Mafia II ITERMINEI

By themisshunger

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Après avoir recommencé sa vie, T/p se rend compte que quelque chose cloche. Elle commence à recevoir de mysté... More

Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Info et Q&A
Q&A
chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
chapitre 16
Chapitre 17
chapitre 18
chapitre 19
chapitre 20
chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 31
Chapitre 32
Chapitre 33
Chapitre 34
Chapitre 35
Chapitre 36
Chapitre 37
Chapitre 38
Chapitre 39
Chapitre 40
Chapitre 41
chapitre 42
Chapitre 43
Chapitre 44
Chapitre 45
Chapitre 46
Chapitre 47
Chapitre 48
Chapitre 49
Chapitre 50
Chapitre 51
Chapitre 52
Chapitre 53
Chapitre 54
Chapitre 55
Chapitre 56
Chapitre 57
Chapitre 58
Chapitre 59
chapitre 60
Chapitre 61
Chapitre 62
Chapitre 63
Chapitre 64
Chapitre 65
Chapitre 67
Chapitre 68
Chapitre 69
Epilogue
Infos, Tome 3 et Plagia

Chapitre 66

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By themisshunger

Le souffle court, je refermais l'enveloppe délicatement. Avant même que je ne pense à quoi que ce soit, j'entrepris d'abords de rentrer à l'appart. Je ne voulais pas causer de drama dans le parking du centre. Je me voyais déjà entrain de soulever une voiture avec ma force de brindille et la jeter sur le premier passant qui me regarderait de travers.

Quand j'arrivais devant la porte, les clés avait tourné dans le bon sens, le paillasson n'avait jamais été aussi droit sous mes pieds et le hall ne m'avait jamais paru aussi vide. Le froid du métal de la poignée m'avait fait me rendre compte à qu'elle point je vivais. Je posa mes affaires dans l'entré, rangea mes clés et parti me faire du café, beaucoup de café. 

Comptait-il me le dire ? Comptait-il au moins le dire au Centre ? 

Il était malade. Voir même souffrant, et jamais je n'aurais pensé à lui comme étant alité ou ne serait-ce que pas dans son assiette. La sensation d'avoir prit un coup de batte dans le ventre et d'avoir porter deux tonne de riz sur les épaules m'avait fait me rendre compte à qu'elle point l'information était violente. Je m'assis sur la chaise du salon à côté de la petite table ou j'avais l'habitude de déjeuner avec Jisung et prit ma tête entre mes mains. Mon cerveau tournait à cent à l'heure et pourtant je pataugeais dans la boue. Que faire ? 

Feindre l'ignorance serait insupportable et je ne pensais même pas pouvoir le supporter quand je le reverrais. La vérité était tout aussi dur à avaler. 

Le pot que j'avais installé quand j'avais commencé à recevoir les lettres de Hyunjin avait bougé par je ne sais quel miracle et me fit me rendre compte que mon café avait fini de couler. Les lettres avait été un sujet inévitables quand Hyunjin s'était remit de ses blessures. Je me rappelle encore de son regard à l'hôpital quand il m'avait avoué les avoir écrites et déposer devant chez moi. Tout le temps ou j'avais disparu, il avait vrillé, pour essayer de se raccrocher à quelque chose, il avait passé tout son temps à me chercher, m'écrire, se rassurer comme il pouvait face à mon départ et la trahison de Woojin. 

Je souri en repensant à l'étrange excuse qu'il m'avait sorti. 

" J'avais besoin de trouver un but, une voie, une fin. Et finalement, tu n'étais que mon commencement. Tu avais fais un pas plus loin pour me faire avancer à mon tour. "

Poète à ses heures perdues, il avait fini par me chasser à grand coup de pied de sa chambre, à cause de la honte ou d'une fragilité caché peut être. Je ne savais pas. J'avais essayé pendant longtemps de comprendre, de mettre des mots sur le comportement de tous le monde mais rien n'expliquait véritablement l'année passé. On était tous perdus, apeurés, seuls au milieu de ce monde beaucoup trop vaste pour nous. Notre frivolité me manquais. J'étais nostalgique de nos conneries sans peur du lendemain et des piques enfantins qu'on lançait à tout vas. Quand est ce qu'on avait vraiment arrêté de se mêler de nos cul ? Quand est ce qu'on à cru que notre avis ce devait d'être dit tout le temps ? A quel moment avait-on décider de devenir le héro de l'histoire des autres jusqu'à s'approprier leurs propres douleurs, leurs expériences traumatisantes ?

Ma tasse de café dans la main droite, j'attrapa la panière qui contenait les messages et jeta le tout dans la poubelle. Je ne voulais plus vivre avec le passé. Je voulais reprendre ma vie comme au début, au moment ou j'étais là pour moi, pour eux et pas pour ce qu'il on puent ou pourraient être. Un sourire se dessina sur mes lèvres une nouvelle fois. Je pris mon téléphone qui reposait sur la table et envoya un message à Kyungsoo.

A Kyungsoo: 

Passe à l'appart quand tu veux. Ce soir Jeno vient manger, je suis sur que ça lui ferais plaisir de te voir ! Si tu as toujours le temps, vient donc te prendre ta raclé au Uno vieux papy. Fais attention à toi sur la route. 

----

Il me parlera de sa leucémie si il le souhaite, il le fera de lui même. Dans tous les cas, je serais là pour lui, peut importe la santé ou la maladie. 

Sur cette sage parole, j'enfila un pull nécessaire suite à l'hivers qui commençais doucement à prendre place dans la ville mais surtout dans mon appartement. Le chauffage était comme qui dirait inexistant. Je m'empressa de filer au panneau de contrôle du chauffage et de l'électricité et le mis au milieu. N'étant pas habille de mes mains, je n'avais pas de plantes qui aurait puent mourir ou se dessécher. Mingi me revient à l'esprit quand j'entendis la porte de l'appartement d'en face s'ouvrir et se fermer durement. Si il y a avait bien quelqu'un que j'avais oublié dans cette histoire c'était bien lui. Depuis que j'avais réellement commencer à travailler avec le Centre, je n'avais pas croiser le géant. Je n'était pas retourner au café non plus. Un sourire de déception passa mes lèvres tellement je me rendais compte a quel point je n'étais plus moi même depuis longtemps et comment je m'étais renfermé. Je regarda l'heure et me décida de bouger avant l'arriver de Jeno. 

17h30. J'avais encore du temps devant moi. La première décision de la nouvelle T/p viens d'être décidé ! Je glissa mes petit petons dans mes converses blanche et noir et franchis le seuil de la porte. Le voyage n'allait pas être long vu qu'il consistait simplement d'aller en face. Je toqua quatre petit coups et attendis que le propriétaire daigne bouger son cul pour m'accueillir. Un léger stresse me prit le ventre mais je devais avoir une conversation avec lui. 

Un Mingi sauvage apparu devant moi quand il ouvrit la porte et son expression surprise montrait bien à quel point il était étonné de me voir devant sa porte.

T/p: Salut... 

Le blanc qui s'ensuivit fut si profond qu'on aurait pu se noyer dedans. Mingi ne dit rien, il regarda simplement mes yeux et fini par réentrer dans son appartement en me fermant le battant au nez. 

T/p: Au moins ça à le mérite d'être clair. 

J'allais repartir chez moi quand la porte se rouvrit sur un Mingi saucissonner dans un gros manteau noir. Il ferma son chez lui tout en enfilant ses chaussures et se mit devant moi comme si il était évident que j'avais compris son manège.  

Mingi: Prend ton manteau on va boire un café.

Il n'ajouta rien de plus, ne me laissant pas le choix. Je ne lui dit as que j'avais déjà bu le mien et parti chercher mon manteau et mes clés. On parti sans un mot de plus à travers la grande ville qu'était Séoul à la recherche d'un café ouvert. 

Le bijoux que nous avions trouver nous permis de nous asseoir confortablement dans un coins tranquille. Mingi ôtât les trois couches qu'il portait et fini par commander un café pour lui et un chocolat chaud pour moi. Notre discussion commença sur l'une des phrase que je ne pensai pas entendre des le début.

Mingi: Comment vas ton copain ? 

Je cru tomber du siège et il pouffa comme si ma réaction était celle qu'il attendait. 

T/p: On va vraiment parler de ça ? Je pensais qu'on mettrait plutôt les choses au clair vis à vis de... la mafia, l'histoire avec la garde à vu, tout ça tout ça quoi... 

Mingi remercia la serveuse qui nous servie et elle ne manqua pas de me faire les gros yeux à l'entente de la fin de ma phrase. Je la remercie en lui faisant un clin d'œil et elle parti gênée. Le café était bien assez grand pour qu'on puisse parler de tout sans être déranger par les oreille indiscrètes. Mingi avait bien choisi.

Mingi: Il y à quelques temps, si tu m'avais parlé de ça, je n'aurais pas hésité à te coffrer et te foutre en cellule mais les chose on changé depuis. 

Il souffla et passa une main dans ses cheveux de mécontentement. 

Mingi: Je ne vais pas te mentir, j'ai passé quasiment toute ma formation à traquer la mafia, je voulais même entrer dans la brigade antimafia. Mais il s'avère que notre patron à changer. Apparemment nous travaillons de pair avec vous pour coincé les autres branches, nous on trouve et on arrête les méchant grâce à vous et en échange on vous laisse tranquille. 

Mingi semblait légèrement dégouter de travailler avec le Centre. Le voir ainsi me pinça le cœur mais je ne lui en dit rien.

T/p: Depuis quand ? C'est pour ça que tu nous as relâché Jisung et moi ?

Mingi: Entre-autre. Après votre départ mon équipe à reçu une jeune femme qui disait être la porte parole de monsieur K-SW. Elle à sorti tout un tas de papier nous insistant à ne pas chercher plus loin dans les affaires de la mafia et qui nous promettaient de nous amener les coupable pour classer l'affaire. C'était la même nana qui était venu défendre un des votre Seungmin ou je ne sais quoi l'ors de son procès.

Ha-Yi probablement. Entendre Mingi parler de ce qu'elle faisait me fit encore plus comprendre son travail. Elle nous sortais des merdes quand sa concernait la justice ou les accords. Une sorte d'avocat pour mécréants. Jeno c'était quand même trouver la copine parfaite... 

T/p: Je suis désolé de ne rien t'avoir dit. Je te jure que notre amitié n'a rien avoir avec mon statu dans la Mafia. Et puis ils ne sont pas si horrible que ça. Ce sont des types bien, même si ils on quelques problèmes avec la violence... 

Mingi: Je ne suis pas ton père, je ne vais pas t'interdire de faire quelque chose, mais fait attention à toi. Les histoires qui circulent à leur sujet ne sont pas vraiment un copier coller des bisounours. Maintenant je suppose qu'on peut dire qu'on est des sortes de collègues de travaille du coup. Quand je pense qu'au début j'étais sensé infiltrer votre soirée de charité, récolter des infos, maintenant je me retrouve a faire amis-amis avec les gens après qui je courrais. 

Il sourit en pensant à tout ça et fini son café d'une traite. Il me regarda et fixa quelques instant mon visage.

Mingi était un bel homme c'était indéniable, mais la haine qu'il avait envers les mafieux était presque de l'ordre de l'aversion. Son visage devenait toujours plus sombre quand c'était en rapport avec n'importe quel thème qui se rapprochait de près ou de loin à la mafia. Je ne savait pas comment il avait fini par ce plier au ordre mais ça devait être un supplice pour lui. 

Mingi: En dehors de ça, tu ne m'a pas répondu. 

T/p: De ? 

Mingi: Ton copain. 

T/p: Copain c'est un grand mot. 

Mingi sourit en coin alors qu'il avait enfin trouver un véritable sujet interressant. 

Mingi: Ton plan cul alors ? Moi je sais pas comment tu appelles quelqu'un qui vient chez toi tout les jours mais c'est soit un voisin qui n'a pas le sens de la vie privé, soit ton petit ami. 

T/p: Je suppose que c'est mon copain alors... Enfin c'est plus compliqué que ça... Disons que l'on sort ensemble depuis un mois mais qu'il n'a jamais vraiment mis de mot sur notre relation. 

Mingi: Il t'a jamais dit "Je t'aime" ? 

Je secoua négativement la tête. Mingi fini par véritablement rire. Je ne trouvais ça pas mais alors pas du tout drôle. 

T/p: C'est ça moque toi de moi. 

Mingi: Oui tu as raison, j'arrête...

Il essaya tant bien que mal de se contenir mais les larmes aux bords de ses yeux le trahissait. 

Je frappa la tête de l'espèce d'asperge qui se tenait devant moi et il se remit à rire. Voir son visage aussi joyeux me fit du bien. J'avais beau lui avoir mentis, je préférais quand même largement quand nous étions ouvert l'un à l'autre comme des voisins normaux. Mingi se leva et regarda sa montre pour voir l'heure, je vis sur la mienne qu'il était 18h passé et on fila après avoir payé, content de s'être enfin retrouvé. 

Tout le trajet du retour fût parcouru de grand discours et de fou rire apaisant. Mingi n'avait pas changé. On se quitta dans une étreinte chaleureuse et chacun rentra chez soi. 

A 19h pile, Jeno frappa à la porte. Il rentra les mains pleine, un sourire pendant au visage. L'homme qui l'accompagnais avait fait une blague qui lui avait valu un énorme fou rire. 

Quand il vit mon regard il s'excusa directement toujours en souriant  tout en pointant du doigt l'homme derrière lui, un chien dans les bras. 

Jeno: Je te jure qu'il ne ma pas laissé le choix. 

Taehyung: Je t'avais manqué ?


-------- Fin du chapitre 66----


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