Titre alternatif : "La Baronne..."
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Shenzi, sur scène.
Humeur : Danse chérie, danse.
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Je souris en voyant Dabi assis à une table en train de me fixer.
Ça m'insulte mais ça vient me voir performer... Comportement de fan.
Je m'approche de lui, Britney Spears me galvanisant à travers sa musique. Je me mets à marcher de table en table sur des talons potentiellement invivables pour le commun des mortels. Je m'arrête à la place où se trouve Dabi et m'accroupis lentement face à lui. Il fixe les tatouages de serpent sur mes bras et sort un billet de 100 de sa veste. Je souris et l'attrape sans même lui laisser le temps de m'en empêcher. Je ne le lâche pas des yeux, noyée dans son beau regard turquoise.
Il a pas le droit d'être si charmant et insupportable en même temps.
Je me redresse et lui fais un clin d'oeil en glissant le billet entre mes seins. Je bouge mes hanches en rythme avec mes collègues. Mes mains glissent lentement le long de mon corps, les yeux de Dabi suivant leurs mouvements. Je souris en coin et remonte sur la barre de pole dance en même temps que mes acolytes danseuses. Je me laisse porter par la musique, la chorégraphie s'effectuant pratiquement seule en moi.
Tout ce que je sens, ce sont les yeux perçants du vilain sur moi.
Je m'accroupis lentement contre la barre de pole dance, dos aux clients et leurs regards lubriques sur moi.
Ils ont choisi de me voir comme un objet de satisfaction alors je les verrai comme des objets de domination. Ils aiment me voir danser, je les rendrai si dépendants qu'ils feront tout pour moi.
Je souris en continuant de me déhancher, obtenant les acclamations du public et des billets de la part des pires d'entre eux. Je pars en coulisse, échangeant ma place avec une autre danseuse. Je compte un par un les pourboires reçus jusqu'à tomber sur un papier en plus du billet de Dabi. Je le lis en fronçant les sourcils.
"Rejoins-moi derrière le bâtiment à la fermeture du casino. J'ai à te parler."
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Dabi, dehors, plusieurs heures plus tard.
Humeur : Deal ?
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J'allume une cigarette entre mes lèvres et regarde en face de moi. Des jeunes déambulent dans les rues, complètement drogués et alcoolisés. D'autres les rejoignent pour les ramener en vie chez eux. Des chefs d'entreprises sortent du casino en allumant des cigares. Certains sont heureux, d'autres sont au bord du gouffre.
C'est ça les jeux d'argent...
Je vois les collègues de Shenzi sortir en riant, habillées comme si elles allaient faire des courses. Elles partent en direction de la maison mère de Big Mama, inaccessible à quiconque n'ayant pas l'accord de la Doña. Je souris en coin en voyant Hawks et Shenzi sortir en s'étirant.
— C'est épuisant les PDGs endettés..., se plaint Hawks. Ils pensent tellement être tout puissants qu'ils oublient que c'est moi qui tient leur vie en jeu.
— T'as pas vu les PDGs en chien toi ! Ils me regardaient comme j'étais Salt Bae c'est chaud ! S'écrie la noire. Mais c'était incroyable de savoir qu'en un geste, ils s'évanouissaient de tentation.
— J'avoue que c'est pas mal comme sensation...mais en attendant on a rempli les objectifs de Big Mama et ça, ça n'a pas de prix.
— N'est-ce pas ? Bon Keigo faut que je te laisse, j'ai un grand brûlé qui veut me causer.
— Je viendrai récupérer tes cendres dans 20 minutes si t'envoies pas de signes de vie.
— T'es un sucre frérot.
Ils se font un check avant de se séparer. Shenzi avance vers moi les bras croisés. Je lui tends un paquet de cigarettes, qu'elle prend sans hésiter.
— Tu me veux quoi Dabi ? Souffle-t-elle.
— Parler à Big Mama.
— Et puis quoi encore ? M'enceinter ?
— Pas très fan de l'idée non, Empress.
Elle se rapproche de moi et dépose le bout de sa cigarette contre la mienne, laissant l'objet lentement s'embraser. Elle ne prend pas la peine de reculer pour continuer de me parler :
— Déjà que la Doña est relou à joindre même si on la connait, toi t'as le toupet de venir me demander de t'amener à elle. Sans me proposer quoi que ce soit en échange en plus !
— Prière de reculer et d'arrêter d'envahir mon espace vital.
— Tu vas faire quoi si je refuse Dabs...? Provoque-t-elle.
— Te causer une douleur agonisante et si insupportable que tu finiras par perdre la voix à force de crier.
— Coucher avec moi quoi.
— Non je fais pas dans l'attentat-suicide.
Elle hausse un sourcil et tchipe, visiblement insultée. Je souris en coin et la repousse d'une seule main.
— J'ai juste besoin de parler à Big Mama. Rien de plus ou de moins. Si t'as besoin que je te paye, pas de problème. Mais emmène-moi à la Doña.
— Dans une semaine.
— Maintenant.
— Crève ta race alors.
— Quand ton cadavre sera sous mes pieds.
Elle souffle la fumée de sa cigarette et s'appuie sur le mur en face de moi. Elle regarde son téléphone avant de le fourrer dans sa poche.
— Écoute-moi bien Dabi. Je veux bien t'emmener jusqu'à la maison mère de la Doña ou provoquer votre rencontre. Mais je peux pas faire ça maintenant, question de principe. Si c'est urgent, adresse-toi à quelqu'un d'autre qui la connait bien. Moi, c'est pas mon dos. Moi c'est dans une semaine ou jamais. Et bien sûr tu viens seul, y'a pas de Shigaraki ou quiconque d'autre. Vous allez causer une guerre à laquelle vous ne survivrez pas.
— Justement.
— Hein.
Je laisse la fumée s'échapper de mes lèvres en la regardant dans les yeux. Ses yeux sont noirs, neutres voire vides. Elle n'a plus cette étincelle qu'elle avait quand je l'avais rencontré quelques années plus tôt.
Ils lui ont fait quoi dans cette taule pour qu'elle soit comme ça ?
Elle rit jaune et se craque les doigts.
— Dis-moi que tu rigoles petit con. Tu comptes vraiment commencer une guerre avec Big Mama ? Toi et ton crew là ? Vous qui avez échoué à la capture d'un lycéen il y a des années ? Se moque-t-elle.
Sans même réfléchir, une flamme bleue apparait dans ma main. Elle sourit en fixant le danger devant elle.
— Non. Sauf qu'on a un accord à passer avec elle pour justement éviter une guerre qui détruirait tout.
— Tu sais très bien que si ça concerne deux groupes mafieux, la guerre est inévitable.
— Ce n'est pas entre eux.
— C'est qui alors ? Crache le morceau !
— Tu mérites déjà pas de respirer le même air que moi alors si tu penses que je vais te dire qui est concerné... Je te méprise au plus haut point mais on a un intérêt commun qui me force à faire semblant de te tolérer pour avoir ce que je veux.
— T'avais pourtant l'air de sincèrement bien aimer mon boule il y a quelques heures...
Je tique pendant qu'elle souffle du nez.
— Pris la main dans le sac Dabi...
— Tu comptes m'amener à la Doña ou bien ?
— Paie-moi et accepte d'attendre l'opportunité dans une semaine ou tes simagrées ne sont pas mon dos.
— Combien.
Elle sourit et écrit un nombre sur son téléphone en expliquant son chemin de pensée :
— Danger d'accompagner un vilain... Danger de se faire massacrer par la Doña... Risque de gastro par inhalation de peau brulée... Prix de la tenue... Assurance en cas de trahison... Voilà mon prix.
Elle me le montre en souriant. Je hausse un sourcil et prépare une attaque. Elle part en courant, les tatouages sur ses bras devenant deux gros serpents, un blanc et un noir. Elle fuit en criant :
— T'AS ENCORE UNE SEMAINE PILE POUR ACCEPTER MON DEAL DABS !
Elle finit par disparaitre dans les rues de la ville. Je soupire et passe la main sur mon visage.
Elle est complètement malade de me proposer un prix pareil... Je veux parler avec une baronne de la nuit, pas racheter son manoir.
Je finis par retourner dans mon appartement et appelle Mister Compress, qui décroche :
— Dabi ?
— Elle a refusé. J'ai une semaine pour lui faire une contre-offre ou on devra trouver un autre moyen de s'infiltrer chez la Mama.
— Je vais voir ce que je peux faire. Toi de ton côté, fais-toi à l'idée que tu vas sûrement finir par travailler avec la Doña.
— Hors de question.
— Si si ! On a pas d'autres solutions ! Moi elle me connait et me déteste déjà, Toga et Twice gèrent déjà une autre affaire. Spinner et Shigaraki sont trop occupés à pirater toutes les caméras des prisons les plus dangereuses du monde et Kurogiri tient le bar en place. Y'a que toi de disponible actuellement.
— Alors on s'infiltrera chez elle quand l'opportunité se montrera. Flemme de devoir saquer ses employés à la con.
— Dis plutôt que Shenzi a réveillé l'enfant impatient en toi.
— Ferme la.
— Bonne soirée à toi aussi Dabi ! Rit-il avant de raccrocher.
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Shenzi, un mois plus tard, dans l'après-midi.
Humeur : Ah.
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J'entre dans les coulisses du cabaret de Big Mama. Je salue tout le monde et m'assois, complètement morte.
Big Mama m'a peut-être approuvé avec Hawks mais je dépends trop d'elle actuellement...
Je me prépare à m'entraîner pour le numéro de ce soir quand mon téléphone professionnel sonne. Je décroche en mettant mes talons :
— Consultante en tous genres bonjour !
— Shenzi c'est Alex... J'ai un problème.
— Dis-moi tout chérie.
— Je dois aller aider une amie avec son enfant mais...je peux pas sortir seule là où je suis... C'est trop dangereux en ce moment et je peux pas me défendre.
— T'as besoin d'un garde du corps.
— Juste le temps de rejoindre mon amie... J'aimerai pas te gêner dans tes entraînements chez Big Mama...
— Oh mais t'en fais pas, je vais pas hurler. Envoie ton adresse et j'arrive avec une couverture. Et toi essaie de déménager si ton quartier il craint autant !
— Je t'expliquerai quand t'arrives...
J'entends des coups de feu à travers l'appareil me causant un énorme frisson d'effroi.
— J'arrive chérie. Envoie ton adresse et ton étage.
Je raccroche et mets un manteau. Je préviens Hawks de mon absence et cours chercher Alex.
Faut lui apprendre à se battre à elle... Ou lui trouver de quoi se défendre.
Je trace vers l'adresse indiquée, ma discrétion détruite par le bruit de mes talons. J'arrive devant un immeuble avec les portes défoncées, du sang sur les murs et un corps dans une ruelle.
Une véritable zone de non droit.
Je me mets courir vers le troisième étage. Je toque à sa porte.
— C'EST SHENZI ALEX OUVRE !
La porte s'ouvre faiblement sur une Alex tremblante. J'entre et la prends directement dans mes bras. Je ferme la porte derrière moi et ne cherche pas à lui poser de questions. J'observe l'appartement derrière nous deux. Il est sens dessus dessous, une boîte de cachets traîne au sol pendant qu'un couteau ensanglanté est posé sur la table. Je me mords la lèvre et vérifie l'état de mon amie dans mes bras. Je m'assois sur le canapé et lui sors une bouteille d'eau de mon sac.
— Tu n'as rien c'est déjà un bon début..., rassuré-je. L'appartement n'est pas à ton nom... Tout va bien ?
— Je... Je crois que j'ai tué un de mes clients...
J'écarquille les yeux et me couvre la bouche. Alex se tient la tête.
— J'ai un mal de tète affreux, les rues sont infestées de gangs, j'ai aucun souvenir de ma nuit... Je me vois seulement...me battre contre un client un peu trop dangereux avant qu'un couteau traverse la fenêtre et atterrisse dans son cou...
— Légitime défense alors...et t'as eu une aide extérieure.
Elle hoche la tête.
— Les médicaments par terre c'est à toi ?
— Non... C'est pour...mon amie justement... Je dois lui amener.
— Okay... On doit effacer les traces du meurtre chérie.
Alex me fixe pendant que je ramasse les médicaments. Je la regarde, complètement blasée par les événements.
Tartarus m'a tellement retourné la tête qu'un meurtre ne me fait plus d'effet... T'es complètement ravagée ma copine... Complètement ravagée.
— Comment tu veux faire ça ? On a rien pour me couvrir ! S'exclame-t-elle en stressant.
Je mets ses affaires dans mon sac et lui prends les joues. Elle me regarde dans les yeux, ses iris bleus transperçant mes yeux noirs. Je lui souris avant de lui proposer une idée de merde :
— Si t'as le numéro de Dabi, on sera fixées.
— Dabi...? Tu penses qu'il pourra aider ?
— C'est un vilain. Il sait comment effacer des preuves correctement. T'as pris tes cachets d'ailleurs ?
Elle secoue la tête. Je lui pince le visage.
— Mais fais le ! Tu vas pas te laisser crever quand même choupi !
— Parle pour toi. T'en as même pas alors que ton état est pire que le mien.
— Eh ! Je ne te permets pas de lever le voile sur ma santé mentale dégradée.
— À chacune son moment de vérité, sourit-elle en cherchant Dabi dans ses contacts.
Elle finit par l'appeler.
— Oui Dabi ?
— Qu'est-ce que tu me veux ?
— Un service à te demander... Tu...peux m'aider à effacer les preuves d'un meurtre ?
— J'ai quoi en échange ?
— Tu pourras parler à la Marraine, interviens-je.
— Elle est là la follasse en plus ? Franchement Benedetto je s-
— Tu lui parleras ce soir.
— J'arrive. Envoie l'adresse et l'étage.
Il raccroche. Je soupire et manque de m'arracher le peu de cheveux que j'ai. Alex prend mes mains et les caresse avec une douceur plutôt agréable.
— Merci Shenzi, remercie-t-elle en souriant.
— C'est normal... On s'entraide entre amies non ?
Elle serre mes mains et regarde vers une porte ensanglantée, sûrement là où le corps de son agresseur se trouve. Je la reprends doucement contre moi, servant de soutien silencieux. Elle sourit et se blottit en silence. Dabi entre dans l'appartement une dizaine de minutes plus tard. Il fait le tour de l'appartement et fixe le corps de l'homme.
— Un règlement de compte..., conclut-il.
— Comment tu sais ? Demandé-je.
— Il a une marque sur le dos. Il a été ciblé par un alter qui doit marcher à comme un lanceur à tête chercheuse... Il n'est pas mort pour rien mais si on veut éviter la taule, on doit se débarrasser de l'appartement entier.
— Entier ? Sérieusement ? S'étonne la jeune femme dans mes bras.
— Il doit y avoir ton ADN dans l'appartement... C'est dangereux pour toi, fais-je remarquer. Cassons-nous vite d'ici avant que tout ne brûle.
Dabi me fixe, l'air d'attendre quelque chose de moi.
— Tiens. Appelle ce numéro à 23:30, fais-je en lui tendant un papier.
Il l'attrape sans rien dire, s'empêchant sûrement de me lâcher une dinguerie.
Reste professionnelle Shenzi... C'est pas le moment de l'attaquer gratuitement.
Je souffle et pars avec Alex et toutes nos affaires. Je l'emmène chez son amie, reste au bout du couloir pendant qu'Alex est accueillie par une jolie métisse aux yeux verts et un bébé attaché dans le dos.
— Te voilà enfin Alex ! J'ai cru que ton client t'avais pas laissé partir.
— Je t'expliquerai tout plus tard..., marmonne la jeune femme. Juste...laisse-moi prendre une douche et t'emprunter des habits.
— Mon dressing est ton dressing.
J'attends que la porte se ferme avant de retourner dans le cabaret par loin. Hawks me suit du regard, je lui fais un pouce en l'air avant d'aller m'entraîner comme si je n'avais pas pris un engagement foireux envers un mec encore plus foireux.
Le fameux Dabi, fils de chien professionnel aux affaires qui ne devraient pas être mon dos.
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Shenzi, pendant la nuit.
Humeur : Vous êtes pas prêts.
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Je mets une sucette au citron dans ma bouche, attendant Dabi à l'entrée du cabaret. Il finit par apparaître devant moi sans rien dire. Je lui ouvre la porte arrière et le guide jusqu'aux appartements de la baronne. Je toque et entre dans le bureau de Big Mama, qui me fixe en pleine fumette.
— Que me vaut ta présence Empress ? Interroge la femme aux cheveux blancs.
— Quelqu'un veut vous parler. Je...pense que c'est assez important.
Dabi entre dans le bureau, créant une tension désagréable dans la pièce. Le jeune homme s'assoit sur le canapé et tend une feuille à la Doña. Elle la lit en laissant la fumée évacuer de ses lèvres. Elle souffle du nez et regarde Dabi droit dans les yeux.
— On te paye bien pour me faire parvenir une information pareille j'espère ? T'es en danger de mort pour être au courant de ça, dénote la baronne.
— Je le sais. Je ne suis qu'intermédiaire dans cette histoire. Il ne faut plus que votre accord sur la proposition sur cette fiche et vous serez tranquille.
La Marraine me regarde et me fait signe de m'asseoir à côté de Dabi. Je le fais en retenant un frisson. Elle me donne une feuille et un stylo.
— Empress, écris bien ce que je vais dire. Écris que Big Mama accepte de mettre à disposition deux de ses meilleurs éléments, à condition que 30% des bénéfices lui reviennent et qu'une protection soit appliquée sur ses activités illicites. Rajoute que c'est non négociable et que s'il y a un problème, venir directement en face est bien plus efficace qu'envoyer un petit voyou parler en leur nom.
Dabi hausse un sourcil. Je souffle du nez en écrivant le dernier passage dicté.
— Dis aussi que j'attends une réponse rapide de leur part sinon je n'enverrai pas d'aide et je ne stopperai pas mes actions.
Je hoche la tête et finis d'écrire pour elle, qui signe la lettre. Elle la plie, la met dans une enveloppe avec une carte en plus et tend le tout à Dabi.
— Ramène ça à tes commanditaires, ordonne-t-elle au pyromane.
— C'était prévu.
Le regard de la Marraine devient de suite plus agressif suite à l'insolence de Dabi. Celui-ci finit par partir les mains dans les poches et la lettre dans la veste. Je soupire et mets ma main sur mon front. Big Mama me fixe et sort une boîte de cachets.
— T'as des séquelles à cause de Tartarus toi, n'est-ce pas ? S'inquiète la Mère.
— Ouais... C'est pas très agréable mais ouais...
— Prends ça. Ça t'aidera à au moins contrôler ton alter et éviter de buter tout le monde, de la part du psy.
— Merci M'dame...
— Je prends soin de mes petits. Je ne serai pas Big Mama sinon.
Je souris en la regardant. Elle souffle sa fumée avec un léger sourire en coin.
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Wesh ! Comment va ?
Moi ça va ?
Dans ce chapitre, bien des choses ! Un moment sans haine encore Shenzi et Dabi, de la violence pure, Big Mama qui se révèle avoir un fond de valeur...
Beaucoup à digérer mais promis ça passe bien !!
J'espère que ce chapitre vous plaira et... JE VOUS FAIS DES BISOUUUUUUUUS.
Titre : Dabi + "Boss"