«Start all over again».

By Preety__

122K 9.4K 13.5K

En effet, où que l'on aille, quoique l'on fasse ; le passé finit toujours par nous rattraper. More

umue.
babidi.
isatu.
binayi.
itanu.
isambombo.
bantu.
mutekete.
muanda mukulu.
tshitema.
dikumi.
dikumi ne umue.
dikumi ne babidi.
dikumi ne isatu.
dikumi ne binayi.
dikumi ne itanu.
dikumi ne isambombo.
dikumi ne muteke.
dikumi ne muanda mukulu.
dikumi ne tshitema.
makumi abidi.
makumi abidi ne umue.
makumi abidi ne abidi.
makumi abidi ne isatu.
makumi abidi ne binayi.
makumi abidi ne itanu.
makumi abidi ne isambombo.
makumi abidi ne muanda mukulu.
makumi abidi ne tshitema.
makumi asatu.
makumi asatu ne umue.
makumi asatu ne abidi.
makumi asatu ne asatu.
makumi asatu ne binayi.
makumi asatu ne itanu.
makumi asatu ne isambombo.
makumi asatu ne mutekete.
makumi asatu ne muanda mukulu.
makumi asatu ne tshitema.
makumi anayi.
makumi anayi ne umue.
makumi anayi ne abidi.
talk.
makumi anayi ne asatu.
makumi anayi ne binayi.
makumi anayi ne itanu.
makumi anayi ne isambombo.
makumi anayi ne mutekete

makumi abidi ne mutekete.

2.6K 194 212
By Preety__

@Preety__ 🦂

27

«Les coups ne valent pas les mots».
__

Sourcils froncés, j'entre dans sa chambre d'hôpital puis laisse la porte se refermer derrière moi.

Je n'ai pas pu faire un pas de plus quand mon regard s'est posé sur lui. Allongé sur le sol, un énorme bandage blanc enroulé autour de sa taille, le visage balafré et en mauvais état, des bleus de partout, des fils reliés à lui...

J'étais en état de choc. Oui, c'est l'cas d'se le dire.

Mais son grognement m'a sorti de mes pensées, et je suis parvenue à réactiver mon corps pour lui ordonner de s'approcher de mon frère.

À une bonne distance, j'ai pu voir son visage s'illuminer d'un faible sourire.

Néhémie - ...j'suis si affreux que ça ?

— Oui. Tant que ça...

Je dépose les gamelles sur son chevet.

— Néhémie, je peux savoir qui t'a fait ça ?

Il détourne le regard en soufflant longuement.

— Néhémie.

Néhémie - C'est pas important.

— Bien sûr que si c'est important ! Tu te rends compte si Daiana n'avait pas été là tu serais sûrement mort ?! Mh ?!

Il souffle de nouveau. Assez bruyamment pour exprimer son mécontentement.

Néhémie - J'veux pas te mêler à ça.

— J'y suis mêlée par les liens du sang. T'es mon frère alors j'y suis mêlée.

Je saisis sa mâchoire entre mes doigt, puis je tourne son visage vers le mien.

— Pour la dernière fois Néhémie, qui t'a fait ça... ?

Il a tenté d'à nouveau tourner sa tête mais j'ai raffermi mon étreinte.

Néhémie - Esther s'te plaît...

— Réponds.

Il souffle longuement.

Néhémie - ...le gardien. C'est le gardien qui m'a fait ça.

__
24 heures plus tôt





Daiana amène son bubble tea à ses lèvres tout en restant attentive à mes paroles.

— Alors si on veut qu'il sorte de là faudrait commencer par trouver ces flics en question.

Elle avale ses quelques gorgées.

Daiana - J'peux toujours demander à Sylvia. Si on regarde le secteur, les caméras de surveillance et les registres des patrouilles des différents agents, on pourrait réduire la liste. Une fois la liste réduite je te donne les identités de ces agents, et tu les montres à Néhémie pour qu'il puisse les identifier. Ça te va ?

— Ça me va. Merci belle gosse.

Daiana - De riaaaan ! Sinooon, je sais pas si t'as reçu ta paye mais...

J'arque un sourcil. Elle va me faire dépenser celle-là je le sens.

Daiana - Ça te dit d'aller en vacance ? *sourire*

— Daianaaa ! Je bosse !

Daiana - Ouuui mais vas-y. En août ce sera carré. Tu travailles pas en août que je sache, je peux demander une semaine de congé auprès de Kelvyn. Et Ornella elle est stylist, elle a tout le temps pour elle esh.

Je me suis arrêtée au feu rouge, silencieuse.

Daiana - ...alleeeeeez...

Je l'ai regardé.

Elle me faisait des yeux de chat en tirant sa lèvre du bas.

— *fou rire* T'es vraiment moche comme ça. Arrête s'te plaît.

Elle m'adresse un long bruit de bouche.

Daiana - Ce sera cool de ouf. J'hésite entre l'Île Maurice et la Grèce.

— ...moi aussi. On demandera à Ornella.

Daiana - Alors tu viens ?!

S'exclama-t-elle.

— ...peut-être.

Elle me tchipe de nouveau.

Daiana - En vrai t'as grave pas le choix hein. T'es là tu veux faire la désirée mais copine, tu viens. Avec ou sans ton accord.

Je ris en roulant des yeux, avant de passer à une nouvelle vitesse une fois le feu vert.

N'importe quoi celle-là.

__

Je ferme la porte derrière nous avant de retirer ma veste en jean pour la ranger dans le placard dédié aux manteaux à l'entrée.

J'ai indiqué à Keenan d'aller se laver les mains entre-temps.

Je suis ensuite moi-même allée me laver les mains, après avoir déposé le sac de McDonalds sur la table de la cuisine.

Keenan est revenu vers moi une fois les mains propres. J'étais en train de disposer notre déjeuner sur la table quand il posa sa question, me prenant ainsi au dépourvu.

Keenan - C'est vrai que Daniel est sorti d'prison ?

Je me fige.

— Qui t'a dit ça ?

Il hausse ses épaules en s'asseyant sur sa chaise.

Keenan - Des gens à l'école. Ils se sont moqué de moi en disant que Daniel était un criminel et qu'il reviendrait pour tous nous tuer.

J'ai senti mon cœur se resserrer dans ma poitrine. Les enfants de cette école sont donc sans âme ?

C'est quoi leur problème au juste ?

— Oui, il est sorti. Il s'est évadé. Mais il ne nous tuera pas. D'accord ? Tu te souviens de ce que je te disais au sujet de Dieu ?

Keenan - Blabla «Toute arme forgée contre toi sera nulle et sans effet».

— Ameeen ! Donc, conclusion ?

Keenan - Mais Daniel c'est pas une arme.

— Tu sais, on n'a pas besoin d'être quelque chose de tranchant pour être une arme hein. Daniel t'a fait du mal, et en a fait à moi aussi. Il nous veut du mal. Alors en soi... C'est aussi une arme, puisque ses actes ont les mêmes conséquences que celles d'une arme.

Il hoche mollement la tête.

Keenan - Alors on n'a pas peur ?

— On n'a pas peur. On croit seulement. Mais pour l'instant tu dois manger. Allez.

Je glisse son plateau qui contenait son plat sous son nez, et il me remercie.

Il était sur le point de manger quand j'ai de nouveau ouvert la bouche.

— Et Keenan, la prochaine fois qu'ils te disent des choses de la sorte, tu n'as qu'à dire que chez les Kimeso, on ne connaît pas la crainte. D'accord ? Mais surtout ne t'étale pas sur le sujet. Un secret de famille. Donc c'est que la famille qui le connaît. D'accord ?

Keenan - Même pas Ethan et Kelvyn ?

Je secoue négativement la tête.

— Même pas Ethan et Kelvyn.

Il doit garder en tête qu'il ne doit dire à personne. Même s'il considère Ethan comme son frère, il ne doit pas le lui dire.

C'est un secret de famille.

— Maintenant prions, et mangeons.

Il sourit puis me tend ses mains, que je saisis en souriant aussi.

— Tu pries ?

Keenan - Oui.

Nous fermons nos yeux.

Keenan - Papa, nous te remercions pour cette grâce que tu nous donnes. Je sais que pas beaucoup de gens dans le monde mangent à leur faim, mais Tu nous as béni pour que nous mangions à notre faim et bien plus. Alors nous te remercions. Nous santifions-

— Sanctifions* mon coeur.

Keenan - Sanctions, ce plat par Ton sang et Tes mains glorieuses. Bénis la personne qui mange ce plat, bénis la main du cuisinier, bénis celle qui donne l'argent pour que nous mangions et donne de quoi se nourrir aux personnes qui souffrent de famine et malnutrition. Et surtoooout, fais en sorte que le McDo il soit dooooux !

Je ris légèrement.

— Amen ?

Keenan - Ameeen !

— Amen.

__

14 heures 17.

Aby était en plein fou rire suite à la vanne que j'ai lâché sur Hanna.

Faut voir comment son rire est communicatif. Un rire de sorcière punaise. *rire*

Aby - Et c'est tout le temps comme ça ?

— Tout le temps.

Elle rit.

Aby - Avoir un kieur noir ça paye pas franchma.

Je souris.

Une gamine. Enfin bref.

— Il sera bientôt 30 et j'ai un rendez-vous avec mon client. Mets ta veste. On y va dans 5 minutes.

Aby - Oui.

Je me lève de ma chaise pour ensuite glisser celle-ci sous mon bureau. J'enfile ma veste, avant de saisir ma pochette qui contenait le dossier de mon client à qui je compte rendre visite.

Aby m'a suivi jusque l'ascenseur que nous emprunté ensemble. Rapidement, nous avons rejoins ma voiture avant que je démarre, en direction du centre pénitentiaire où se trouve mon client.

Arrivées à destination, il a fallu que je remplisse bon nombre de document avant de pouvoir rendre visite à mon client, Aby sur mes pas.

Nous étions assises autour de la table quand le client est entré dans la salle.

Ilyès - Wesh ? C'qui là-celle encore ?

Gardien - Tu te la fermes. Arabe.

Ilyès s'est furtivement tourné vers le gardien en question.

Ilyès - T'as dit quoi toi ?

Gardien - Qu'est-ce que tu vas faire ? Mh ?

Dit-il en dégainant sa matraque.

Un long soupir m'a saisi. Je me suis levée afin d'intervenir avant que tout ne dégénère.

C'est toujours comme ça quand je rends visite à ce client. S'il continue ainsi il ne sortira jamais de cette prison.

— Ça suffit. Gardien, je vous prie de ne plus employer ce genre de propos-

Gardien - T'as pas d'ordre à m'donner, négresse.

J'arque un sourcil.

— J'ai entièrement le droit de vous donner des ordres au contraire, et je vous ordonne de sortir de cette pièce avant que je ne laisse mon client vous cogner.

Gardien - Si il ose-

— Sortez tout de suite où je m'assurerai personnellement que vous ne puissiez plus jamais nourrir votre famille convenablement.

Des paroles en l'air. Sa famille n'a rien demandé. Par contre le faire licencier c'est autre chose.

Il nous regarde de haut en bas, avant de sortir de la pièce en râlant dans sa bouche.

Une fois le calme revenu, nous avons pu nous installer autour de la table.

- Comment ça se passe depuis ma dernière visite ?

Ilyès - J'suis de plus en plus respecté. Il suffit d'être une terreur et ça y est, tout est dans la poche.

Aby - Dans ce cas-là ce n'est pas du respect. Ils vous craignent, ils ne vous respectent pas.

Ilyès lui lance un sale regard.

Ilyès - Elle veut quoi ta pote ?

- Arrête Ilyès. Et Aby, contente-toi d'observer. Okay ?

Elle acquiesce.

Je soupire en ouvrant donc ma pochette, avant d'en sortir plusieurs documents que j'ai glissé sous son nez.

- Ton procès arrive à grand pas. Grâce aux nouvelles preuves que j'ai récolté, je pourrai te faire sortir d'ici rapidement. Seulement Ilyès, j'ai besoin que tu me dises toute la vérité.

Ilyès - Tu le sais déjà : c'est pas moi qui ai tué ma nana.

Je soupire longuement, avant de passer une mèche derrière mon oreille.

- Dans cette prison il y'a une centaine d'hommes accusés d'avoir tué leur femme. Mais seulement 5 dont les accusations et les meurtres sont similaires à ton cas.

Ilyès - Qu'est-ce que tu veux dire ?

Je glisse la feuille des relevés téléphonique de sa copine sous son nez.

- J'ai besoin que tu me dises si ta copine avait certains ennemis, un passé conflictuel, et que tu me dises qui était ce Loundry pour elle.

À son expression faciale, j'en déduis que j'ai visé juste.

Il sait quelque chose.

Ilyès - Qu'est-ce que Loundry a à foutre dedans ?

- Page 7 s'il te plaît. Ligne 19.

Il passe les pages des relevés téléphoniques sous son nez jusqu'à la page 7, la ligne 19.

- Tu peux me lire ce qu'elle dit ?

Il souffle profondément. Du bout des doigts, il saisit la bonne page, il se redresse, puis il lit.

Ilyès - Sanah dit «J'ai vraiment besoin que tu me donnes mon traitement Loundry». Il répond : «J'ai promis à Ilyès de plus t'en donner». Elle dit : «Mais Ilyès ne sait pas c'que ça fait ! Sah Loundry, une dernière fois. S'il te plaît». C'est écrit qu'il soupire.

- Puis ?

Ilyès - Il dit : «Rejoins-moi au pont gris dans une heure. Et sois à l'heure».

- Qu'est-ce qu'elle dit ?

Ilyès - «Ramène 6. Franchement merci Loundry». Il dit qu'il veut que ça reste entre eux et que j'dois jamais savoir ça, et elle accepte.

Il dépose la feuille après que je le lui ai demandé.

- Sanah était malade ?

Ilyès - Non même pas wesh. Elle avait une bonne santé.

- T'es sûr ?

Ilyès - Ouais.

- Et maintenant que tu viens de lire ça, t'en es toujours aussi sûr ?

Ilyès - ...

- Écoute, l'autopsie montre que les marques autour de son cou sont les marques de ta main.

Ilyès - On s'était fortement disputé et dans la colère je l'avais étranglé.

Aby pousse un bref bruit de bouche.

- Est-ce que tu te souviens parfaitement de l'état dans lequel était Sanah quand tu es rentré chez-vous ? Raconte-moi ce qu'il s'est passé ce soir là, dans les moindres détails.

Il soupire longuement en fermant les yeux. Se remémorait-il sûrement la manière dont s'était déroulée cette soirée.

Au bout de quelques secondes, il rouvre les yeux. Et un long récit s'ensuit.

__

19 heures 45.

J'ai quitté le bureau y'a 15 minutes pour ensuite aller au poste. Étant donné que les enfants sont avec mes parents je peux bosser plus longtemps. C'est cool.

Je me suis garée devant le poste de police, avant de descendre de celui-ci et me diriger vers son intérieur.

J'ai laissé la porte se fermer derrière moi après l'avoir franchie.

Vu le monde qu'il y'a, j'ai préféré rester dans mon coin et me faire discrète.

Du moins, discrète jusqu'à ce qu'un agent de police, que je n'ai jamais vu dans ce poste, m'interpelle.

Je me suis donc dirigée vers lui en arrangeant le sac qui contient les gamelles de Néhémie sur mon épaule.

Le policier était accompagné d'un homme, tous deux étaient grands. Celui qui l'accompagne... Je suis certaine de l'avoir déjà vu quelque part...

Je plisse les yeux en détaillant davantage son visage du regard.

L'année dernière ! Je m'en souviens ! Je venais de divorcer avec Daniel et une équipe de policier passait par là, alors que j'étais venue donner le déjeuner à Daiana.

À cette époque elle n'avait pas encore été mutée en plein Paris.

L'équipe de policier à son poste se préparait pour aller choper un grand criminel. Parmi eux, y'avait un mec aux grosses fesses. Et je me suis pas gênée de le lui faire comprendre.

Daiana m'a repris en disant qu'on ne disait pas des choses comme ça. N'importe quoi.

L'homme qui m'a interpellé me tend sa main, et je saisis celle-ci. Malgré que j'étais sceptique.

... - Capitaine Liedson Makengo. Et voici mon collègue, Josaïah Ntanga.

— Enchantée. Je suis-

C. Makengo - Le maître Kimeso. *sourire* Qui ne vous connaît pas ? Votre procès sur le meurtre du fiancé de Tasha a fait un succès !

Je souris légèrement en guise de gratitude.

— Merci beaucoup...

C. Makengo - Par ailleurs, vous avez aussi pu travailler avec l'adjointe du procureur sur le meurtre du grand criminel, Kris Walker.

— En effet. J'ai pu faire part de mes conseils à l'adjointe du procureur, maître Makoyi.

C'est ma cousine ptdr. Je venais juste d'entrer dans le domaine, fallait bien que j'ai une certaine réputation pour commencer : Celle de la femme qui a travaillé au sein du bureau du procureur sur l'affaire de Kris Walker.

C'était l'affaire de quelques semaines pour ma part, mais ça m'a beaucoup aidé pour le début de ma carrière d'avocate.

Il acquiesce puis soupire profondément.

Josaïah - Pour aller droit au but maître, l'affaire sur le meurtre de Kris Walker continue. Nous essayons de démanteler son réseau de criminalité qui continue de s'étaler en France malgré que le dirigeant soit décédé. Nous soupçonnons la probabilité qu'un membre du gang des Snakes ait délibérément assassiné Kris Walker dans le but d'en reprendre les rennes.

J'acquiesce mollement.

- Je vois. Mais... quelle est la raison de votre présence ici ?

Les deux hommes soupirent.

C. Makengo - Il s'avère qu'un des membres des Snakes soit détenu ici, en détention provisoire en l'attente de son procès.

— Il est fort probable oui. Ce poste de police est situé dans l'un des quartiers les plus rentables de ce gang. Pourrais-je avoir l'identité de ce détenu ?

Ces deux hommes s'échangent un regard.

Un regard assez... suspicieux.

— Alors ?

Ils reposent leur yeux sur moi, et Josaïah pousse un fort soupir. J'ignore s'il s'agit d'un soupir d'exaspération ou d'autre chose.

Josaïah - ...il s'agit du détenu 1318.

— D'accord. Vous avez son identité, s'il vous plaît ?

Josaïah baisse sa tête. Le Capitaine Makengo reprend donc la parole, après un long silence des plus palpables.

C. Makengo - Il s'agit bien du détenu 1318. Autrement dit, le détenu Néhémie Kimeso.

__

Bethany K

Continue Reading

You'll Also Like

449K 52K 86
Quand les préjugés priment sur les valeurs sociale et religieuse, c'est difficile pour deux amoureux de classes sociales différentes de s'unir. Une r...
457K 19.4K 31
Leila 19ans, va vivre un Mariage forcer. Sera t-il un cauchemar comme la plus part de c'est mariage ou un Bonheur. Entre deception et joie, venez d...
935K 20.9K 103
« On ne choisi pas sa famille, ni ses parents, ni ses problèmes mais lui a décider de m'aimer »
23.1K 1.1K 88
Dans un monde rempli d'émotions et de rebondissements avec "Une Fille pour Deux Frères" ! L'histoire suit une jeune fille qui a perdu ses parents. Ap...