Forte pour vous !

By SayuriElendil

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Mon nom est Astrid. J'avais une vie merveilleuse, une famille merveilleuse et j'étais des plus heureuses. J'é... More

Prologue
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Petit contretemps ?
Chapitre 12
Chapitre 13

Chapitre 5

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By SayuriElendil

Bonsoir à tous.

Je suis désolée pour l'attente qui a été très longue mais les cours à distance ont été assez difficiles à suivre puis j'ai eu le droit d'avoir une superbe période Covidée.

Bref, j'espère que ce chapitre vous fera plaisir.

Bonne lecture.

*******

La nuit a été longue, surtout pour Marco et Ace, surtout pour ce dernier qui n'avait eu de cesse de s'endormir d'un coup. Nous avions même eu du mal à le réveiller, du moins avec la manière douce. Quand j'y pense, j'ai encore mal aux poings et ils sont légèrement rouge. Marco avait les pieds dans le même état. Cela nous faisait bien rire.

Alors qu'ils allaient se coucher, je restais à mon poste à regarder le soleil se lever et profitant de la brise fraiche, presque trop froide du matin. J'irais me coucher plus tard. Même si j'étais fatiguée je savais que je n'arriverais pas à trouver le sommeil. Je pris donc une position confortable contre le mat principal dans la vigie et regardais l'horizon et le ciel, ces deux grandes étendues bleues à perte de vue. Elles nous faisaient nous sentir si insignifiant. Aussi insignifiant qu'un grain de sable sur l'énormité d'un désert bouillant. Oui, définitivement, la vie c'était comme un grain de sable. Nous vivions avec le sang en ébullition en attente que le vent ou l'eau nous transporte vers d'autres horizons, d'autres aventures à la rencontre d'autres grains de sables qui nous manqueraient plus ou moins et avec qui nous allions rester plus ou moins longtemps.

Je ne pus m'empêcher de sourire à ma réflexion. J'espérais pour ma part que le grain de sable, que j'étais, resterait à jamais avec les grains de sables qui représentaient la famille de Barbe Blanche. C'était mon vœu le plus cher depuis la disparition des deux êtres qui étaient le plus chers à mon cœur.

Je fermais les yeux pour profiter de la tranquillité environnante. A ma grande surprise quand je rouvris les yeux, ma tête reposait sur une épaule qui ne m'était pas inconnue. En tournant la tête à droite, je vis que c'était bel et bien mon ami roux. Felix était installé à mes côtés à surveiller l'océan en toute tranquillité. Nous restâmes ainsi dans le silence, enfin si on oubliait les autres qui s'amusaient en contre bas.

Ce n'est que lorsque la cloche indiquant que le repas était prêt que nous descendîmes de notre perchoir pour aller manger, alors qu'un nouveau groupe prenait notre relève. Bien entendu Ace était déjà présent ainsi que Marco et Teach. Je pris place à côté du commandant en bout de la première table avec Félix à mes côtés également. Le repas se déroula dans le calme, enfin si on oubli le fait qu'Ace mangeait comme un porc.

Le reste du voyage se fit assez tranquillement, enfin malgré les quelques têtes brûlées qui avaient décidé de nous attaquer. Malheureusement pour eux, on ne s'attaque pas à une flotte de Barbe Blanche impunément encore moins à la première.

Ace s'en était donné à cœur joie. Il aimait vraiment couler les bateaux de ses ennemis. En revanche, je ne comptais plus le nombre de fois où j'avais dû aller le repêcher à la mer car il avait un peu trop embêté Marco. Heureusement que je pouvais nager comparé à d'autres...

C'est donc après une n-ième baignade que nous arrivâmes à l'île prévue pour faire le ravitaillement. Forcément, je n'allais pas descendre du navire complètement détrempée, et il en était de même pour Ace. Nous partîmes donc nous changer. Comme toujours, je ne quittais pas mon très cher collier, il était bien trop précieux et c'était également le seul souvenir que j'avais décidé de garder sur moi, à la vue de tous. Je décidais de mettre une tenue assez simple et pas trop voyante. C'est donc tout naturellement que j'avais enfilé un haut bustier noir et violet, un pantalon en cuir noir et des bottes à talons haut de la même couleur. Heureusement pour moi, j'avais eu la présence d'esprit de prendre la veste que m'avait faite Izou avec le Jolly Roger de père. J'avais donc enrichi ma tenue avec ma veste kimono. Je pris mon sac en bandoulière violet et partie rejoindre les autres. Marco devait nous dire qui allait faire quoi.

Je pris donc mon mal en patience et attendis patiemment. Je n'avais qu'une hâte descendre du bateau et aller visiter la ville. Et cela devait se voir car Félix le fit remarquer à tout le monde et surtout à Marco qui se mit à rire également.

- Bon Astra va partir avec une moitié de la seconde division pour faire une partie des courses. On aura besoin de quoi réparer les navires, du coup prend le maximum, mais de préférence ne cause pas trop de grabuges, yoi.

- Ce n'est pas moi qui risque de faire le plus de dégâts dans la seconde division, pour info.

- Je le sais, c'est pourquoi Ace partira avec toi, yoi.

- Teach, tu viens aussi, dis-je du tac au tac.

Il était hors de question que je le laisse sans surveillance et encore moins sans surveillance et sur le navire. Je n'avais véritablement aucune confiance en lui. C'est donc tout naturellement que nous partîmes en ville, dès que nous fûmes accostés, pour aller acheter tout le nécessaire. La ville était assez calme et tous les habitants semblaient heureux et en manquer de rien ou presque. Tous semblaient être dans le meilleur endroit du monde. J'étais heureuse d'entendre les marchands crier pour faire la promotion de leurs produits, les enfants courir dans la ville et les gens rire entre eux. L'endroit était vraiment plein de vie.

Je fis cependant attention à ne pas perdre ni Ace, ni Teach des yeux. Autant pour le dernier cela était assez simple, il n'était pas trop turbulant mais le premier était vraiment une calamité. C'est pour cela qu'il se retrouva avec un collier et une laisse autour du cou. Je n'allais pas le lâcher de sitôt. D'autant plus qu'il avait tendance à voler toute la nourriture qui lui faisait envie. Je soupirais et le tirais avec moi, bien évidemment ce fut à lui et l'autre de porter les courses pendant que j'achetais ce dont nous avions besoin.

Quand nous retournâmes au navire les deux croulaient sous les courses et étaient épuisés. Je n'attendis pas qu'ils finissent de tout ranger pour repartir dans la ville. Je voulais aller la visiter et en apprendre plus sur ses habitants. Je flânais, donc, dans la rue curieuse de tout : leurs spécialités culinaires et artisanales, de leur culture et des leur façon de vivre. Cela changeait tellement de là où j'avais vécu avant de rejoindre Barbe Blanche. En fait, tous les endroits étaient différents de là où j'avais grandi.

Mais tout d'un coup un spectacle des plus horrible s'offrit devant moi. En effet, sur la grande place se trouvait une femme attachée sur un rocher. Elle était dans un sale état et ne semblait plus bouger d'un pouce. Elle était morte... Mais le plus horrible n'était pas la jeune femme, ni l'état de son corps mais ce qui se trouvait devant elle. Un couffin, d'où des pleurs d'enfant retentissaient. Cela me brisa le cœur en mille morceaux. Comment pouvait-on faire cela à un enfant aussi jeune ? C'était inacceptable !

Alors que je m'avançais vers lui, bien déterminée à le prendre avec moi, une personne m'arrêta et me tira avec elle dans une ruelle. Une fois éloigné de tout cela, je pus constater que c'était une femme d'âge mûr qui m'avait tirée jusque-là.

- Jeune fille, ne fais surtout rien pour cet enfant, c'est ta vie que tu vas mettre en danger sinon et celle de tes amis.

- Mais... Qu'est-ce... je ne peux pas détourner les yeux de ça ! C'est impossible ! Quel genre de personne pourraient faire ça à un bébé ! M'indignais-je hors de moi.

- Le genre qui dirige cette île. S'il te plaît, oublis ce que tu viens de voir sinon tu serais gravement en danger. Ce bébé est né d'une aventure entre cette jeune femme, habitante de cette île, et un pirate qui est reparti aussi tôt arriver...

- Et c'est pour cela qu'on l'a tué et qu'on fasse subir cela à cet enfant ?!

- C'est horrible, étant moi-même mère, ce spectacle est insoutenable... Elle a réussi à se cacher pour accoucher mais elle a très vite été retrouvée et amenée en place publique. Ce bébé n'a même pas une semaine et se trouve déjà si proche de la mort...

- Désolé madame, mais je ne resterais pas les bras croisés alors que cela se passe sous mes yeux. Je suis une pirate de Barbe Blanche, perdre n'est pas une possibilité et abandonner un innocent non plus.

Je ne lui laissais pas le temps de me répondre que je repartis dans la ville en sortant mon escargotphone de mon sac. Mon correspondant répondit rapidement à mon appel et j'en étais vraiment heureuse.

- Coco, dépêche-toi d'acheter tout ce dont nous avons besoin, au plus vite. Envois-moi quelques hommes pour rapporter ce que j'achète sur le navire et rappelle moi une fois que tu seras prêt et que le Moby Dick annexe sera également prêt à partir.

- Yoi ! Astra, que se passe-t-il, yoi ?

- Tu le sauras bien assez rapidement, j'ai vraiment besoin que vous fassiez au plus vite. Dit à ceux qui doivent me rejoindre de faire vite et de ne pas poser de questions. Il faut que dans deux heures maximums nous soyons prêts à partir au plus vite.

- Tu as intérêt à t'expliquer, yoi. Je t'appelle dès que tout est prêt pour notre départ, yoi.

Je n'attendis pas plus et raccrochais, je rangeais mon escargotphone dans mon sac avec ma veste. Il était plus prudent de cacher mon Jolly Roger pour quelque temps que de continuer à me pavaner avec.

Je commençais à faire des emplettes, afin d'acheter tout le nécessaire pour un enfant en bas âge sur un navire pirate. Ce fut avec d'innombrables sacs et caisses que les autres de l'équipage me retrouvèrent. Je leur confiais donc tout ce que j'avais acheté et retournais dans un coin sombre de la place, les yeux rivés sur l'enfant qui avait cessé de pleurer mais qui devait mourir de faim, de soif et de chaleur. Heureusement que j'avais pensé à faire plus que le plein de la pharmacie, j'allais en avoir véritablement besoin pour soigner ce bambin.

Environ trente minutes plus tard, je reçu un appel de mon ami me disant que tout était prêt au départ, qu'il ne manquait que moi. Je le remerciais donc et lui demandais de se tenir prêt à lever l'ancre dès mon arrivée.

Je n'attendis pas plus longtemps et me propulsai vers l'enfant le plus rapidement possible le prenant dans mes bras à la stupéfaction de tous. Stupéfaction qui fut de courte durée. Les gardes présents se mirent à ma poursuite assez rapidement, tirant dans ma direction avec leur fusil et provoquant une panique générale un peu partout. J'avais du mal à passer mais je jouais des coudes et des bras pour me frayer un chemin au travers de la foule. Il fallait que je sauve cet enfant à tout prix. Je ne pouvais pas partir et détourner les yeux, le laissant à son triste sort.

J'évitais les balles avec facilité grâce à mon haki de l'observation mais je ne pus tout esquiver et une balle pénétra ma chair dans ma cuisse droite. La blessure me ralentissait alors grandement mais je pris sur moi et me forçais à garder l'allure que j'avais. Il fallait que je nous sauve tous les deux.

J'arrivais enfin sur les quais du port quand je constatais soudainement que le navire était déjà loin des côtes et qu'il m'était impossible de le rattraper à la nage, pas avec un enfant mal en point dans les bras et blessée à la jambe. Tout allait donc recommencer ? Allais-je encore perdre un enfant ? Je ne pouvais me résoudre à ce sort.

Alors que j'allais tenter le tout pour le tout et plonger, deux serres se refermèrent sur mes épaules et je me sentis soulever dans les airs à grande vitesse. Ce fut tout aussi rapidement que je fus sur le bateau avec mes frères qui s'activaient pour faire partir le bateau le plus loin des côtes. Marco avait déjà tout prévu, me prenant au dépourvu.

- Astra ça va, tu n'es pas blessé, yoi ? m'interrogea-t-il inquiet.

- Marco aide moi, il faut que j'aille en cuisine rapidement et que je le change également. Il est mal en point, lui répondis-je en lui montrant l'enfant sous son regard ahuri. Soigne-le.

- Qu'est que... Dépêchons-nous. Passe-le-moi je vais aller à l'infirmerie, yoi.

- Merci Coco. Pendant que tu le soignes je vais aller lui préparer un biberon, il faut qu'il mange.

Il me prit l'enfant des bras et partit en direction de l'infirmerie à toute vitesse. Je pus voir également qu'il avait activé ses flammes pour aider l'enfant à tenir. Je m'inquiétais vraiment pour lui.

Je me relevais avec difficulté et partis en direction de mes achats fait plus tôt et en ressorti du lait en poudre que je pris avec moi avant de partir le plus rapidement possible en direction des cuisines où je fis le mélange rapidement. Quand le tout fut à bonne température, je repris ma route en vitesse pour rejoindre Marco.

Quand je pénétrais dans la pièce de soin, je pus constater que Marco lui avait mis une perfusion, sûrement pour l'aider à s'alimenter le temps que je lui amène le nécessaire et même après. Le commandant de la première division l'avait même nettoyé et changé. Le bébé semblait avoir déjà reprit quelques couleurs et il gesticulait déjà un peu plus.

Je soupirais de soulagement en m'approchant. Marco m'autorisa d'un geste de la tête à le prendre dans mes bras pour le nourrir et le bambin ne fit pas le difficile, mangeant goulument le contenu du biberon. C'est qu'il devait vraiment avoir faim le pauvre. Je m'installais confortablement sur une chaise, non loin de la perche à perfusion. Je m'étais déjà attaché à cet enfant.

- ASTRA ! Cria Marco tout d'un coup. TU ES BLESSE, YOI !

- Coco, ne cris pas. Tu vas le faire pleurer !

- Ce n'est pas la question ! Il faut te soigner, yoi !

Il ne perdit pas de temps et souleva ma jambe pour la mettre en suspension dans le vide à l'aide d'un tabouret. Il me soigna assez facilement mais je sentis qu'il fit exprès de le faire le plus douloureusement possible. Je savais qu'il était en colère que je ne lui dise pas que j'étais blessée dès le début.

Je ne relevais pas et fis roter l'enfant avant de le bercer en douceur. Il finit par s'endormir, épuisé, ce qui était tout à fait normal. Il n'avait à peine que quelques jours et il avait déjà vécu une chose aussi horrible...

- Tu es consciente qu'on ne pourra pas le garder sur le Moby Dick, yoi ? Ne t'attache pas trop à lui, yoi.

- Je le sais Coco... Mais je ne le laisserais pas me quitter sans avoir trouvé une bonne famille pour lui. Une famille qui saura en prendre soin et l'aimer de tout son cœur...

- Tu peux me dire d'où il sort, yoi ? J'espère pour toi que tu ne l'as pas kidnappé, yoi.

- Tu me prends pour qui ?! Jamais je n'enlèverais un enfant à sa mère ! Pas comme ça, du moins. Je l'ai trouvé en visitant la ville. Sa mère a été lynché en place publique pour avoir donné naissance à cet enfant et pour avoir eut une relation avec un pirate. Ils l'ont laissé devant le corps de sa mère, en plein soleil. Ca dois faire plusieurs jours qu'il est resté à cet endroit vu sa faiblesse. Je ne pouvais pas le laisser ainsi à son sort. Il est si jeune et a toute sa vie devant lui.

- Je comprends et je te félicite, yoi. Je suis certain que père ne verra pas d'inconvénient pour le garder à bord mais ce sera toi qui devras t'y coller, yoi. Après tout aucun d'entre nous n'a jamais été parent, yoi.

Il riait et regardait avec tendresse ce petit bout de chou. Il avait craqué pour  lui ! En même temps avec cette bouille, comment ne pas craquer ?

- Faudrait lui trouver un nom à cette petite fille, yoi. Une idée, yoi ?

- Hum... et pourquoi pas... Sigrid ? Chez moi, cela veut dire « belle victoire » et je suis sûre que ce nom lui irait parfaitement. Après tout elle va survivre à cette épreuve et ce sera une belle victoire sur ces dirigeants tortionnaires.

- Bien parlé, yoi.

- N'empêche, j'ai hâte de voir la tête de père quand je vais lui annoncer qu'il est devenu grand-père, riais-je doucement.

- Tu ne vas pas oser, yoi...

- Oh que si !

Il souffla amusé. Lui aussi avait hâte de voir la tête qu'allait tirer notre père. Mais pour moi c'est aussi la réaction de l'équipage tout entier qui allait me faire bien rire ! Je voulais déjà voir la tête des autres déjà présents avec nous. Ce que je pouvais être sadique quand je m'y mettais.

Nous attendîmes patiemment que la perfusion soit terminée et Marco la lui enlevais. Il me fit signe que je pouvais partir avec elle, ce que je fis sans me faire prier. Je voulais prendre l'air et lui faire profiter de l'air marin également. Et puis, Marco lui avait mis une couche neuve faites avec des bandes de tissus, mais j'avais acheté le nécessaire. C'est donc naturellement que je demandais à Marco d'aller chercher la caisse où il y avait les couches jetables et les vêtements pour enfant dans sa cabine.

Une fois qu'elle fut changée, je la portais pour aller sur le pont où tous se figèrent avec incompréhension à la vue de Sigrid dans mes bras. Cela me fit bien rire, tout comme Marco. Personne ne s'y attendait, à celle-là.

- Bon. Les gars je vous présente Sigrid le nouveau membre de l'équipage qui sera sous la responsabilité d'Astra à partir de maintenant, yoi. Bien entendu, je compte sur vous pour la dorloter et aider notre sœur à prendre soin d'elle, yoi.

- Depuis quand tu as accouché ? Et c'est qui le père ? Demanda un des gars de la seconde division.

- D'après toi ! Elle est super proche de Marco ! Il a dû la mettre en cloque et elle a accouché quand on est accosté ! Répondit un autre de la première.

Evidemment Coco ne laissa pas cela passer et frappa les deux qui finirent à la mer, mais cette fois-ci je ne plongeai pas pour aller les aider.

- Ce n'est pas ma fille, ni celle d'Astra, yoi. Cette enfant a été sauver de l'île qu'on vient de fuir, yoi. Je compte sur vous et le prochain qui raconte une nouvelle ânerie je l'utilise pour la pêche aux monstres marin, compris, yoi ?

- Oui commandant ! S'écrièrent-ils.

- Juste, comment tu vas faire Astra pour t'occuper de Sigrid mais aussi de la deuxième ? l'interrogea Félix inquiet pour ma santé.

- Ne t'en fais pas. C'est l'avantage d'être une femme, je suis multitâche, pas comme certains, me moquais-je d'eux ouvertement.

Vu leur tête j'avais visé dans le mille. Ce que j'aimais les mettre en boîte ! Mais ils se reprirent bien vite et vinrent tous rencontrer la petite qui dormait paisiblement dans mes bras. Ils craquèrent tous un à un, même Ace lui avait montré un peu d'affection alors qu'il semblait détester les bébés qui braillent comme il disait. 

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