PDV (t/p) :
J'essaye d'atténuer la douleur en essayant de respirer doucement mais je ne peux m'empêcher de me crisper. Je dois attendre d'être rentrée au manoir pour pouvoir être soignée.
J'entends la respiration régulière de William, il est encore là ?
Je soupire. Je suis vraiment un fardeau pour eux. J'ouvre les yeux et regarde dans le vide.
Ma vue se trouble et les larmes finissent par couler. Et moi qui voulait retrouver l'assassin de mon père.. Pitoyable..
William s'approche et voyant que je pleure me tend son mouchoir. Il m'aide ensuite à me lever.
William : Nous serons plus à l'aise dans la voiture
Il me conduit jusqu'à la berline. Je ne dis rien et me contente de me tenir à son bras.
(t/p) : Je suis.. Aïe.. Terriblement désolée.. A.. A cause de moi.. A cause de moi..
William : C'est moi qui vous doit des excuses. Je n'ai pas mesuré l'ampleur de la tâche qui vous attendait. J'étais aveuglé par mes idéaux..
Avant que je n'ai pu répondre William s'était agenouillé devant moi.
William : Je vous demande de m'excuser pour cette erreur monumentale.. (t/p)
J'écarquille les yeux de surprise. Si je m'attendais à ça ! Je ne pensais pas qu'il irait jusqu'à s'agenouiller ! Que suis-je sensée faire maintenant ?!
(t/p) : Hum.. Relevez-vous vous n'avez pas à vous excuser envers moi ! C'est.. Cette posture ne vous va pas.. *chuchote* Vous êtes plus imposant quand vous vous tenez droit..
William : Plaît-il ?
(t/p) : R.. Rien du tout !
William sourit puis se relève. Un gros bruit se fait entendre.
Hiii ! Qu'est-ce que c'était que ça ?!
William : Oh ? Je ne pensais pas qu'il pleuvrait maintenant
Une goutte d'eau s'écrase sur sa joue. Je souris puis l'essuie avec le mouchoir de William. Celui-ci le prend et nous allons nous assoir dans la voiture.
Je regarde par la fenêtre en fronçant les sourcils. Au final, je ne les ai pas aidés..
Albert : Ne faites pas une tête pareille, n'êtes-vous pas satisfaite de votre résultat ?
(t/p) : Albert..!
Celui-ci venait d'apparaître devant la berline. William sourit puis lui ouvrit la portière. Albert monta et s'installa à mes côtés. Il écarquilla les yeux quand il vit mon ventre encore sévèrement entaillé.
Albert : Mademoiselle vous.. Que s'est-il passé ?
William et moi le rassurons et relatons les évènements qui viennent de s'enchaîner.
Albert : Je vois.. J'étais entré à ce moment dans la pièce où (t/p) a laissé le corps du baron. J'ai ensuite entendu un cri mais je n'aurais jamais pensé que vous vous feriez atteindre
Il se tourna ensuite vers William.
Albert : Je t'ai rapporté le sombre carnet du défunt.. Ainsi que le dossier
Albert tendit le satané cahier à William et une pochette en papier. Celui-ci les prit en souriant.
(t/p) : William, Albert.. Il faut que vous sachiez.. Quand le baron l'a ouvert..
William : Avez-vous remarqué quelque chose d'étrange ?
Disant cela, William me tend le carnet pour que je puisse leur montrer ce qui me paraît invraisemblable.
(t/p) : C'est que..*je m'arrête à une page* Ce sceau m'a fait comprendre que le baron avait des appuis haut placés.. Avec ce sceau nous pouvons en déduire que..
Albert : Le sceau de sa Majesté..?!
( à droite se trouve le verso du sceau, et à droite le recto. Comment pouvaient-on les voir étant donné qu'il n'y avait qu'une partie visible quand on les posaient sur la cire chaude ? Je n'en sais rien mais cela m'intrigue tout autant que vous. je ferai des recherches plus approfondies et les écrirai (si je trouve quelque chose))
(t/p) : Qu'en pensez-vous William ?
Celui-ci regarde attentivement le sceau.
William : Mademoiselle vous êtes très observatrice..
A ce moment, Louis s'approche de la voiture.
Louis : Grand frère, nous avons terminé.. Mademoiselle vous sentez-vous bien ? Vous avez l'air encore plus pâle que tout à l'heure
William : Merci Louis. Revenus à la maison nous tâcherons de soigner mademoiselle (t/p)
Je soupire, je n'aime pas être le centre de l'attention..
Moran : Encore une mission réussie ! Un pas de plus vers la délivrance du peuple opprimé
Louis soupire et monte dans la voiture. Moran et Fred s'installent à la place du cocher.
(t/p) : Je ne veux pas être pessimiste cependant.. Que vous a apporté cette mission ?
Je relève la tête vers William.
William : Nous avançons petit à petit vers notre idéal. Chaque noble exécuté est un rouage de plus dans la mécanique de notre nouvelle société. Si nous sommes venus c'était non seulement pour mettre un terme à ses agissements mais également pour récupérer ceci
Il me montre la pochette en papier. Que peut-elle bien contenir ? Le carnet ne renfermait pas toutes les informations sur le baron ?
William : Je vois que vous vous posez bien des questions. Vous aurez vos réponses en temps et en heure. Pour l'instant concentrons-nous sur votre blessure
Je baisse la tête, mes joues rosissant légèrement.
(t/p) : *soupire* Je.. Suis tellement..
Albert : Je vous en prie arrêtez de vous excuser (t/p).. William ne prendrait certainement pas toutes ces précautions s'il vous jugeait inutile. N'est-ce pas William ?
(et là on se demande comment on doit le prendre)
Albert se tourne vers William. Celui-ci sourit, le visage éclairé par la faible clarté de la lune.
William : Vous prenez de grands risques, et êtes même allée jusqu'à vous faire poignarder. Malgré cela vous pensez encore aux autres, quand allez-vous enfin comprendre..?
Il secoue la tête toujours en souriant puis s'accoude à la fenêtre.
(t/p) : Peut-être quand vous réussirez à me faire oublier tout sentiment lors des missions..
William : Cela sera dans longtemps dans ce cas..
Albert soupire et regarde par la fenêtre. Nous restons comme cela jusqu'à notre arrivée au manoir.
(Je savais pas quoi mettre comme image de transition alors j'ai mis cette image, tirée du Ruban Moucheté)
(t/p) : Je.. Vous dis que je vais.. Bien..!
Louis : Mais vous saignez encore mademoiselle.. Vous.. Mademoiselle !
Je me remet à tousser, couvrant ma bouche de ma main.
(t/p) : Louis.. Je.. Je vais bien.. Vous pouvez me laisser.. S'il vous plaît..
Louis : Non je.. William m'a demandé de..
Je le supplie du regard en continuant de tousser.
Louis : *soupir* très bien.. Comme vous voudrez mademoiselle..
Il me laisse seule dans ma chambre. Je soupire et ouvre la fenêtre. Nous sommes rentrés il y a une demi-heure et William a insisté pour que Louis me raccompagne. J'ai accepté à contrecœur mais je n'avais aucune envie de me faire soigner ensuite.
Je referme la fenêtre en soupirant. Pourquoi au juste ? Louis ne veut rien me faire de bizarre à part me soigner alors pourquoi ai-je refusé ?
Pour William.
(t/p) : Non je.. C'est.. Ça n'a rien à voir..
Je ne veux pas que William me soigne, je veux le voir mais pas comme ça. Non.. Je ne sais même plus ce que je dis.
je passe une main sur ma joue et soupire en m'accoudant au mur en face de la porte. Je suis complètement perdue. Je souris, peut-être que j'aurais dû faire comme William et mettre mes sentiments de côté..
On toque à la porte. Une chance que je ne me sois pas déjà changée !
(t/p) : Entrez..! A.. Attendez je vous ouvre
William apparaît alors, portant ce qu'il faut pour me soigner.
William : *soupir* Mademoiselle je vous ai dit en sortant de la voiture que vous deviez vous allonger pour éviter une perte de sang trop importante
(t/p) : Heureusement je n'ai pas été atteinte vers un point vital, je n'ai pas saigné beaucoup d'ailleurs
William pose ce qu'il porte dans les mains. Il soupire et referme la porte. Il s'approche ensuite vers moi.
Je recule un peu, pourquoi suis-je gênée de me retrouver seule avec lui ?
William : Comment vous sentez-vous ? Je n'aurais pas dû enlever cette arme blanche de votre ventre mais..
Il tourne la tête sur le côté. Est-ce.. du rouge sur ses joues ? C'est adora... heu.. Singulier.
William : J'étais trop inquiet.. Je ne savais pas si vous seriez assez forte..
(t/p) : Haha ! C'est mal me connaître !
J'essaye de détendre l'atmosphère qui était devenue très étrange. Je ne saurais dire s'il y a de la culpabilité dans l'air ou de l'amitié.. Ou autre chose que je ne sais.
(t/p) : Quand je me suis trouvée en présence du fils qui venait de tuer son père.. Je ne me suis pas dit que c'était cruel.. Sans doute parce que j'aurais aimé être présente quand mon père s'est fait assassiner.. Au moins je n'aurais pas eu à le chercher toute ma vie..
Je me ressaisis, consciente de ce que je viens de dire. Je me force à sourire et rit nerveusement.
(t/p) : Ah mais je suis aussi contente de ne pas l'avoir vu mourir ! J'aurais peut-être basculée plus tôt dans cette vengeance..
William : Regrettez-vous d'avoir empruntée cette voix ?
(t/p) : Hein ?
William me regarde, moitié songeur, moitié peiné. Il s'avance encore plus près, je recule encore plus jusqu'à être bloquée par le mur.
William : Je réitère ma question, regrettez-vous de vous être aventurée avec nous sur ce chemin du mal ?
(t/p) : Bien sûr que non.. Et puis, je ne vous aurais pas connus tous.. Vous avez ravivé l'espoir en moi. Retrouver l'assassin de mon père tout en vous aidant.. Hum.. Si je puis dire cela *je regarde ma blessure* à débarrasser le monde de ces pourritures de nobles..
Je baisse la tête.
(t/p) : Vous rencontrer m'a permis de me rendre compte que la vie vaut la peine d'être vécue..
Nous restons comme ça, sans bouger, sans parler. Je ne sais pas s'il m'a comprise mais en ce qui me concerne, j'ai bien l'intention de rester à ses côtés coûte que coûte !
William : Bien, et si vous vous allongiez ? Je dois voir l'état de votre blessure
(t/p) : Ah oui *se remet à tousser*
Nous ne pouvons pas faire venir de médecins pour des raisons évidentes. S'il s'aperçoit que j'ai un coup de poignard au ventre il se posera forcément des questions.
Moi..
Moi..
Je regarde William. Ça ne me dérange pas que cela soit lui qui m'examine. Je veux dire.. Je pense que je suis plus à l'aise avec lui qu'avec un médecin. Enfin, je l'étais car maintenant je me sens un peu mal à l'aise en sa présence.
Je le regarde attentivement et rit doucement. Si ce qu'il a dit tout à l'heure est vrai, alors c'est qu'il n'est pas dénué de sentiments !
William : hum.. Je m'absente quelques instants, surtout ne bougez pas
Je soupire et m'adosse à la tête de lit de.. Mon lit.
William : C'est très sérieux mademoiselle
(t/p) : Quoi ? Comment ça ?
William ne dit rien, fronce les sourcils et pars. Je regarde mon ventre. Je n'ai même pas eu le temps de me changer.. Hé mais.. C'est quoi ça ?!
A l'emplacement de ma blessure s'était formée comme une ecchymose.
Je me relève, paniquée. A cet instant, la toux reprend. Beaucoup plus forte qu'auparavant, un peu de sang sortant de ma bouche.
je me lève, et attend la bassine en porcelaine que William avait laissé. Non.. Dites-moi que je me trompe..
je me lave les mains, tremblante. Je continue à tousser et tombe à genoux par terre. Mes mains sont mobilisées devant ma bouche, je ne peux plus me tenir nul part.
A cet instant, William, Louis et Albert font irruption dans la pièce.
William/Louis/Albert : Mademoiselle !
Albert : Que se passe t-il ?
Louis : Vous.. C'est du sang ?
Louis accourt pour m'aider à me lever.
(t/p) : Je vais bien.. C'est seulement..
William : Seulement ? SEULEMENT ?! Vous êtes à genoux en train de tousser sans pouvoir vous relever, vous avez du sang sur les mains en plus de votre blessure au ventre et vous dites que c'est seulement ça ?!! Vous rendez-vous compte de ce que vous avez ?!
Je ne l'avais jamais vu comme ça. Déjà qu'il est impressionnant en étant parfaitement calme, je vous laisse imaginer ici.
Je ne dis rien, préférant le laisser se calmer. cela semble fonctionner puisqu'il se passe une main dans les cheveux en soupirant.
William : Je suis navré de m'être emporté mademoiselle mais comprenez que ce que vous avez est pour le moins très inquiétant..
Il a sûrement raison. De plus, ne pouvant pas solliciter de médecin car cela ferait trop suspect, il doit être encore plus tendu.
Albert réfléchit pendant que William m'aide à supporter mon poids.
Albert : Il y a peut-être un moyen..
William : Quel est-il ?
Albert : Sherlock Holmes.. N'avait-il pas un acolyte médecin ?
Louis : C'est encore plus problématique, ce Holmes ouvrira une enquête encore plus pointilleuse sur nous..
William croise le regard d'Albert et un léger sourire, toujours aussi effrayant, s'étire sur son visage.
William : Tu as tout à fait raison Albert..
Je me décale lentement de William et parvient à rester debout seule. Je garde tout de même une main sur l'avant bras de William au cas où je tomberais.
(t/p) : Comment voulez-vous faire appel au docteur Watson sans éveiller les soupçons ? Un coup de poignard, une tenue d'assassin..
Albert : Moran ne voulait pas vous entraîner aux techniques de combat ?
(t/p) : Vous voulez.. Accuser Moran..?!
William : Pas exactement. Il pourrait juste vous avoir percuté par mégarde
Percuté par mégarde ? Un coup de poignard ? Et pourquoi prendre le risque d'accuser Moran devant Sherlock Holmes ?
Tout cela n'a aucun sens. On dirait que William veut faire s'écrouler les bases instables qu'il a déjà.
(t/p) : Holmes l'arrêtera..
William : Il ne peut pas étant donné qu'il vous a lui même conseillé de vous battre
(t/p) : Comment ça ?
William me montre la pile de livres que Sherlock voulait que je lise. Dessus était posé le "Lexique de la maîtrise des émotions". Je l'ai un peu feuilleté mais sans plus.
William l'ouvre après s'être assuré que là où j'étais je ne pouvais pas tomber.
William : est écrit page 324 qu'il faut extérioriser ses humeurs en se consacrant à l'escrime ou à la chasse
(t/p) : *soupir* C'est n'importe quoi..
William : Mais cela pourrait nous être utile
(t/p) : Mais.. Comment voulez-vous lui faire croire ce scénario ?! Il n'a ni queue ni tête !
Je soupire une énième fois et m'assois sur le bord de mon lit.
Albert: Ne vous inquiétez pas, nous nous occupons de tout
William : Très bien, nous ferons ça. Etant donné que le courrier du soir est déjà passé.. Je suggère de nous y rendre
Albert : Dans ce cas, je viens avec toi. Nous serons plus convainquant à deux
William : *en sortant* Oh nous n'aurions pas besoin de l'être, Holmes se fera du souci tout seul
Ils partent tous les deux, nous laissant seuls, Louis et moi.
(t/p) : Je ne le comprend pas.. Pourquoi se risquer à accuser Moran ? Il doit rester anonyme ! Et puis nous parlons de Sherlock Holmes !
Louis : J'avoue que je ne comprend pas toujours ses raisonnements mais *il se tourne vers moi et sourit* vous pouvez lui faire confiance
Il s'assoit sur la chaise en face de moi.
Louis : Cela dit.. Je ne l'avais jamais vu s'emporter comme cela.. Vous devez beaucoup compter pour lui..
Je rougis et tousse pour dissimuler la gêne. Ma fausse toux se transforme en vraie. Louis se lève précipitamment, inquiet.
Louis : Ne faites aucun mouvement. Il ne faut pas vous agiter pour rien
(t/p) : Louis.. Suis-je inutile ?
Louis : Que.. Ne dites pas ça ! Vous comptez énormément pour chacun d'entre nous..
Puis-je.. Puis-je espérer être importante aux yeux de William ?
Sur ces réflexions, William arrive.
William : Nous revenons bientôt Louis.. Mais il faut quand même 3 bonnes heures pour arriver à Londres..
Il se tourne vers moi et sourit.
William : *soupir* Vous n'êtes toujours pas allongée
(t/p) : Je vous l'avait dit c'est mal me connaître.. Ne pouvez-vous pas attendre demain ? A cette heure-ci il n'y a plus beaucoup de trains qui circulent..
William s'approche de moi et pose sa main sur ma joue.
William : Et comme je vous l'ai déjà dit, pensez à vous.. Nous devons absolument solliciter l'aide du Dr Watson, auquel cas vous.. *soupir*
(t/p) : Avez-vous une idée de ce que c'est ? J'en avais une mais.. Je vous en prie dites-moi que ce n'est pas ça..
William : Malheureusement je pense bien que si.. Quel était votre diagnostic ?
Je déglutis. Evidemment j'ai peur de sa réaction.
(t/p) : L.. L'hémoptysie..
William fronce les sourcils et acquiesce.
L'infime espoir s'écroule. Donc.. C'est bien cela.. Mais comment ?
Je ne peux retenir une larme mais une seule. Je ne voudrais pas paraître trop enfantine, il ne manquerait plus que ça.
William : Nous devons vraiment partir maintenant. Louis, (t/p) je vous lais..
Je m'étais accrochée à sa veste. Réflexe ? je n'en sais rien, le fait est que je pleurais à chaude larmes, ça j'en étais sûre.
(t/p) : Pourquoi ?! Pourquoi vous donner autant de mal pour moi qui n'ai jamais réussi une seule mission seule ?!
Je me lève.
(t/p) : Qu'est-ce que cela changerait que je sois ici ou sous terre ?! (bah y'aurais pas d'histoire.. Ok ok je me tais !) Pourquoi faites-vous tout cela..
William ne dit rien et met sa main dans mon dos pour me calmer. Il me ramène près de lui.
Je continue de pleurer, pendant que William passe sa main dans mon dos pour m'apaiser.
William : *murmurant* Ne vous mettez pas dans des états pareils..
(t/p) : Si ça se trouve.. C'est moi qui suis vouée à disparaître avant vous..
William : Cela n'arrivera pas, je vous le promet
Sur ces mots, il me lâche et part de la chambre pour rejoindre Albert.
Louis : Ne dites pas des choses pareilles mademoiselle..*soupir* Je vais chercher un jeu d'échec, cela nous détendra (Louis, le professionnel de santé)
Restée seule, je m'approche doucement de la fenêtre en toussant.
(t/p) : Tch..! Cette maladie.. Aura t-elle raison de moi ?
Non, pas avant d'avoir dit à William que je.. Que je l'ai.. Que je souhaite l'aider
N'empêche.. Il n'en a pas parlé mais je suis persuadée que Louis a aussi trouvé étrange la réaction de William. Il était très.. Attentionné ? Non, c'était uniquement parce que j'ai fondu en larmes, rien de plus..
Rien de plus..