Titre alternatif : "Mono-Dabi..."
=====
Pendant la soirée.
Humeur : Find me - TeZATalks.
=====
Chaos.
Ce mot résume à la perfection ce qu'il se passe actuellement dans cette soirée underground. Dabi et Shenzi dansent ensemble comme s'ils ne sauteraient pas sur l'occasion si on leur proposait de tuer l'autre, des jeunes se détruisent à coups de drogue et alcool, des combats éclatent sous les yeux méprisants des membres éminents de gangs présents ce soir.
Pourquoi sont-ils là ? Personne ne sait et personne ne veut savoir.
L'homme aux brûlures tient sa convoitise contre lui, ses mains subtilement posées sur sa taille, non loin de la naissance de son fessier. La femme aux serpents lui sourit en bougeant les hanches, testant ses capacités en danse et en self-control au passage. Les deux se regardent dans les yeux, se lançant des piques silencieuses à coups de sourcils haussés et rires provocateurs.
Shenzi prend la cigarette d'entre les lèvres du brun contre elle, acceptant la fumée qu'il souffle avec un sourire satisfait.
Elle se nourrit de sa provocation et sa tentation depuis deux mois après tout.
Elle prend une bouffée de fumée toxique et laisse ses bras sur les épaules de Dabi. Elle le regarde se pencher légèrement vers elle, laissant la fumée s'échapper de ses lèvres droit dans l'atmosphère nocive autour d'eux et la bouche entrouverte du vilain. Il sourit en la plaquant un peu plus contre lui, ne voulant que la soumettre comme il a pu faire pendant le shooting photo.
Il cherche son point faible, ce qui lui a ouvert la porte des vices les plus secrets de la jeune noire en face de lui. Il veut savoir comment la mettre à genoux sur commande sans faire d'efforts, comment la faire taire sans la brûler vive, comment la tuer sans lui faire de mal.
Il veut le pouvoir sur elle. Et cette résistance qu'elle a avec lui commence à le tendre plus qu'il ne pensait, dans le bon sens du terme.
La danseuse se délecte du regard frustré de Dabi. Elle sait ce qu'il veut et compte le tourner en bourrique jusqu'à ce que la voir nue attachée à un lit soit sa dernière volonté avant de mourir. En rythme avec la musique, elle le provoque. Elle bouge ses hanches, remonte sa jambe contre lui, colle sa poitrine à lui ou tire sa ceinture.
Elle sait qu'il la veut autant qu'elle le veut. Mais elle sait aussi qu'il est tout aussi fier et têtu qu'elle et qu'il attend d'elle qu'elle tombe à genoux et tire la langue comme l'animal sauvage qu'il attendait qu'elle soit après deux ans de prison.
Et qu'est-ce qu'elle aime voir ses suppositions et hypothèses être détruites en deux temps trois coups de hanches.
Elle caresse la chevelure noire de Dabi en le charriant :
— Alors Dabi...? On commence à céder face à la pression ? Tu vas bientôt t'avouer vaincu.
— Ne parle pas trop vite Shenzi. Tu vas vite te rendre compte de ton infériorité.
— Montre-moi ce qui est censé me faire craquer alors.
Elle jette la cigarette dans un verre et laisse Dabi prendre la sucette qu'elle cache dans sa poche arrière. Il la déballe avec ses dents sans lâcher Shenzi du regard – lui faisant avoir des bouffées de chaleur en passant – avant de lentement lécher la boule sucrée au citron, observant les pupilles de la noire se dilater au fur et à mesure qu'il met le bonbon dans sa bouche. Ses serpents s'agitent, causant des tremblements au niveau de ses bras. Dabi sourit en coin avant de se pencher encore plus vers elle, faisant toucher leurs nez.
— Faisons un jeu, propose-t-il.
— Je t'écoute...
— Retire la sucette de mes lèvres sans les mains et sans mordre le bâton.
Elle écarquille les yeux, comprenant le but des actions de Dabi : il vient de trouver une excuse pour qu'elle l'embrasse pendant un instant, le temps de récupérer sa sucrerie préférée.
Elle vient de se faire bêtement avoir par l'amoralité de son partenaire et n'arrive même pas à lui en vouloir, au contraire.
— C'est méchamment ingénieux, murmure-t-elle.
— N'est-ce pas ? Maintenant, tu peux refuser le jeu. Mais ce serait tellement nul que tu avoues ta faiblesse et donnes raison à tous ceux qui disaient que tu n'étais qu'une pute qui saute sur le premier venu... Tu n'es pas comme ça toi hm ?
Le regard de Dabi devient presque cruel à travers le désir qui émane de lui. Elle comprend pourquoi beaucoup de personnes l'évitaient au point de changer de trottoir quand il passe.
L'homme est monstrueusement, cruellement mais Ô si bonnement rusé. Une menace comme on en fait plus.
Son but n'est pas seulement d'atteindre son objectif mais de le faire en laissant le plus de marques possibles.
Il ne pousse pas les obstacles, il les réduit en cendres à coups de stratagèmes immoraux et d'un sens de la raison quasiment inexistant.
Shenzi laisse un frisson d'excitation monter en elle, en voulant à son subconscient d'accepter plus facilement l'affront par survie et compassion pour sa santé mentale. Elle sait que Tartarus lui a fait un effet non négligeable, incroyablement mauvais sur l'esprit mais elle ne s'attendait pas à ce que se faire manipuler par un mec qu'elle ne supporte qu'une semaine sur deux allait lui donner envie de croiser les jambes de plaisir.
Elle joue à un jeu de Monopoly dangereux avec Dabi depuis deux mois et vient de tomber sur la rue de la Paix agrémentée d'un hôtel signé Crématorium.
Elle laisse un long soupir échapper de ses lèvres avant de pousser Dabi sur une chaise vide qui trainait. Elle s'assoit sur lui et l'observe arborer un sourire rempli de malice et d'impatience.
Il est fier de son coup le con.
Une idée apparait dans la tête de celle aux longues tresses, causant la naissance d'un rictus mauvais sur son visage. Elle attrape la nuque de Dabi et commence à lentement bouger ses hanches contre lui. Il tressaute, ayant encore une fois oublié que la noire qu'il veut dans son lit ne perd jamais sans se battre. Elle se mord l'intérieur de la joue en dansant sur l'homme qu'elle attend entre ses jambes, réfléchissant à un moyen de lui voler sa sucette tout en le frustrant encore plus.
En vain.
Elle finit par abandonner l'idée d'un plan et laisser son instinct parler.
Vas-y franco Shenzi, pense-t-elle avant de poser ses lèvres joliment maquillées sur celles de Dabi.
Le brun se laisse faire sans pour autant lui faciliter la tâche. Il ne fait qu'apprécier le contact de leurs deux corps à travers son bassin rencontrant celui de Shenzi, ses mains sur sa taille, leurs lèvres collées et leurs yeux fermés à tous les deux. À l'aide de sa langue, l'ancienne milicienne ouvre la bouche de Dabi. Ses mains glissent lentement vers ses joues pendant que le mouvement de son bassin devient de plus en plus intense. Elle retrousse le nez en sentant Dabi jouer avec la sucette pour lui rendre la tâche plus difficile. Elle lui mord la lèvre, le faisant grogner et arrêter de la provoquer un instant.
Pile ce qu'il lui fallait pour libérer la danseuse de l'emprise du vilain.
Elle récupère la sucette d'un coup de langue avant de se séparer de Dabi, le coeur battant plus vite que prévu et un sourire fier sur le visage. Le vilain la fixe, content d'avoir pu avoir un premier contact avec elle. Elle lui essuie le peu de rouge à lèvres qui a transféré sur lui. Elle passe son pouce en dessous de sa lèvre, croisant ses yeux bleus flamboyants.
Et brillants.
Elle sourit et met ses poignets sur ses épaules, savourant son absence de défaite en jouant avec sa sucette.
— T'as échoué Dabi. Tu m'as pas eu, se vante-t-elle.
— Alors pourquoi ton coeur bat aussi vite ?
— L'asthme.
— Et moi je suis borgne.
— Qu'en sais-je ?
Elle rit et se serre contre lui, sa tête sur son épaule. Tout à coup, un bruit monstrueux se fait entendre. Des jeunes gens hurlent, d'autres pleurent pendant qu'une balle de pistolet frôle la tête de Dabi, qui se braque.
— Ah. T'as failli le devenir, se moque Shenzi.
— Je vais te baiser si fort que tu pourras plus marcher sans béquilles si tu continues..., rumine-t-il.
— Est-ce une menace ?
— Une promesse.
Elle frisonne pendant que Dabi laisse sa main sur ses fesses. Il presse doucement en cherchant celui qui tire des balles perdues. Il repère un groupe de jeunes armés en train de se vanter de leur vie de gangsters. Il se lève et pose Shenzi sur la table.
— Ouh Monsieur va se battre, s'extasie-t-elle en imaginant sa vengeance.
— Observe ce que c'est qu'un vrai vilain, milicienne.
Elle sourit en coin en savourant le spectacle devant elle.
=====
Shenzi, pendant la soirée.
Humeur : Rapier - Lovren.
=====
Dabi avance lentement vers ses ennemis du jour avec un air particulièrement séduisant.
Il est stylé quand même...
Je le regarde discuter avec les imbéciles qui l'ont mis en danger avec un sourire meurtrier. Les gangsters se mettent à l'encercler, sûrement pour lui mettre la pression.
Mais Dabi n'a pas peur, Dabi est fort et il le sait.
En à peine une seconde, il enflamme les gangsters, leur faisant lâcher leurs armes par sécurité. Ils sont vite refroidis par l'alter d'un autre, qui attaque Dabi au corps-à-corps.
Et je n'ai jamais vu autant de sang gicler.
Dabi se redresse après s'être occupé du premier gangster avec du sang plein les habits. Il soupire et fixe les deux autres qui se ruent sur lui, l'un avec un couteau et l'autre avec un alter modifiant la matière de ses poings. Dabi sourit en coin et balance une simple rafale de feu, embrasant ses ennemis. J'écarquille les yeux en voyant la victoire écrasante de Dabi sous mes yeux.
Il tourne la tête vers moi et sourit en coin avant de retirer son pull sale. Je m'avance vers lui instinctivement et pose mes mains sur ses flancs. Il ne cherche pas à comprendre mes agissements, il a seulement le corps extrêmement chaud pour mon plus grand plaisir. J'essuie le sang sur ses lèvres doucement, ignorant les 3 corps à nos pieds. Il met ses mains sur ma taille, partageant l'hémoglobine sur ses doigts avec moi. Il descend lentement ses mains jusqu'à me soulever d'un coup et me porter. Je sursaute et fronce les sourcils.
— Ce sera plus pratique comme ça, justifie-t-il.
— Tu as surtout compris que j'étais sensible au toucher et que si tu veux que je me soumettes, ce sera de cette manière qu'il faudra procéder.
— Aussi.
Je souris en coin et continue de lui essuyer le visage, faisant exprès de faire se frôler nos lèvres. Une de mes mèches tombe sur son cou. Il frissonne et serre sa prise sur mes cuisses. Je souris et le laisse m'emmener dans un coin un peu plus tranquille de la soirée. Je lui murmure à l'oreille :
— C'était eux les organisateurs de la soirée tu sais... Le videur va bientôt venir pour te buter.
— Pas mon problème. J'ai d'autres chattes à fouetter, si tu vois ce que je veux dire.
— Tu veux pas finir le travail en beauté ?
— Comment ça ?
— On détruit tout une bonne fois pour toutes... On sort de la soirée, on se fait un peu oublier, on fout la merde et on détruit le bâtiment. Plus aucune trace de notre venue sauf l'avertissement que nous provoquer, c'est creuser sa propre tombe.
Il sourit en coin en me regardant dans les yeux.
— Ce n'est pas très héroïque...
— Je te ressemble un peu plus que tu ne le penses mon mignon...
Je replace ma mèche derrière mon oreille en appréciant sa réponse :
— Allons-y.
Je descends de sa prise sur moi et sors en lui tenant la main, me faisant passer pour son coup du soir. On slalome à travers la foule puis on sort à l'extérieur. Je savoure l'air frais ambiant après avoir passé un moment dans un aquarium de fumée de cigarette, drogues et autres substances déconseillées à la consommation. Je me cache derrière le bâtiment pendant que Dabi prépare ses flammes. Je laisse Weiss apparaître sur mon bras.
— Ma belle, commencé-je. Va dans la soirée et mords ceux qui ont l'air importants. Mords ceux qui ne sont pas des civils. Empoisonne les, pas assez pour les tuer mais assez pour faire en sorte que le mélange avec les conneries qu'ils ont avalés les rendent déviants. Je veux une scène du club de Devilman Crybaby dans cette putain de soirée. Nique sa mère les connasses en ficello dans le club.
L'albinos glisse le long de mon corps avant de partir, ayant accepté la mission que je lui donne. Dabi la suit du regard en finissant de retirer le sang sur son cou.
Ses yeux ne brillent plus mais qu'est-ce qu'il est beau bordel... Aidez-moi à tenir.
Je souris et m'appuie contre le mur en croisant les bras. Ses yeux bleus se plantent sur moi, surveillant mes moindres faits et gestes. Je ne relève pas, sachant qu'il est de nature méfiante. J'entends toujours un peu de musique, me faisant dansoter sans que je me retienne. Je me frotte les bras, le froid de la nuit commençant à frapper. Je me plaque automatiquement contre Dabi, qui ne cherche même plus à me repousser comme il faisait avant. Je lève les yeux vers lui pendant qu'il regarde l'activité des ruelles entre les cris, les tirs et les gémissements.
Il a l'air habitué à tout ça... C'est un vilain en même temps. Il connaît la rue.
Je touche sa brûlure en plein milieu du torse, ne cherchant rien d'autre que quelque chose de nouveau à découvrir sur lui. Weiss finit par revenir et se cache dans mon dos, sous mon débardeur.
Depuis le Tartare, elle qui était de nature ultra indépendante déteste s'éloigner de moi. Elle le fait par nécessité mais si elle peut, elle viendra toujours se blottir contre moi.
Je lui tends la main dans le dos. Elle redevient un tatouage sur mon bras. Dabi regarde par une des fenêtres donnant sur la soirée. Il sourit en coin.
Tout commence à prendre forme. Des invités fuient et s'entretuent, d'autres s'arrachent des vêtements, les meubles se font détruire et les cadavres des organisateurs finissent piétinés par les fuyards pseudo-innocents.
Il tend ses deux mains à travers la fenêtre. Je lui masse lentement les épaules. Il lève la tête vers moi en haussant un sourcil. Je souffle du nez et remue les sourcils. Il lève les yeux et se concentre sur son objectif : tout brûler. Il finit par démarrer un incendie en allumant de l'alcool tombé par terre. Il condamne ensuite les portes.
— Alors c'est ça un vrai vilain...? Ça enferme des gens dans des lieux pour mieux les achever..., résumé-je.
— Un vilain comme on en fait plus. J'aurais pu être un pantin parfait pour les héros mais non... Je ne suis pas Hawks.
Je souffle du nez en le regarder enflammer toute la salle avant de retirer ses bras de la fenêtre.
— Faudrait-il déjà que tu fasses moins peur...les gens n'aiment pas les cicatrices quand elles ne sont pas dans les normes..., fais-je remarquer.
— Tout n'est qu'image en ce monde... C'est quand même triste.
— Ça l'est jusqu'à ce que tu tires avantage de ça. Comme moi quand j'irai brûler Tartarus. Mais pour ça...je dois y aller avec toi.
— Mais quelle honneur de recevoir une invitation exclusive au sacre de l'Impératrice.
Il balance son pull sale dans les flammes avant de me faire signe de partir. Je pars en avance en descendant mon débardeur autour de ma taille et cacher les traces de sang laissées par Dabi. Je finis en soutien-gorge dans la nuit noire pendant que tout le monde panique dans une soirée dont je n'ai rien à foutre. Dabi me rejoint peu de temps après en allumant sa cinquième cigarette de la journée.
Son rythme de fumette a augmenté.
Je ne relève pas et reste collée à lui, réalisant le sang que j'ai fait couler sans aucune raison.
On aurait juste pu partir sans faire plus de dégâts que les 3 gangsters qui ont croisé le chemin de Dabi. On aurait pu partir discrètement faire un after dans mon appartement ou celui de Dabi. Mais non, on a tous les deux choisis la violence, sans aucune raison. Sûrement parce qu'on s'est dit "on est des vilains, on peut littéralement faire ce qu'on veut dans cette ville".
Mais c'est dans ce genre de moments que je me rends compte que...je ne sais même plus si tuer par nécessité fait de moi une victime ou si le fait d'apprécier le contrôle sur la vie d'autrui fait de moi un vilain. Je ne sais même pas ce que je fous et encore moins ce que je suis, au final. Milicienne ? Non c'est fini ça. Héros ? Non plus, un héros ne devrait pas autant apprécier le sang et encore moins baver sur l'ennemi public numéro 1. Vilaine ? Peut-être. Ce serait évident même vu ce que je viens de faire avec l'autre lance-flammes.
Je lève la tête vers Dabi, qui avance en silence vers chez moi. Je prends son bras et le cale contre ma poitrine, me servant de lui comme radiateur. Il ne relève pas mon rapprochement, il ne fait qu'avancer à travers un groupe d'hommes qui s'écartent en voyant le feu dans sa main. Je sens leurs regards sur moi, j'entends les commentaires désobligeants qu'ils font parce que je suis en soutien-gorge en dentelle en pleine rue. J'entends les aboiements, les propositions de prix en échange d'une fellation et les tentatives d'attouchements que j'esquive.
J'entends tout et ne fais rien, l'habitude prise à Tartarus me collant à la peau.
Tout à coup, Black apparait derrière moi, plus gros que jamais. Il s'enroule autour de moi comme pour me protéger du regard des gens. Je sens qu'il hésite à attaquer, la cicatrice tout le long de son corps lui rappelant son dernier combat perdu face à des humains. Je le caresse lentement, Dabi prenant de l'avance sur moi.
Ma tête souffre, je n'ai plus envie de rester calme et cool face à ce groupe ni personne d'autre qui me blesse. Je ne veux plus rester victime.
Je ne peux plus rester victime.
Tu es une vilaine Shen... Tu peux te débarrasser d'eux... Alors qu'est-ce qui te retient ? Sauf un faux souvenir de la vie de Penda...
Je fixe le groupe sans rien dire jusqu'à ce qu'un sourire féroce apparaisse sur mon visage et un ordre à la direction du serpent noir soit entendu par celui-ci.
Black, attaque.
____________________________________________________________________________________
Weshhhhhh comment va ??
Moi ça va !
Find Me est une des premières chansons nightcore que j'ai écouté dans ma vie et la retrouver m'a secoué mon être *larmes*
J'espère que vous aussi !
Et parlons simplement de la mesquinerie du gadjo grillé et du plaisir que prend Empress à lui rendre son insolence ! Si ça c'est pas une dynamique de vilain *larmes*
Mais sinon, c'est le chaos total. Les deux ont buté facilement 40-50 personnes (pas forcément innocentes) parce qu'ils peuvent et c'est normal *larmes* mais c'est ça la vie de vilain !
C'est justement que Madame Fall a accepté ! Mais à quel prix ? Vous le saurez dans le prochain chapitre !
J'espère que ce chapitre vous a plu et... JE VOUS FAIS DES BISOUUUUUUUUS.
Titre : Dabi + "Monopoly"