Je marchais lentement dans le couloir. Il ne faut pas que je me fatigue trop sinon ma toux va reprendre.
Il faudra que je remercie le docteur Watson. Ah, quand on parle du loup !
Watson marchait dans ma direction.
(t/p) : Watson..! Je.. Je voulais vous remercier pour..
Watson : *chuchotant* Mademoiselle, sachez que je n'approuve pas ce que vous m'avez demandé maintenant parlez moins fort ou l'on pourrait nous surprendre
(t/p) : Je m'excuse..
Watson : Je vous donnerai demain les instructions à suivre pour vous soigner, d'ici là, n'évoquez plus ce sujet
(t/p) : Bien
Nous venions à peine de nous taire que Sherlock déboula dans le couloir suivi de William.
Sherlock : (t/p) !!! Tu n'est pas encore rétablie alors ne marche pas toute seule
(t/p) : Je vous demande pardon ?
J'interrogeais William du regard. Celui-ci soupira.
(t/p) : Maintenant si vous voulez bien m'excuser, le docteur Watson allait justement m'escorter en bas.
Sous les yeux presque médusés de Sherlock et William, il va vraiment falloir qu'ils m'expliquent ce comportement, je descend les escaliers au bras de Watson.
Arrivée en bas, je m'assois dans un des canapés toujours en compagnie de Watson. Louis m'apporte aussitôt une tasse de thé fumante. Je la porte à mes lèvres et en bois une petite gorgée.
(t/p) : C'est délicieux~ !
Louis : Avez-vous besoin de quelque chose d'autre ? Si vous voulez je peux..
(t/p) : Haha ! Merci Louis mais je vais finir par ressembler à ces dames qui ne sortent pas sans leur cour. Je ne veux pas devenir imbue de moi même en me faisant servir
Louis : Vous avez presque failli ne plus jamais sortir de cette chambre.. La moindre des choses est de..
Je pose ma main sur le bras de Louis qui était resté à côté de moi. Celui-ci baissa les yeux en soupirant. Il se lève et part sortir les assiettes et verres du buffet pour le repas. Je l'observe tout en finissant de boire mon thé.
Louis : Je vais préparer le repas. Faites-moi savoir si vous avez besoin de quelque chose
(t/p) : Puis-je vous aider ?
Louis : *soupir* Mademoiselle vous.. Vous venez à peine de vous remettre et vous voulez déjà nous aider ? Remontez dans votre chambre et reposez-vous
(t/p) : Très bien.. Mais promettez-moi que demain je pourrais vous aider !
Louis sourit tout en se dirigeant vers la cuisine.
Louis : Devant un tel sourire on ne peut qu'être d'accord. Mon frère souhaiterait vous parler dans son bureau M. Watson
Watson : Ah.. Très bien.. Mademoiselle permettez-moi de vous raccompagner
J'accepte volontiers. Sur le chemin Watson ne semble pas très serein.
(t/p) : Vous sentez-vous bien ?
Je pose ma main sur son bras.
Watson : Mademoiselle.. N'espérez pas cacher votre état pendant longtemps, vous êtes très surveillée à ce que je vois
Il sourit faiblement puis se dirige vers le bureau de William que je lui ai indiqué au préalable.
J'ouvre la porte de ma chambre.
(t/p) : Qu'est-ce que..
Il s'est endormi ? Après tout, il doit être fatigué lui aussi. Il ne s'est même pas couvert ? Il va finir par attraper froid !
Je m'approche de mon lit et le couvre avec une couverture.
(t/p) : C'est mieux n'est-ce pas..?
Disant cela, je sens une main m'attraper le bras et me faire basculer en avant. Mon menton entre ses doigts, mon visage en face du sien, bien sûr que je suis en train de rougir !
Sherlock : Yo~~ C'est mieux comme ça ouais
(déçus ? ^^)
(t/p) : Vous ne dormiez pas ?!
Sherlock se redresse en baillant et se frotte les cheveux.
Sherlock : Hein ? Bien sûr que si sinon je ne me serai pas réveillé !
Je reste interdite face à sa réponse des plus évidentes.
Je recule quand il se lève.
Sherlock : Déçue ?
Je détourne le regard.
(t/p) : Arrêtez de vous amuser..
Sherlock soupire puis ouvre la porte de ma chambre.
Sherlock : Bon.. On se revoit demain, je vais demander où est ma chambre !
Sur ces mots, il s'en va. Quel culot ! Je ne suis pas sûre que Louis sera très enchanté.
Je ris en imaginant sa tête. Quelle heure est-il au juste ? Je ferai peut-être mieux d'aller dormir, demain sera un autre jour.
Je me couche et me tourne.
(t/p) : Il est resté tellement longtemps que les draps sont imprégnés de son parfum.. Tch ! Demain je lui en toucherai 2 mots..
Je me tourne pour éviter les rayons du soleil. Quelle heure est-il ?
Je me redresse en tenant ma tête dans mes mains.
(t/p) : Ouh.. Ma pauvre tête.. Comment fait ce détective pour supporter autant de tabac ?
On toque à ma porte.
Louis : Etes-vous réveillée mademoiselle ?
(t/p) : Oh.. Oui, oui je descend dans quelques minutes, merci Louis !
Disant cela j'attends que Louis soit parti pour mettre ma main devant ma bouche et tousser.
Il ne faut surtout pas que l'on m'entende ou ils devineront tout.
Je me lève et constate que j'ai encore dormi toute habillée. Je soupire et enfile une autre robe. Je m'occupe ensuite de mes cheveux, oh pas grand chose juste un nœud pour les attacher et cela suffira.
(la coiffure, en fait imaginez ce que vous voulez, c'était juste pour le noeud)
Watson : *chuchote* Mademoiselle ? Puis-je entrer ?
J'ouvre la porte à Watson.
Watson : *soupir* vous devez leur dire. Votre état empire de jour en jour..
(t/p) : Non !! Non non..
Watson : Votre conscience ne pourra qu'aller mieux après ça
(t/p) : Je n'ai plus la conscience tranquille depuis belle lurette..
Sherlock : Oh ! (t/p) viens j'ai trop la dalle !
Watson : Je vais lui dire de se calmer ou il va finir par saccager toute votre maison au même titre que notre appartement !
(t/p) : Je descend avec vous..
Dans le salon, nous trouvons Sherlock en train de grommeler devant un verre de scotch vide.
Sherlock : John, on va devoir se retirer..
Watson : Tu dis ça comme si cela t'embêtait
Sherlock : Mais je suis embêté ! Tout ça pour une affaire qui n'en vaut sûrement pas la peine !
Watson : Allons ne dis pas ça..
Sherlock ne répond rien. Watson et moi prenons place à table.
Sherlock.. Je n'ai pas oublié ce qui est arrivé hier.. laissez-moi m'exprimer..
Sherlock : Hein ? Comment ça je gêne ! Et puis d'abord pourquoi je ne pourrais pas dormir dans le lit qui me plaît ?!
(t/p) : Mais.. mais parce que ça ne se fait pas tout simplement !
Nous étions en train de débattre sur le fait que Sherlock avait laissé une odeur de tabac et de substance je présume illicite dans ma chambre. J'avais eu du mal à m'endormir d'ailleurs !
(t/p) : Enfin, je ne vais pas m'engager dans un débat avec vous ! *chuchote* Ce serait comme prouver à William qu'il a besoin de sentiments..
Watson : Sherlock ! Enlève tes coudes de la table !
Nous soupirons Watson et moi. Comment Miss Hudson peut supporter un pareil individu sous son toit ?
William : Bonjour mademoiselle
Je me lève pour le saluer.
(t/p) : Bonjour William
William : Un problème ? J'ai cru entendre des cris
(t/p) : *soupir* Oh, ce n'est rien..
Watson : Nous allons devoir y aller Sherlock..
Sherlock se lève nonchalamment. Watson se tourne vers nous.
Watson : Je vous remercie de nous avoir hébergé ici cette nuit
(t/p) : C'est moi qui vous remercie. Sans vous je..
Je souris.
(t/p) : Je n'aurais pas pu vous dire au revoir..
Watson : Prenez soin de vous mademoiselle et rappelez-vous, vous ne devez pas sortir durant une longue période pendant 2 voir 3 jours. Si vous vous sentez mal, rentrez tout de suite à l'intérieur
(t/p) : Mais oui, de toute façon je me sens déjà mieux !
Watson me lance un regard qui prouve qu'il n'est pas convaincu.
Sherlock : A plus Liam ! J'espère qu'on pourra se revoir dans de meilleures conditions. (t/p), envoie moi une lettre dès que tu peux revenir, et n'oublie pas de lire les livres que je t'ai passé !
William : Ne vous inquiétez pas, je resterai à ses côtés
Sur ces mots, il me prend le bras et me ramène vers lui.
Sherlock : Liam.. Bon on se tire !
(t/p) : Vous arriverez à trouver la gare ?
Sherlock : Voulez-vous nous accompagner ?
(t/p) : Avec plais..
Watson : Que viens-je de vous dire à l'instant..?
(t/p) : Je.. Désolé..
Watson : Nous trouverons ne vous inquiétez pas. Si un train ne veut pas partir, Sherlock s'en chargera !
Je fronce les sourcils. Je demanderai à William s'il sait quelque chose à ce sujet.
Nous les regardons partir et refermons la porte.
Louis : Enfin partis..
A peine avait-il dit cela que quelqu'un frappe. La porte s'ouvre laissant apparaître Moran et Fred.
Comment ont-ils fait pour rester discrets aux yeux de Sherlock ? Ils se sont cachés dans un buisson ?
Moran : yo~ Tout le monde est là à ce que je vois. Même (t/p)~..
Albert : dans ce cas je vais pouvoir vous informer d'une chose
(t/p) : Quelle est-elle ?
Nous prenons tous place dans les grands canapés.
Albert : La comtesse De Blackswan nous convie William et moi à un bal qui aura lieu dans son château ce soir
(t/p) : Un bal ? Il ne faut pas avoir un ou une cavalière pour ce genre d'évènement ?
Albert : J'ai pris la liberté de vous présenter comme étant ma cavalière. J'espère que cela ne vous dérange pas
(t/p) : Que.. Hein ? Moi ?
Moran : Haha ! (t/p) aurait préféré y aller avec..
(t/p) : .. Mais pourquoi moi ? {désolé de vous avoir coupé la parole Moran mais c'était pour la bonne cause}
Albert : Voyez-vous d'autres jeunes filles ici ?
Il aurait pu inviter une connaissance.. Je ne connais que très peu Albert et savoir que je vais devoir jouer le rôle de sa cavalière m'emplit d'anxiété. Au moins, William sera là.. Même si avec lui non plus je ne suis pas très tranquille..
William : Nous en profiterons pour connaître un peu mieux notre cible.. Fred, as-tu pu te renseigner ?
Fred : Oui. Elle s'appelle Helen d'Easton. Pour l'instant fiancée au frère de la Comtesse de Blackswan, elle espère pouvoir se marier rapidement. Elle adore les jeux d'argent
(t/p) : Je ne vois pour l'instant aucun motif pour la considérer en tant que "cible". J'ai déjà entendu parler d'elle, elle paraît si attentionnée et douce !
William : Fred, as-tu trouvé autre chose ?
Fred tire une lettre de la poche de sa veste et la tend à William. Celui-ci la prend, la décachète et la lit attentivement.
William : Hm.. Intéressant.. Lisez ceci mademoiselle
Intriguée je lis la lettre qu'il me tend.
Que.. Ai-je vraiment bien lu ? C'est.. C'est abominable ! Non non non.. C'est tout bonnement inhumain ! Je.. Je n'arrive pas à croire qu'une femme pareille puisse..
J'écarquille les yeux au fur et à mesure que je lis la lettre. William me regarde attentivement. Une fois que j'ai fini de lire je pose le papier sur la table et ne dit plus rien.
William : Vous avez mentionnée le fait que vous la trouviez "attentionnée et douce". Votre opinion aurait-elle changé ?
(t/p) : Evidemment..
Albert prend la lettre et la lit à haute voix.
Albert : Cher génie du crime, permettez-moi de vous adresser personnellement cette lettre que j'espère vous jugerez convaincante. Celle qui deviendra très prochainement ma belle-sœur cache des choses à mon cher frère. Comme vous vous en doutez, ils ne se voient que très rarement, mon frère ayant des obligations qui l'empêchent de se détendre durant de longues périodes. Je ne sais comment vous l'annoncer, j'ai moi même été surprise de l'apprendre. Il y a de ça quelques semaines, mon frère bénéficiant de quelques rares jours de repos a emmené Helen en voyage à Chelmsford . Durant ces 3 jours j'ai eu tout le loisir de m'aventurer dans leurs appartements. C'est totalement par hasard que j'ai découvert un passage terminé par un escalier dans le salon réservé à leurs invités. Curieuse j'emprunte cet escalier et descend dans les entrailles de mon château. Je ne sais dire quel sentiment m'a envahi quand j'ai découvert ce spectacle. Des enfants, oui, des enfants en cage. Sur une estrade comme un spectacle, ils se tenaient recroquevillés comme des animaux. Sur une table à côté de cette estrade se tenait un gros livre. Je me suis approchée, il s'agissait d'un livre de compte. ces enfants étaient donc vendus ? J'ai la certitude que oui, après tout que feraient-ils ici sinon ? Ce livre m'a prouvé que ces "enchères" avaient lieux uniquement les jours où je donne réceptions. Je ne sais si ma lettre aura pu vous convaincre, veuillez prendre en compte le fait qu'il s'agisse de vies ayant à peine commencées. Je ne sais comment finir cette lettre sans pleurer. Comtesse De Blackswan."
Nous restons tous interdits face à ces révélations.
William : Ce bal tombe à point nommé pour nous..
Albert : J'ai reçu vent de conversations parlants de cette Comtesse. Si je ne m'abuse elle souhaiterait te rencontrer William
William : Dans quel contexte ?
Albert : Il se dit qu'elle te compte dans ses écrits intimes
(t/p)/Louis : Pardon ?
William: Si nous venons tous les deux accompagnés de (t/p) elle ne pourra s'empêcher d'être désagréable tout au long de cette soirée
Albert: Les invités quitteront ce bal plus tôt
William : Et nous pourrons les coincer
(t/p) : Attendez.. Se partager une cavalière ne s'est jamais vu. A part quand on veut inviter une fille à danser c'est différent mais là.. Venir à deux avec une seule partenaire..
Albert : Ne vous en faites pas, personne ne trouvera rien à redire
(t/p) : William pourquoi avez-vous dit "nous les coincerons" ?
William : Car c'est un coup monté bien évidemment
(t/p) : Pardon ? Qu'est-ce qui vous fait dire cela ?
William : Observez cette lettre. Qu'écririez-vous à sa place ?
(t/p) : Je crois bien que je serai trop bouleversée pour écrire et préfèrerais vous rencontrer personnellement.. Si je devais écrire.. J'emploierai plus de thermes comme "choquée" ou "horrifiée"
William : Exactement. Cette fête est en réalité un guet apens. Je ne sais pas quelles sont ses intentions, qui dit la vérité mais une chose est sûre, le dénouement risque d'être plus complexe que prévu..
Il se tourne vers moi.
(t/p) : *soupir* Comment puis-je savoir.. Je dirais.. Si je trouvais des enfants enfermés en cage sous ma maison, je ne prendrai certainement pas le temps d'éplucher ce livre de comptes !
William : Avez-vous remarqué ces traces sur le papier ?
Je prends la lettre entre mes mains. A l'endroit où est écrit "Je ne sais comment finir cette lettre sans pleurer" ce qui semble être une ou plusieurs larmes ont tâchées le papier.
(t/p) : C'est curieux.. Elle a versé des larmes exactement à l'endroit où elle avait écrit qu'elle ne pouvait s'empêcher de pleurer
William : Quelle coïncidence ne trouvez-vous pas ? Quoi qu'il en soit, vous nous accompagnerez pour découvrir de quoi il en retourne
Moi être la cavalière de William et Albert ?
****ellipse après-midi****
Sherlock et Watson partis, la maison était beaucoup plus calme. La journée s'était passée normalement, sans accroche.
Albert se prépare pour m'emmener acheter ma robe pour ce soir. Je commence à angoisser. Je n'aime pas plus que ça les bals mais tant qu'il est avec moi..
Je repense à ce qu'a dit Albert.
"J'ai reçu vent de conversations parlants de cette Comtesse. Si je ne m'abuse elle souhaiterait te rencontrer William. Il se dit qu'elle te compte dans ses écrits intimes"
Chère Comtesse.. je ne vous connais que peu et pourtant j'ai déjà une mauvaise intuition.
Albert : Mademoiselle.. Nous y allons ?
Je me lève. Albert m'offre son bras. Je le prend gênée. Nous ouvrons la porte d'entrée.
Albert : Je suis désolé de vous demander de jouer ce rôle, mais il vaut mieux que vous commenciez tôt à vous habituer ou vous aurez du mal à jouer ce soir
William arrive à ce moment.
William : Je suis vraiment navré de ne pouvoir vous accompagner, je dois me rendre à l'Université
Nous montons Albert et moi dans la berline.
William : Je vous fais confiance
(t/p) : Pour ?
William : Choisir une robe qui vous mettra en valeur ce soir
Il sourit. Il sourit ? Après avoir lancé cette phrase il s'éloigne en souriant ?
Sur ces paroles, la berline part. Qu'a voulu dire William tout à l'heure ? Est-ce moi qui me fais des idées ? Combien de fois la Comtesse a vu William ? Comment elle peut lui porter un intérêt ? il est plutôt discret, ne se met pas en valeur, à des goûts simples.. Il ne semble pas être le genre d'homme qui pourrait intéresser une Comtesse..
Pourtant il te plaît.
Albert : Vous pensez à ce soir ?
(t/p) : Hein ? Oui oui.. Je me demande ce que pense la Comtesse de William a vrai dire..
Je me sens mal à l'aise mais étrangement je continue de parler avec Albert. C'est comme si j'avais trouvé un confident à qui confier mes craintes. Bien évidemment je ne lui dis pas tout.
(t/p) : J'ai peur que.. Que.. Qu'il arrive quelque chose ce soir.. Et si je n'étais pas capable d'effectuer cette mission avec vous ? Suis-je une charge ? pourquoi m'avoir demandé de venir ?
Albert sourit et reste calme.
Albert : Vous le saurez en temps et en heure, ne vous en faites pas. Pour le moment il convient de choisir le meilleur costume pour se mettre dans la peaux du personnage, (t/p)
L'entendre dire mon nom est assez étrange en fin de compte. Nous nous parlons que très peu à vrai dire.
(t/p) : Je ne vous décevrai pas une troisième fois !
S'il y avait un rôle à tenir aux côtés de William, peu importe s'il s'agisse d'un rôle principal, je le prendrais sans hésiter.
PDV Albert :
Mais oui.. Je vous crois (t/p)..
Ne vous en faites pas, vous partagerez la scène avec William.. Et nous ferez la grâce de nous chanter ce que vous avez sur le coeur.
(t/p).. Je ne suis pas dupe, même si nous n'échangeons pas beaucoup je vois bien que vous êtes troublée quand il est là.
Je vous donnerai l'occasion de vous exprimer sur ce que vous ressentez.