«Start all over again».

By Preety__

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En effet, où que l'on aille, quoique l'on fasse ; le passé finit toujours par nous rattraper. More

umue.
babidi.
isatu.
binayi.
itanu.
isambombo.
bantu.
mutekete.
muanda mukulu.
tshitema.
dikumi.
dikumi ne umue.
dikumi ne babidi.
dikumi ne isatu.
dikumi ne binayi.
dikumi ne itanu.
dikumi ne isambombo.
dikumi ne muteke.
dikumi ne muanda mukulu.
dikumi ne tshitema.
makumi abidi.
makumi abidi ne umue.
makumi abidi ne isatu.
makumi abidi ne binayi.
makumi abidi ne itanu.
makumi abidi ne isambombo.
makumi abidi ne mutekete.
makumi abidi ne muanda mukulu.
makumi abidi ne tshitema.
makumi asatu.
makumi asatu ne umue.
makumi asatu ne abidi.
makumi asatu ne asatu.
makumi asatu ne binayi.
makumi asatu ne itanu.
makumi asatu ne isambombo.
makumi asatu ne mutekete.
makumi asatu ne muanda mukulu.
makumi asatu ne tshitema.
makumi anayi.
makumi anayi ne umue.
makumi anayi ne abidi.
talk.
makumi anayi ne asatu.
makumi anayi ne binayi.
makumi anayi ne itanu.
makumi anayi ne isambombo.
makumi anayi ne mutekete

makumi abidi ne abidi.

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By Preety__

@Preety__ 🃏

22

«J'aurai au moins la vue sur tes fesses»
__

Je dépose mon sac sur le canapé avant de me tourner vers lui.

— C'est une blague papa ?

Papa - Quoi-

— Lever la main sur Néhémie ? Mais qu'est-ce qu'il t'arrive ?

Il soupire.

Papa - J'n'ai aucun compte à te rendre Bethany.

— Soit, mais j'aimerai comprendre en fait. Le tabasser... Qu'est-ce qui ne va pas chez-toi ? Des gifles tu nous en as mis, mais jamais Ô grand jamais tu ne nous as tabassé papa. Et par dessus tout, c'est Néhémie ! Celui que tu appelles bouffon à longueur de journée. C'est à croire que tu ne l'aimes pas.

Papa - Pèse tes mots.

— Je ne fais qu'un constat ! Je suis venue ici y'a quelques mois parce que Daniel avait levé la main sur mon fils. Tu le blâmais, et aujourd'hui tu reproduis ces mêmes bêtises ? Que ton fils soit en garde à vue ou non il a besoin de ton soutient !

Il croise ses bras sur son torse.

Papa - *arque un sourcil* Parce que c'est toi qui vas m'apprendre comment éduquer mes enfants maintenant ?

— Non. Mais c'est moi qui vais te rappeler que tu es sensé être un homme d'honneur, avec des principes et des valeurs. Et en l'occurrence, tabasser son fils, ne fait pas parti de tes valeurs.

Papa - Il a fait pleurer ta mère.

— Je l'ai fait aussi. Tous tes enfants l'ont fait.

Papa - Cet enfant est con ! Il ne fait qu'enchainer bêtise sur bêtise ! Je lui ai répété de laisser ses mauvaises fréquentations et aujourd'hui il risque la prison ! J'n'ai pas conçu un homme lâche, faible, qui échoue dans tout ce qu'il entreprend. Non ! L'échec n'a pas sa place dans ma maison ! Tout le monde réussit ici, tout le monde fait des exploits ! Mais lui il rétrograde. Et ça je ne l'accepte pas. Si pour lui remettre les idées en place je devais le tabasser, et bien j'ai bien fait. Que tu sois d'accord avec moi ou non.

Je soupire nerveusement en glissant mon regard vers ma mère qui avait les bras croisés dans l'embrasure de la porte de la cuisine.

Son regard était peiné. Mais je m'en contrefiche.

— *rire nerveux* C'est une blague... J'y vais. Je vais soutenir mon frère.

Papa - Je te l'interdis.

— Je me moque de ton interdiction papa.

Je passe mon sac sur mon épaule.

Papa - Néhémie a besoin d'apprendre à devenir un homme. Ce n'est pas en le chouchoutant à chacun de ses problèmes qu'il le deviendra.

— Je ne le chouchoute pas, je l'épaule. Je lui apprends à devenir un homme. Comment veux-tu qu'il devienne un homme si personne n'est à ses côtés pour lui montrer le bon exemple ? Quand j'y repense, tu l'as toujours rejeté papa. C'est le seul que tu appelles bouffon parce que selon toi tu es le roi. Sinon à part lui, tout le monde est prince ou princesse sauf maman qui joue le rôle de la reine.

— Depuis l'enfance tu le fais passer pour un moins que rien qui n'a aucune valeur. Tu n'as jamais passé de temps avec lui, voulu apprendre à le connaître. Pour toi Néhémie n'était que l'abomination de la famille, celui qui porterait préjudice au nom des Kimeso. Pourtant, si tu apprenais à le connaître, tu comprendrais que Néhémie est un homme intelligent et plein d'ambition. Il pourrait mettre son savoir à profit pour son prochain, mais pour ça, il a besoin de son père. Père qui joue les absents depuis son enfance.

Il n'a pas ajouté un mot.

Je me suis dirigée vers maman afin de l'embrasser et la prendre dans mes bras.

— Je reviens le week-end prochain normalement, et avec les enfants. Prends soin de toi en attendant et essaie de lui remettre ses idées en place.

Elle me sourit.

Maman - Prends soin de toi aussi ma fille.

Je lui rends son sourire, avant d'adresser un dernier regard à mon père et quitter la maison.

Je me suis ensuite dirigée vers ma voiture garée devant la maison.

Je m'y suis installée, me suis ceinturée, avant de démarrer direction le commissariat.

Qui, de plus, est celui de Kelvyn.

__






















K E L V Y N
























- Et surtout retrouvez-moi ce bâtard.

Daiana - Oui chef.

Elle s'en va, et ses collègues ont suivi.

J'ai longé le couloir jusque mon bureau avant de poser ma boisson énergisante sur la table, puis contourner celle-ci pour m'assoir sur mon siège.

Des cris se sont fait entendre depuis le hall du commissariat mais je m'y suis pas attardé.

J'ai ouvert ma boisson avant d'amener celle-ci à ma bouche.

Puis au moment où j'allais la boire, on toque à la porte puis ouvre celle-ci.

C'est Daiana.

Daiana - Monsieur, il y'a une femme qui tape un scandale en votre nom-

... - Laissez-moi passer !

La femme est entrée dans mon bureau en bousculant violemment Daiana contre la porte.

Celle-ci fronce les sourcils, prête à riposter, mais je lui ai fait comprendre du regard de prendre sur elle.

Daiana - *chuchote* Pétasse.

Prisca claque la porte derrière Daiana.

Prisca - Tu m'expliques ?!

J'arque un sourcil.

- De ?

Prisca - Tu m'expliques pourquoi tu ne réponds ni à mes messages, ni à mes appels Kelvyn ?! Tout ce que je veux c'est voir mon fils putain ! Y'a quoi qui ne va pas chez toi ?!

Je souffle en posant ma bouteille dépourvue de son bouchon à sa place.

Je me suis levé, avant de contourner la table et me mettre face à elle.

- J'vais t'expliquer quelque chose, Prisca. Là, tu es sur mon lieu de travail. Où je bosse. Je dirige une équipe de policier et vois-tu, ils sont en train de bosser. On entend tes cris jusqu'à Londres à croire que tu te fais pencher, alors tu baisses d'un ton. J'suis calme, j'sais prendre sur moi, mais ne me pousse pas à bout Prisca.

- Tu n't'es pas dit que si je ne répondais pas à tes appels c'est parce que j'avais supprimé ton numéro ? Ou bien peut-être parce que je ne veux justement pas que tu vois Ethan ?

Elle fronce les sourcils.

Prisca - Cet enfant est sorti de mon ventre-

- Puis tu l'as abandonné. Tu veux que je te fasse le registre de toutes les conneries que t'as fait en son nom depuis qu'il est né ?

Prisca - ...

- Sors tout de suite de mon bureau.

Elle me pointe du doigt.

Prisca - Écoute-moi bien Kelvyn-

Doigt que j'ai violemment déplacé pour le remplacer par le mien.

- Non toi écoute-moi bien ; Que ce soit la première et la dernière fois que tu viens sur mon lieu de travail afin de me raconter tes sottises à la con qui n'ont aucun rapport avec mon taf. Je bosse ! T'entends ?! Chez-moi, je tolère. Mais pas ici. Alors que ce soit la dernière fois. Parce que si ça venait à se reproduire je t'assure que tu ressortirais de ce bureau avec une jambe en moins. J'suis clair ?

Elle grimace.

Son beau visage rempli de vice là.

Prisca - ...puisque tu ne prends même pas la peine de m'écouter, très bien. Je pense que devant un tribunal et un juge de l'enfance, tu auras les oreilles assez ouvertes pour m'entendre.

Je fronce les sourcils en faisant un pas vers elle.

- T'as dit quoi là ?

Prisca - J'ai dit que je vais demander la garde de Ethan, mon fils. Puisque son père ne veut pas me laisser parler alors je le ferai devant un juge.

- En faisant ça tu le feras plus souffrir qu'autre chose.

Prisca - Non. Je lui offrirai enfin la mère qu'il a toujours voulu avoir.

- Il a déjà une mère.

Prisca - Moi.

- Non. Et puis- *rire nerveux* Tu perdras. Ethan ne veut pas venir avec toi.

Prisca - Tu ne peux pas choisir à sa place.

- Tant qu'il est sous ma responsabilité, je t'assure que si : je peux choisir à sa place.

Elle râle puis saisit ma boisson énergisante avant de me jeter celle-ci au visage.

Prisca - Tu ne m'empêcheras pas de voir mon fils Kelvyn ! Je te préviens !

Je râle longuement en passant une main sur mon visage pour retirer le surplus de boisson énergisante.

Puis j'ai retiré mon haut qui s'était lui aussi mouillé par sa faute.

Salope va.

Entre-temps elle s'était dirigée vers la porte pour ouvrir celle-ci, mais elle s'est retrouvée nez-à-nez avec une femme.

Femme qui n'est ni plus ni moins que Bethany.

Je souffle longuement.

...dégât.

Bethany - Il se passe quoi ici ?

Prisca - Je veux sortir tu vois ! Donc pousse-toi !

Bethany pose son regard sur moi, torse nu. Avant de le reposer sur Prisca.

Bethany - Commence par mieux me parler. Nous ne sommes pas amies vois-tu.

Prisca arque un sourcil.

Prisca - Sinon quoi ?

Je souffle d'agacement.

- Eh Prisca, sors.

Prisca - La femme m'empêche de le faire.

— Bethany s'te-

Bethany - Ne prononce même pas mon prénom toi.

Elle se décale pour laisser Prisca s'en aller.

Bethany - Mal éduquée.

Dit-elle en la jaugeant du regard.

Bethany entre puis ferme la porte derrière elle, avant de marcher jusque moi et croiser ses bras sur son torse.

Bethany - À toi maintenant. Tu m'expliques ce que tu faisais torse nu avec une femme dans ton bureau pendant que la porte est fermée ?

- Je-

Bethany - Tais-toi ! Je t'ai pas donné l'autorisation de parler.

Elle décroise ses bras.

Bethany - Tu sais très bien ce que j'ai vécu Kelvyn. Tu le sais. Tu m'as vu souffrir de mon mariage et de ses séquelles et là, je te trouve les tétons à l'aire, qui pointent et en plus avec une femme ?! Tu sais à quoi j'ai pensé en vous voyant comme ça ?! Mh ?!

Elle passe une main sur son front en tournant sur elle-même, telle une lionne enragée.

- C'est pas ce que tu crois-

Bethany - C'est exactement ce que je crois.

- Non-

Bethany - Tais-toi.

Elle se tourne vers moi.

Bethany - Tu n'es qu'un enculé de première. Bien pire que Daniel. Lui au moins il ne faisait pas de promesse en l'air. Tu m'as fait une promesse et aujourd'hui je te trouve comme ça ? Pendant ton travail ? Le jour où je suis sensée travailler ? Donc en fait t'avais prévu ton coup puisque tu savais qu'aujourd'hui je suis sensée bosser. T'es qu'un putain de manipulateur. Un bâtard. Et le pire c'est que j'ai cru en toi, je t'ai fait confiance.

- *rire* Putain t'es parano Esther.

(Eh désolée mais la situation me fait trop rire. 💀💀💀💀💀💀)

Bethany - Ah parce que ça t'fait rire maintenant ?! Tu sais quoi ? Je me barre. Et toi et moi c'est-

- Elle est venue déclarer la garde d'Ethan.

Elle repose son regard sur moi puis fronce d'autant plus les sourcils. Silencieuse un instant.

Bethany - ...allez fous-toi de ma gueule. Elle n'a aucun trait de ressemblance avec Ethan.

- Parce qu'il a tout pris de moi Esther. J'te le jure putain. J'me projette avec des gosses avec toi et tu crois qu'à seulement une nuit d'intervalle je te tromperais ? Et dans mon bureau en plus ? J'ai des principes. Si j'm'étais lassé de toi j't'aurais tej' depuis longtemps déjà.

Elle garde le silence, j'ai donc fait un pas vers elle.

- J'ai supprimé son numéro et je réponds plus à ses appels. Alors elle est venue me voir en personne. J'ai dit que si je répondais pas c'était volontaire et elle m'a révélé qu'elle demandera la garde exclusive d'Ethan.

Bethany - *rire* Elle perdra. Si ce que tu m'as dit sur elle est bien vrai, elle perdra assurément. À moins qu'elle soit passé entre les jambes du juge.

Je ris légèrement.

- T'as pris la grosse gueule hein.

Bethany - À cause de qui à ton avis ?

Je souris.

Et elle fait quelques pas vers moi jusqu'à se retrouver à quelques centimètres de moi.

Bethany - Excuse-moi alors. Mais faut me comprendre. J'ai surpris mon ex-mari en train de baiser une meuf en plein orgasme dans notre lit conjugale. Alors te voir comme ça... Pendant que je suis sensée bosser... Je me suis faite des idées quoi.

J'acquiesce puis la tire vers moi avant de m'adosser à mon bureau.

Elle s'est placée entre mes jambes puis a posé ses mains sur mon torse pour jouer avec ma chaîne.

Une mini moys la go.

Je passe mes bras autour de sa taille.

- Comment ça s'fait que tu ne bosses pas d'ailleurs ?

Bethany - Parce que je suis bête. Je devais passer voir mes parents hier soir dans les alentours de 20 heures, mais à cette heure-ci les enfants demandent toute mon attention. Alors c'est sorti de ma tête et j'ai pris la journée pour rendre visite à Néhémie.

- J'lui ai parlé d'ailleurs.

Bethany - Il t'a dit ce qu'il s'est passé ?

Je hoche la tête.

Bethany - Alors ?

- C'est pas à moi de te le dire Esther...

Elle soupire puis passe ses bras autour de ma taille avant de me pincer.

- Aïe.

Bethany - Homme faible.

- Qui faible ?

Bethany - Toi.

- Ptdr. Ma main dans ton cul si j'suis faible.

Elle sourit.

Bethany - Je t'assure que si.

- Prouve-le.

J'ai senti sa main se reposer sur mes abdomens et glisser le long de ceux-ci jusqu'à mon pantalon d'officier de police.

- Là tu cherches la merde par contre.

Bethany - Je ne fais que te prouver que tu es faible.

Bethany - Je te donne 50€ si d'ici deux minutes tu n'as pas d'érection ou tu n'as pas craqué.

Je me mords la lèvre.

- Marché conclut.

Elle enfonce son regard en moi en souriant d'un sourire aguicheur, avant de lentement détacher ma ceinture.

Elle déboutonne le pantalon puis baisse lentement la braguette, toujours avec ce sourire aux lèvres.

Lentement, elle pose sa main sur mon boxer avant de caresser mon entrejambe à travers celui-ci.

J'reste impassible.

- Anh anh.

Bethany - Ah ouais ?

- Quoi ? Tu sais pas faire mieux ?

Elle sourit davantage puis enfonce subtilement sa main dans mon boxer. Ses doigts ont effleuré mon entrejambe qui a manqué de se durcir.

Contrôler ses pulsions Kelvyn. Contrôler ses pulsions.

Ça vaut 50 balles putain.

Elle s'est mise à stimuler mon entrejambe en caressant celui-ci, ainsi que mon gland.

Je me suis mordue la lèvre.

- Toujours pas...

Je jète un coup d'œil à ma montre.

- Ça fait 57 secondes.

Elle râle puis dépose ses lèvres contre mon torse afin d'y déposer des baisers.

Elle a embrassé mon cou, mon torse avant de lécher mon corps jusqu'à descendre entre mes jambes.

- Ayih, p'tite coquine.

Je souris au coin.

Son regard aguicheur est resté ancré au mien alors qu'elle passait lentement sa langue sous mon boxer.

Putain...

Mon cœur s'est emballé. Si elle continue comme ça je vais craquer à coup sûr.

Elle sourit puis sort délicatement mon entrejambe de mon boxer en souriant.

- Bethany... tu vas créer quelque chose de mauvais.

Bethany - T'en as dans le frock punaise.

Je me mords la lèvre alors qu'elle continuait d'embrasser mon bas ventre tout en faisant des caresses à mon entrejambe qui se mettait progressivement à durcir.

Mes pulsions, mon cœur...

Dans ce genre de situation elle dégage une putain d'aura sexuelle cette meuf. Ce qui a le don de me rendre ouf.

Je jète un coup d'œil à ma montre.

Encore 40 secondes...

Sa langue au contact de mon bas ventre me rendait fou.

J'me retiens de ouf pour ne pas poser une main sur sa tête et lui dire de continuer.

Je la regardais dans les yeux alors qu'elle léchait subtilement mon corps jusqu'à mon entrejambe.

Elle fait exprès de me provoquer sans jamais lécher bébé Kelvyn.

Sa seconde main qui caressait mon torse s'est mise à masser mes testicules.

J'vais devenir ouf.

Encore 30 secondes. Allez Kelvyn...

Sa main qui exerçait des caresses s'est progressivement mise à faire des vas et viens sur mon entrejambe.

- C'est de la triche...

Bethany - Je ne fais que te provoquer bébé...

Elle lâche mes testicules afin d'ouvrir sa veste avec lenteur, rendant l'action d'autant plus plus excitante.

La veste ouverte a dévoilé le vêtement qu'elle portait en dessous. Un débardeur sans soutien.

Putain...

Et puis le fait qu'elle soit à genoux entre mes jambes me donne une vue facile entre ses gros seins.

Je vais canner.

Bethany - Je te donne encore dix secondes, puis tu banderas...

Dit-elle en stimulant mon gland avec son pouce.

Je passe une main sur mon visage puis rabaisse les yeux vers elle.

Je bande.

J'ai même pas atteint les dix secondes que j'ai bandé.

Elle a ri légèrement alors que je passais ma main sur sa joue.

- Maintenant qu'on y est, je serai pas contre une gâterie mademoiselle.

Elle sourit.

Sa bouche s'est ouverte, prête à répondre,

quand on toqua subitement à la porte.

Elle se relève aussitôt en sursautant alors que je remontais mon boxer. Je referme ma braguette et je reboutonne mon pantalon, ainsi que ma ceinture.

J'ai demandé qui c'était alors qu'elle ajustait sa veste histoire de cacher sa poitrine.

Agent - Darren Kigali. On a du nouveau sur le meurtre de Kris Walker.

Bethany fronce légèrement les sourcils alors que je me dirigeais vers la porte.

Bethany - Kris Walker... ? ...c'est pas l'affaire sur laquelle le commandant Liedson Makengo bossait ? Même que c'était un grand trafiquant de drogue et tout.

J'arque un sourcil en me tournant vers elle.

— Comment tu sais ça toi ?

Elle sourit.

Bethany - Je suis avocate eh. J'ai des contacts avec la procureur alors je connais particulièrement cette affaire. Donc ? Vous avez retrouvé son corps ?

Je souffle longuement.

— Non...

Bethany - C'est dommage...-

Darren - Boss ?

- Ouais ouais. J'arrive.

Je déverrouille la porte puis l'ouvre ensuite.

Son regard s'est posé sur moi puis sur l'autre présence qui occupe mon bureau depuis un certain temps.

Darren - Oh... Je dérange.

- Non. Elle allait justement aller voir son frère. Mh... ?

Elle acquiesce puis se dirige vers moi, avant d'embrasser ma joue.

Bethany - À bientôt.

- Mh.

Elle s'en va.

J'ai regardé son beau fessier s'en aller, puis j'ai posé mon regard sur Darren qui regardait la même chose.

— Jolie femme, mh ?

Darren - Ouais... Très.

Il se mord la lèvre en la déshabillant du regard.

- *rire nerveux* Eh bien cette jolie femme, c'est la mienne. Entre plutôt dans mon bureau au lieu de fantasmer sur son corps.

Il se ressaisit.

Darren - Ouais boss.

Ouais fion.

Imbécile.

__

Bethany K
Kelvyn T.A

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