MARIPOSA | T.1 / T.2

Por iamkunafa

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Le poids d'un secret et une seule journée pour tout faire basculer. Alors qu'elle ne cherchait qu'à fuir son... Más

TW.
PROLOGUE.
CHAPITRE 1. Chicago, Illinois.
CHAPITRE 2: Secret.
CHAPITRE 3: Fuis.
CHAPITRE 4: Stella.
CHAPITRE 5: Un rêve.
CHAPITRE 6: Rapt.
CHAPITRE 8: Le destin.
CHAPITRE 9: Elle.
CHAPITRE 10: Petit papillon.
CHAPITRE 11: Sans réponses.
CHAPITRE 12: Une seule question.
CHAPITRE 13: Résonner.
CHAPITRE 14: Entre mes mains.
CHAPITRE 15: Sa cadence.
CHAPITRE 16: Avec les crocs.
CHAPITRE 17: Kill me, Mariposa.
CHAPITRE 18: Mourir.
CHAPITRE 19: Ma tombe à Manhattan.
CHAPITRE 20: Mon reflet dans le miroir.
CHAPITRE 21: Matinée sympathique.
CHAPITRE 22: Famille King.
CHAPITRE 23: Cauchemars Papillon.
CHAPITRE 24: Je peux gérer.
CHAPITRE 25: Ne t'envoles pas.
CHAPITRE 26: Paralysie.
CHAPITRE 27: Poumons contre moi.
CHAPITRE 28: Si légère.
CHAPITRE 29: Le silence est de mise.
CHAPITRE 30: Côme, le psychopathe.
CHAPITRE 31: Je me souviendrais de toi, Mariposa.
CHAPITRE 32: Ce qui te fais vibrer.
CHAPITRE 33: Dormir sans cauchemars.
CHAPITRE 34: Recommence encore.
CHAPITRE 35: Pourquoi elle.
CHAPITRE 36: Emprise.
CHAPITRE 37: Dangereuse flamme noire.
CHAPITRE 38: Chaotique, Mariposa.
CHAPITRE 39: Die for you.
CHAPITRE 40: Papillon entre les lignes.
CHAPITRE 41: I can't share you.
CHAPITRE 42: Explose avec moi.
CHAPITRE 43: Lavande & Satin.
CHAPITRE 44: Love.
INTERLUDE.
T O M E I I.
T.2 | Prologue.
CHAPITRE 1: Seul.
CHAPITRE 2: Jeu d'âmes.
CHAPITRE 3: Plus jamais.
CHAPITRE 4: La dose Papillon.
CHAPITRE 5: La mariposa verde.
CHAPITRE 6: Mabel.
CHAPITRE 7: Sur mon cœur.
CHAPITRE 8: Calendula officinalis.
CHAPITRE 9: Toxines.
CHAPITRE 10: Promise you a home.
CHAPITRE 11: Vivre ou mourir.
CHAPITRE 12: Devant Dieu.
CHAPITRE 13: Stonehead.
CHAPITRE 14: Jamais, plus jamais.
CHAPITRE 15: Cœur violent.
CHAPITRE 16: Noir et lumière.
CHAPITRE 17: Larmes de neige.
CHAPITRE 18: Devant toi.
CHAPITRE 19: Sad, but optimistic.
CHAPITRE 20 : Cœur de glace.
CHAPITRE 21: Faux semblant.
CHAPITRE 22 : Bienvenue à Richmond.
CHAPITRE 23 : Faire un.
CHAPITRE 24 : Pierogi.
CHAPITRE 25: Through music.
CHAPITRE 26: Bleeding love.
CHAPITRE 27: Effet papillon.
CHAPITRE 28 : La fin d'un chapitre.
CHAPITRE 29 : Albane.
CHAPITRE 30: Rolling in the deep.
CHAPITRE 31: Haine et obsession.
CHAPITRE 32: 1000 mots.
CHAPITRE 33: Zostane.
ÉPILOGUE.

CHAPITRE 7: Qui-est-ce ?

172K 7.9K 25.7K
Por iamkunafa

Bonjour mes kunefettes, ça-va? 🌹


Oui, oui un chapitre le 1er parce que j'ai rien à faire de concret en fait 😂 ! Je m'ennuie trop je fête pas le nouvel an 🥲.

Mais genre on est en 2022 là, 😭 ! Bon, bon, qu'Allah vous préserve mes chouchous on espère une année d'évolution positive c'est déjà ça 😂 !

Je vous laisse avec la suite ❤️


Bonne Lecture! 📖

Xoxo - Iamkunafa. 🍓





🂡


Francisco Ave

Chicago, États-Unis

Quelques heures plus-tard.





ALEXANDER.




Je déteste l'odeur du chloroforme sur mes doigts. Surtout quand je dois manger. C'est le truc qui me fait vriller. Heureusement que j'ai mis les gants en cuir.

Les hommes font monter boucle d'or a l'étage. La passion qui me fait mâcher mes nouilles, me rappelle que ce sont les meilleures de la Terre. Celle de chez TAO Chicago, un magnifique restaurant chinois où je suis accueilli comme le roi du monde parce que je suis le meilleur de leur client. Le plus fidèle aussi...

Le goût magique des nouilles au bœuf la sauce, tout ça, c'est pour m'emmener aux Paradis sur Terre...

— Peyton.

— Hu'm'a-.

— Avale, avale, avant de parler, putain !

— Non mais-.

Ryam, le bras-droit officiel de Côme, autrement dit le corps de tank, s'est permis de s'asseoir à côté de moi sur ce canapé. Putain, je fixe sa gueule de brigand et plus les secondes passent, plus je sais que je ne le supporterais jamais ce putain d'alcoolique !

— Ne m'appelle plus jamais Peyton, sombre rat, articulais-je en avalant.

— Peyton, répète-t-il d'un air moqueur, c'est l'heure, il me semble.

Je ne sais pas ce que ce sorcier m'a fait mais je me suis étouffé en avalant mes nouilles au bœuf à la sauce soja sucré bio, putain ! J'ai senti ma gorge se nouer à mesure que je toussais pour m'en sortir, mais rien à faire ses putain d'yeux noirs ne me donne l'impression qu'une incantation mauvaise me fait sombrer dans l'étouffement !

— Allons, allons. Calmons-nous !

Ryam m'a tapé dans le dos. J'ai violemment repoussé sa main. Je préfère me faire assassiner pour 3 pâtes et du boeuf qu'être sauvé par Ryam le tank.

— Toujours aussi agressif Peyton. Je ne te comprendrais jamais.

— Est-ce-.

J'ai toussé comme un mort-vivant. Il a ricané. Le genre de rire qui n'en est pas vraiment un en fait, je n'ai jamais vu Ryam rire avec joie. Et pourtant ça fait des années que je sers cette mafia.

— Quand est-ce que Côme arrive exactement ?

— Si on se bouge maintenant on le récupérera sur le tarmac dans deux heures, comme prévu ?

— Ah ok. Ferme-la, continuais-je en me lavant.

— Tu m'as posé la question le premier !

Il a froncé les sourcils, mais j'aimerais arriver au jour où j'arriverais à le faire sortir de ses gonds comme il le fait avec moi.

— Je m'en bats les couilles !

— Tant de repartie. Bon aller, c'est l'heure.

Je ne précise pas que tout le plaisir que j'éprouvais pour mes nouilles au bœuf s'est évaporé en même temps que le visage de Ryam m'est apparu. Dégoûté de devoir jeter mes précieuses, je longe la salle de séjour afin de les déposer dans le fond de la poubelle. Sans brutalité.

Et autre chose que je ne précise pas c'est que ce salon est plein à craquer de tous ces hommes qui constituent ce qu'on appelle plus communément, la mafia ? Oui c'est ça.

En me faufilant vers l'évier de la cuisine, j'évite un attroupement, c'est juste Josh et John, on les appelle double J. parce qu'ils ne font rien l'un sans l'autre. Ils ne sont pas importants je ne vais pas passer ma vie à vous décrire les environs parce que j'ai d'autres chats à fouetter.

C'est l'heure de récupérer la tête !

— Bon aller, aller, aller les connards on y va !

Je claque des mains. Qu'on ce le dise personne ne fait autant de bruit que moi. Les hommes se lèvent, nous ne sommes pas obligés d'y aller aussi nombreux mais moi j'aime faire le show et j'ai envie de voir son visage grimacer quand il descendra les marches de son jet privé.

Ma Kalachnikov posée en biais sur le canapé trouve la douceur de mes doigts. Je préfère ce type d'armes aux petites. Disons que c'est toujours un peu plus impressionnant de planter ça au beau milieu d'un gros front qu'un putain de glock 17 ?

Je récupère ma veste de motard par la même occasion. Celle-là, c'est une de collection. Offerte par mon père en 76. Alexander Peyton le 1er ! C'est du sérieux !

— On part maintenant, prononce Sage, pour arriver avant lui, selon mes calculs on en a pour une heure et demie de route.

Je regarde Sage qui m'a rejoint. Toujours avec son jeu de carte en main, le bruit de son mélange est assez agréable tant il est uniforme. J'aimerais bien qu'il m'apprenne à jouer. Mais Sage est trop perché et quiconque n'apprécie pas mes nouilles aux bœufs n'est pas digne de mon attention.

— Arrête de calculer, lui répondis-je sèchement.

Ma poigne ouvre la portière conducteur. Je m'engouffre dans le véhicule. Je ne suis pas comblé parce que je n'ai pas fini de manger. Et même si l'heure est plus grave aujourd'hui j'aurais bien voulu me les bouffer ces nouilles !






🂡






J'ai croisé les bras sur le toit de la Audi. Mes doigts tapotent la carrosserie. On attend, en fait il y a quatre voitures qui attendent. Je commence à me faire extrêmement chier.

Dans mon immense lassitude, je décide de changer de position en collant mon dos contre la voiture.

J'ai regardé cette mafia. Cette vingtaine d'hommes qui n'en attendait qu'un. Je me suis dit, ouais c'est ça la vie qu'on a choisie. Et puis il n'y a rien d'autre à dire je ne vais pas non plus vous faire la morale pour la simple et bonne raison que je ne suis pas votre daronne. On triche dans cette vie, c'est mal, mais on fait bénef, et on n'en demande pas plus. Je m'en fous de savoir qui ça blesse, qui ça pénalise. Je veux juste avoir suffisamment d'argent pour une chose qui me regarde.

Entre les hommes de Côme et ceux de son père, le mélange est clair. Il y a les chiens de guerre du père et ceux du fils. La voiture d'Aaron King (le paternel de Côme) c'est la berline noire blindée. Une Mercedes banalisée si simple qu'on ne se dirait jamais qu'un parrain de la pègre rentre dans son manoir dedans.

— Après... Après ça, on sera des rois.

J'ai tourné la tête vers Ryam qui a prononcé ces paroles idiotes. J'avais déjà envie de le frapper. Il m'insupporte au plus haut point, mais c'est le bras-droit de monsieur King. Je n'ai pas vraiment mon mot à dire sur sa personne, je suis venu après lui.

Bon ok la vérité c'est qu'un matin nous avons débattu sur les nouilles aux bœufs et je n'ai pas du tout apprécié la tournure qu'à pris cette discussion. Je ne l'ai jamais accepté à partir de là je n'ai plus rien à lui dire.

C'était il a y longtemps.

Très longtemps.

En laissant mon regard au loin. Le ciel laisse les courbes d'un jet blanc refléter le rose orange de la fin d'après-midi. J'espère que Côme va apprécier son petit cadeau d'accueil parce que c'est quand même du lourd ce que j'ai réussi à lui dégoter ! J'en ris rien qu'en pensant au fait que c'est moi qui ai trouvé cette perle rare pas ce foutu Ryam !

Ha ha ha ha ha !

Enfin...

Un peu de tenue.

L'avion me semble ridicule au loin. Sa courbe descend vers la terre jusqu'à ce que se posent ses roues sur le sol. Les hommes commencent à redémarrer les véhicules. Je me décolle de la RS6 mais nous restons près des voitures. Seuls Ryam et Baldwin (le bras-droit du père de Côme) s'avancent vers le jet.

Sage et moi ne sommes que les hommes de main. J'ai ma place ici juste parce que je sais tirer. Je sais extrêmement bien tirer. Et surtout parce que Côme sait que je n'hésiterais jamais à appuyer sur la détente. Il sait que s'il me demande une tache, à telle heure, tel endroit, telle personne, quand je rentrerais ça sera fait. Il le sait, et moi aussi je sais que je le ferais.

Et le jet qui ralentit drastiquement.

Il finit par s'arrêter devant les bras-droits, j'attends la kalasknikov dans la main. Elle ne me quitte jamais de toute façon.

Puis quelques secondes, avant que la porte automatique de l'avion se baisse laissant découvrir un escalier en bois ciré. Qu'est-ce que ça a du bon les pépettes comme on dit dans le jargon. Si ce n'est pas pour ça que nous avons choisi cette vie-là, je ne sais pas pour quelle autre raison.

La première chose que je remarque quand les foutues portes du jet se baissent, c'est que c'est le gros ventre du père de Côme qui descend le premier.

Collé sur son visage l'expression qu'il domine tout le monde ici et surtout que personne ne vaut mieux que lui me frustre déjà. Vous aurez remarqué que je n'apprécie pas beaucoup de monde, et bien son immense daron en fait partie. Et il n'y a pas de raison particulière ça tête ne me revient pas et ça s'arrête là. Disons que je suis très visuel, pour le moment la seule personne que je tolère c'est Côme.

Je ravale (partiellement) mon envie de le toiser lui et son ventre de parrain de la pègre. Il réajuste la veste de son costume en fermant le bouton du haut, je lui dois le respect quoi qu'il arrive, parce que c'est le père de mon boss, et aussi parce que théoriquement c'est lui qui paie mes impôts (je ne paye pas d'impôt).

Quand il descend les marches emplies d'assurance sans accorder l'once d'un seul regard à quiconque ne ressemble pas à Baldwin. Je comprends une énième fois que nous sommes de la marchandise remplaçable. Nous traitons avec son fils pas avec lui. Et c'est sa mafia, pas celle de Côme.

Je regarde un instant Aaron King s'avancer vers nous accompagner de son bras-droit. Et mes yeux remontent vers la porte de l'avion. Quelques secondes de rien, avant que Côme ne passe le pas de la porte en courbant la nuque pour passer.

Je remarque immédiatement qu'il est en colère. Non en fait c'est un trop petit mot. Il a la haine. La rage, il va exploser.

Aaron nous passe sans un mot. Je l'entends demander un rapport à Baldwin qui s'exécute immédiatement.

La démarche rapide de Côme m'indique que ça ne sert à rien de parler. Il a le regard noir, les traits renfrognés et lui qui est si « proche » de son père s'ils ne marchent pas côte à côte c'est que je suppose que la source de sa haine est son propre père.

Il tient à bout de bras sa veste de costume. Le genre couleur écru. Il n'a qu'une envie c'est quitter les lieux. Et moi je veux dormir, non, manger des entrecôtes ou des nouilles au boeuf, et après m'endormir avec une bière et bon film.

Je reviens sur terre et je suis aimanté par la présence de Côme. Nos regards se croisent, par respect je le salue d'un hochement de tête. Il répond de la même façon agrémentée d'un haussement de sourcil.

Ma main tapote le toit du véhicule. Ryam attend son boss en bas du jet, inutile de m'éterniser, je pénètre la audi m'installant sur le siège derrière le conducteur. Sage me rejoins lui aussi. Un silence plombe un peu la fin d'après-midi, nous sommes les hommes les plus proches de Côme mais on ne parle pas beaucoup.

Et mon téléphone vibre dans ma poche quand Côme s'installe sur le siège passager. Dieu merci ce n'est pas lui qui conduit, Côme en colère plus la conduite, c'est l'accident assuré, c'est déjà arrivé, et plein de fois.

Après une seconde vibration, je soulève ma fesse gauche en mettant ma ceinture parce qu'en fait je déteste aussi la conduite de Ryam. Il freine d'un coup, et à chaque fois qu'il accélère il fait des à-coups. Ça m'agace !

Le véhicule se secoue légèrement quand Ryam s'installe derrière volant. Il tourne la clé, le moteur qui vrombit réchauffe les cylindrées.

Le silence de la colère nous terre. Ce n'est pas vraiment gênant. C'est juste lourd à encaisser. Je baisse les yeux sur mon téléphone:

Anton: « Tu rentres ? »

Il veut quoi lui ?

Anton: « La fille est toujours dans les vapes. »

« Secoue-la, on rentre. »

Anton: « Je l'ai fait. Rien à faire. »

« Alors laisse, Côme se chargera de la réveiller lui-même. »

Il n'a pas répondu.

J'entends le glissement de la fenêtre de Côme se baisser. J'ai relevé la tête, l'instant qui suit, à deux reprises son pouce a fait rouler la molette de son briquet. Marlboro. Il ne fume rien d'autre.

— J'ai une fille qui pourrait t'intéresser, Côme.

L'odeur embrume le véhicule quand il expire la première taffe, je pense à mes nouilles pour oublier l'odeur. Entouré des véhicules blindés de cette mafia, le véhicule prend de la vitesse sur l'autoroute.

Côme souffle une nouvelle fois en direction de la fenêtre. J'attends qu'il daigne à me répondre, je sais que c'est inutile d'insister quand il est dans cet état-là. Je me demande bien ce qui a pu provoquer sa colère...

— Tu as mes tableaux.

Lui aussi ! Réponds à mon annonce là !

Et d'ailleurs en dehors de l'immense vent qu'il vient de me jeter à la gueule, sachez que ce n'est pas vraiment une question. Il aime bien faire ça lui ! Poser une question qui n'en est pas une en vrai ça signifie, « j'espère pour ton petit cul que tu as mes tableaux. »

— J'ai tes tableaux. Ils seront revendus ce soir. Client slovaque, selon les éclaireurs il propose sept millions pour les trois.

— Ne reviens surtout pas avec moins de douze millions. Kyle est mort pour ces tableaux.

— Entendu.

Il en est à sa troisième cigarette, je sais qu'il est tendu... Ça s'annonce trop mal pour nous. Quand Côme pète des plombs, ce n'est bon pour personne. Ni pour moi, ni pour Sage, ni pour Ryam lui-même.

— Je m'en bats les couilles des filles que tu trouves Alexander, finit-il par me répondre, tant qu'elles amassent suffisamment de billets au club ce n'est pas mon problème.

— Ouais, mais non, ce n'est pas une strip-tisseuse. C'est encore mieux !

Il a légèrement pivoté la tête vers moi sans me regarder en prononçant:

— C'est quoi ? Une vierge en détresse qui a besoin d'argent pour son grand-père malade ?

— Je n'en sais que dalle de ce qui s'est passé avec son cul, mais Díaz, ça te parle n'est-ce pas ?

Il a froncé les sourcils, cette fois-ci, j'ai capté son attention. Son regard vert se plonge dans le mien.

— Ne joue pas à ça Alexander.

— Surprise, répondis-je.

— Rien n'affirme que c'est elle, articule Ryam.

Si ce n'est pas de la jalousie, je ne vois pas ce que sa réflexion peut être d'autre ?

J'ignore ce lourdaud alcoolique et laisse mes yeux dans ceux de Côme, qui finit par me demander:

— Qui est-ce ?

— Mariposa Albane Díaz.

Quel plaisir de voir un peu de surprise sur ton visage.








🂡



Backup Account: ikunafa
@𝐢.𝐚𝐦𝐤𝐮𝐧𝐚𝐟𝐚 𝐬𝐮𝐫 𝐈𝐧𝐬𝐭𝐚𝐠𝐫𝐚𝐦

Dites-moi tous les filles, qu'est-ce que vous pensez de Mariposa pour le moment ?

J'écris tellement vraiment au feeling comme je faisais avec Valentina 😂❤️ !

En espérant que ça vous plaise 🌷 !

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