralement m'égorger , nonnnnn
-Inaya : Vous vous êtes déjà parlé au moins ?
-Moi : Bien sûr que oui Inaya , sa fait 2 mois que je vis avec lui
-Inaya : Bah excuse moi mais tellement que tu nous parle jamais de lui on dirait qu'il existe même pas
-Moi : Tout simplement parce que il n'y a rien à dire
-Amine : Et pourquoi ...
-Moi : Est ce que on peut arrêter de parler de Farès pendant 2 minute s'il vous plait ? Si vous avez des questions à lui poser il est à l'étage , allez-y !
-Inaya : Sans façon merci , son regard me fait flipper
Je ne dit rien et pique des gâteux que Amine a devant lui et me celui-ci me lance un regard noir :
-Moi : Me regarde pas comme sa je te rappelle que c'est mes gâteaux
-Amine : Sauf que je l'ai ai pris en premier
-Inaya : Vous êtes des gamins
-Moi : Alors toi , en la pointant du doigt, t'a même pas le droit à la parole
-Amine : Elle dit qu'on est des gamins alors qu'elle regarde encore Miraculous
-Inaya : C'est pas que pour les enfants
-Amine : Ouai ouai aller bouffe
-Moi : À au faite j'ai croisée Moaad
-Amine : Putain il date ce pd , il a disparu du jour en lendemain
-Inaya : Il va bien ?
-Moi : Ça va, toujours aussi con
Amine : Combien de fois je l'ai recalé lui
C'est vrai que Amine était toujours là quand il faisait des bêtises. Il faut savoir que Amine a 22 ans , il a 1 ans de plus que nous et il est en BTS . Moaad faisait assez de bêtise quand il était jeune et vu que Amine et lui habitait dans le même bâtiment , il se voyait régulièrement et son devenue pote rapidement.
Ils sont restées peut être une heure , une heure et demi et sa m'avait tellement du bien de les revoir et de rigoler. Sa m'a permis d'oublier le temps d'un instants Farès alors qu'il était à l'étage et qu'il attendre qu'une seule chose , me réduire en bouillie .
Mes meilleurs amis ont décidés de partir parce que il commençait à se faire tard . Mon coeur a commencé à accéléré parce que je sais ce qui va se passer quand ils vont passés cette porte . Je sais pertinemment ce qui va se passe même si j'avais pensée qu'il s'était calmée .
Une fois qu'il ont passés la porte d'entrée je m'adosse sur celle-ci et réfléchit . Est ce que je devrais m'enfuir ? Peut être . J'en sais rien .
Je me dirige vers la cuisine pour aller boire un verre d'eau quand j'entends
-Farès : Donc moi je suis un pd ?
Je me fige instantanément et tourne ma tête vers celui qui vient de prononcer cette phrase avec tellement de haine . Il était envahi par la haine et la colère . Je le voyais , il n'était pas lui même à ce moment . Je n'avais pas à Farès devant mais à un démon .
-Farès : Répond !
Il commence à avancer vers moi alors je recule pour me mettre derrière la table . Seul l'îlot central de la cuisine nous séparait , on était face et face et lui me regardais avec haine , moi je le regardais avec crainte .
-Farès : RÉPOND !
-Moi : Farès calme toi , t'es pas dans ton état normal .
-Farès ; DONC MOI JE SUIS QUI TU FAIT UN CÂLIN À UN MEC DEVANT MOI DANS MA MAISON
Il prend un verre qui traînait sur la table et me la jette dessus . J'ai eu le temps de me cacher derrière la table et le verre se casse en mille morceaux sur le mur derrière moi . Le bruit me fait crier d'effroi sans que je puisse le retenir . Puis sans que je m'y attende Farès et là , à côté de moi . Il me prend violemment par le bras et de me jeter toujours violemment par terre .
-Farès : Je m'en bat les couilles que ce soit ton meilleurs pote , j'en ai rien à FOUTRE
-Moi : FARÈS PUTAIN CALME TOI MERDE
-Farès : Je t'ai dit tout à l'heure que t'allais regretté d'avoir dit oui à la mairie et là crois moi que tu vas bien regretter .
Puis je crois que je n'ai même pas besoin de vous dire ce qui s'est passé ensuite . Il était violent , tellement violent quand s'en ai même impossible de décrire . Il s'attaquer à mon ventre et seulement mon ventre . Pas mon visage , pas mes jambes juste mon ventre . Il donner des coups de pieds violent , des coups de poings violent les une que les autres . J'ai essayé de me défendre ...j'ai essayé . Mais cela n'a fait qu'augmenter sa colère . Je ne sais pas combien de temps c'est écoulé . Peut être 5 ou 10 ou 20 minute . Putain j'en sais rien! Je commençais à voir flou et mon ventre me faisait un mal de chien . J'allais m'évanouir, je le savait et je crois que c'est mieux comme sa .
Je ne veux plus le voir , je ne veux plus recevoir ces coups , je ne veux plus souffrir . Je suis fatigué , tellement fatigués que sa en devient aberrant .
Plus les secondes passés plus mes paupières devenait de plus en plus lourde et c'est à ce moment là que j'ai sombrer dans l'inconscience
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J'avais mal
Beaucoup trop mal
J'arrive pas à bouger
Mon ventre
La lumière du jour traverse la baie vitré et mes paupières clignent plusieurs fois avant d'enfin les ouvrirent . Je reconnus directe là pièce dans laquelle j'étais . J'etait dans ma chambre , sur mon lit . Les souvenirs de la veille était encore flou dans ma tête alors je reste dans ce lit à me remémorais les souvenirs précédant .
Puis après 10 minute je me suis souvenue de tout , la colère de Farès , Amine et Inaya , la haine et la violence de Farès . Mon ventre me l'acérée , je n'arrivais pas à faire un geste tellement sa me faisait mal . Sans que j'y puisse faire quoi que ce soit , des larmes coulent le longs de mes joues .
J'avais mal ...tellement mal . Et c'est à ce moment là , que je ne pouvais pas le pardonner . En faite ...je ne lui est jamais pardonnée .Et je ne lui pardonnerais certainement jamais .
J'essaye de me relever mais c'est impossible. Alors j'essaye de soulever mon tee shirt et lève de tête et quand je vois les couleurs qui orne mon ventre je crie de frayeur . C'était énorme , un énorme bleu mélanger à du violet et du jaune , c'était degeulasse. Et j'éclate en sanglot , je laissais couler toute les larmes que je retenais . J'étais fatigué , épuisé que ce soit mentalement ou physiquement .
Je regarde le réveille qui était posée sur mon table de chevet et je vois 10 h30 . A cette heure-ci je devrait déjà être au travaille . Par chance mon téléphone est sur ma table de chevet alors je l'a saisi assez difficilement et composé le numéro de mon patron:
-Mon patron : Nesrine ? Je peut savoir où tu est ? Nous avons besoin de toi
-Moi : J...je suis désolé je ne peut pas venir aujourd'hui...en faite j'aimerai prendre 1 semaine ou 2 de congé
-Mon patron : Mais enfin Nesrine , vous vous êtes déjà absenté plusieurs jours ces deux derniers mois ! Qu'est ce qu'il se passe ?
-Moi : Je...je suis vraiment désolé ...mais je suis en incapacité de travailler , je rattraperai toute mes heures
Je l'entend souffler au bout du téléphone et dit :
-Mon patron : Très bien , mais je te préviens d'avance tu ne seras pas payé pour ces 2 semaines de congé .
-Moi : Ce n'est pas grave au revoir
-Mon patron : Au revoir Nesrine .
Puis je raccroche et regarde le plafond pendant je ne sais pas combien de temps . Puis tout d'un coup j'entends la porte s'ouvrir et je savais très très bien qui c'était . Je ne tourne pas la tête , non je ne voulais plus le voir . Il me dégoûter et en l'occurrence je me dégoûter aussi .
-Farès : Prépare à manger pour ce soir y'a mes potes qui vient
Puis il claque la porte . Simple et Efficace. Sec et froid . Puis tout doucement mes paupières commence doucement à se refermer et je me suis rendormi . Avec cette douleurs insoutenables.
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Sa m'a pris au moins 30 minute pour me lever de ce lit . Il était 19 heure et j'etait encore plus fatigué qu'avant . Je n'osais même pas me regarder dans le miroir . Je suis sûr que j'ai une mine effroyable et que les cernes creusent sous mes yeux . Pour se lever du lit et de descendre les escaliers sa été une dure épreuves . Je tenais mon ventre sans trop forcée et je criais totalement de douleurs . J'étais sûr que j'allais m'évanouir de douleurs à ce moment là .
Une fois arrivé dans la cuisine je souffle un bon coup en me tenant à l'îlot central . Je suppose que vous vous poser la question . Tu va quand même pas lui faire à manger alors qu'il vient de te battre ? Vous avez raison , je ne l'aurai jamais fait mais comprenez moi , je suis fatigué de me battre contre lui et j'en avais marre de souffrir . Il était dominée par la colère et je savais que ça pouvait recommencer. Alors je ferai à manger comme il me l'a demandé .
Parce que en réalité depuis hier soir , il me fait peur . Farès me fait peur et je l'assume .
Je commence à sortir du frigo tout ce qui me faut pour faire à manger . Plus je fait des pas , plus mon ventre se serré et c'était affreux.
Puis tout d'un coup , sans que je m'y attende , la grande baie vitrée explose et des bruits stridents résonne dans la maison . Ces bruits...sa ressembler ...
A des bruits de balles
Je me baisse pour me cacher derrière l'îlot pour me protéger des balles qu'ils sortent de je ne sais où . J'entends la porte s'ouvrir violemment puis d'un coup plus rien . Je n'entend plus rien .Les balles avaient cessés . Mon coeur battait à fond dans ma cage thoracique et j'étais à deux doigts de la crise de panique. Mes mains que j'avais mis au dessus de ma tête trembler tellement .
Il n'y avait plus de bruit alors je me lève toujours avec là douleurs insupportable de mon ventre et quand mes yeux se posent sur eux , j'ai eu un haut le coeur .
Des hommes
Des vingtaine d'hommes
Armées
Et ils visées quelque chose de précis
Il me vissé, moi
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