jeongin
Ce sentiment amère,
Lorsqu'on vous à abandonner.
Ce chagrin,
Lorsqu'on vous à laisser.
Tout deux remplis d'amertume et de mélancolie.
Ce sentiment.
Triste comme le ciel noir.
J'avais la vague à l'âme.
On m'a infligé des bleus au coeur.
Alors que j'étais naïve à fleur bleu.
On m'a abbatu, alors je suis tombé à genoux. Et j'ai fini par suffoqué.
Dans ce monde où pour réussir, on fait tribucher même ceux qu'on aime le plus.
Aujourd'hui, mes parents, mes amis, les seuls personnes qui me restait on décidé de m'abandonner afin de ne pas être humiliée.
Par une jeune fille, qui a été violé.
Mais personne ne croit ça.
Tous pensant que j'ai voulu ce qu'il m'ai arrivé. Tous refusant de m'écouter.
Je me retrouve seule et blessé.
Je broie du noir plongé dans mes pensées assise dans le bus la tête poser sur la vitre en contemplant les nuages.
Je me traîne comme une âme à peine.
Abandonné, torturé, blessé.
Je vous ai tous détesté.
Ma confiance à été traït.
J'ai été traït.
Après tout je le savais. Rien n'est éternelle.
Je fini par baissé la tête comme on me l'a souvent ordonné.
Car je ne méritait pas de vivre.
Car je n'aurais jamais dû naître.
Car je suis une erreur.
Comme je devrais arrêter de respirer.
Je tourne le regard alors que je sens une présence près de moi.
Un jeune inconnu s'est assis à côté de moi. Les cheveux brun, il a l'air plutôt grand. Des lunettes lui tombe sur le bout du nez, il a l'air d'avoir le même âge que moi, mais pourtant nos destins ont l'air très différent. D'habitude personne ne s'assoit à côté de l'erreur.
Il a les yeux rivés sur son téléphone l'air plutôt inquiet avant de souffler plusieurs fois d'agacement.
Je redirige mon attention vers le monde extérieur, le ciel laisse déjà apparaître quelque étoiles.
Après s'être arrêté plusieurs fois le bus arrive à ma destination.
Je passe à côté de l'inconnu en l'évitant du regard alors que celui ci me fixe profondément.
Je finis par desendre du bus et commence à m'éloigner de celui ci alors que je vois des contrôleurs y entrer.
Je viens de fraudé, j'aurai pu avoir une amende.
Mes parents m'ont abandonné, seule, sans argent, depuis je passe mes nuits dehors.
Je trouve les talons, la gorge serrée.
Lorsque la nuit tombe je ne suis plus sûr de rien. De l'endroit où je devrais me réfugier. Vais-je finir par mourir seule dehors pendant une nuit.
Une nuit où je me serais endormi paisiblement, alors que plus jamais je me réveillerai.
Vais-je encore suivre le même sort qui m'a mit dans cette misère, je n'en sais rien. Dehors, dans le froid, seule et sans aucune sécurité. Alors que du sang me sors de la bouche. Alors que je crache du sang. Alors que je finirai sûrement par mourir seule.
Je trouve un banc et m'assoie dessus.
Cette nuit, je la passerai sûrement ici.
Encore une fois dehors.
Je regarde fixement l'horizon.
La figure morne.
Des bleus à l'âme.
La gorge serrée.
Quelque lampadaires illuminent faiblement les rues étroites du quartier.
Je crois que j'ai réellement envie de mourir.
Je crois que je suis arrivé à bout.
Aucun autre mot me viens à la tête.
La mort.
Meurt.
Va t'en.
Tu ne mérites pas de vivre.
J'analyse le ciel, épargné de tout défaut.
Le vent effleure ma peau et dégage quelques mèches de mon front.
Mon visage pâle deviens livide alors que je m'imagine m'endormir ici.
Chaque nuit,
Est devenu étouffante.
Chaque nuit,
Est devenu suffocante.
Mais pourtant, je suis muette de terreur.
Devenu isolé, alors que je devrais faire entendre ma voix, pour exprimer cette injustice.
Une main se secours devant moi pour me réveiller de mes pensées.
Je sursaute silencieusement alors que j'apporte mes mains à ma bouche pour me taire.
L'inconnu du bus se tiens debout, juste devant moi. Il me couvre du regard alors que je fuis le sien.
Que fait-il ici?
Il s'assoit près de moi et me lance un sourire rassurant.
Plus jamais je ne croirai en un sourire rassurant.
Qu'une main nous ai tendu pour nous relevée.
Qu'une personne resterais à nos côté pour toujours.
Plus jamais je croirai à l'amitié, à l'amour.
Au bonheur.
Il ne m'attend nulle part.
Plus jamais je croirai que quelqu'un,
Puisse nous aimer pour rester à nos côtés jusqu'à notre dernier souffle.
Alors ce sourire si beau et rassurant.
J'ai décidé de l'ignorer.
-Que fais-tu ici en pleine nuit...? C'est dangereux tu sais ?
Je me contente de le fixer quelque secondes avant de lui répondre.
-Pourquoi s'inquiéter pour une inconnue ?
-Je...Nous ne sommes pas vraiment des inconnus. On était dans la même classe au début de l'année mais tu ne viens plus.
Je t'ai apperçu alors je me demandais si tout allais bien.
Je détourne le regard brisé.
Je pensais que toute la ville le savait.
Puisqu'on me dévisage où que je puisse être.
-Tout va bien merci.
Il pose son attention sur le sol.
Fixe un point au hasard l'air préoccuper.
-Je devrais peut être me lever. Et partir en te laissant seule ici. Comme à mon arrivé. Mais pourtant je n'y arrive pas.
De la vapeur d'eau lui sort de la bouche.
Il se frotte les mains de froid.
Son regard ne se pose même plus sur moi tant dis que le mien le couvre.
Il joue avec ses doigts anxieusement.
Il troune enfin le regard vers le mien sans le lâchée pour reprendre la parole.
-Je n'en ai aucune idée de pourquoi.
Mais j'aimerai te prendre la main et te relevé.
Je lui maintient le regard la tête haute.
Je lui prononce haut et fort ces quelques mots, mais fini par chuchoter pour ne pas verser des larmes.
-Personne. Jamais personne n'a jamais voulu aidé personne.
Tout le monde. Tout le monde pense qu'à soit. Seulement à soit...
Je baisse la tête comme je sais si bien le faire. Je plonge dans mes pensées et ferme les yeux pour l'éviter. Tout en espérant, que lorsque que je les aurais ouvert. Il ne sera plus là.
J'attends un instant puis les ouvres incertaine.
Il est toujours là. Assis à côté de moi. En fixant l'horizon.
Perdu dans le noir.
-Qu'est ce que ça m'apporterait de t'aider ? Si tout le monde pense qu'à soit.
Je pourrais me lever et m'en aller.
Mon regard devint morose, éteint comme au quotidien.
Il enlève une manche de son manteau puis la deuxième. Il l'enlève complètement avant de le déposer sur mes épaules. Puis continue.
- Tu as raison tout le monde pense qu'à soit. T'aider peut m'apporter seulement du bonheur. Quand j'aurais finalement vue ton sourire lorsque je t'aurais rendu heureuse.
Une larmes chaude glissa le long de ma joue.
-Pourquoi m'aider ? Pourquoi moi? L'erreur de la ville.
-Tu n'es pas une erreur.
- Tu es au courant alors...
-Tout le monde est au courant du malheur des autres. Mais jamais de leur bonheur.
Les hommes adorent se réjouir du malheur des autres pour se sentir plus heureux. Et ça depuis la nuit des temps.
Alors s'il te plaît laisse moi te prendre la main, et te relevé.
Il se lève et tend sa main devant mon nez. En espérant que je la prenne dans la mienne.
Je ferme les yeux en me remémorant difficilement mes pensées.
''Plus jamais je ne croirai en un sourire rassurant.
Qu'une main nous ai tendu pour nous relevée.
Qu'une personne resterais à nos côté pour toujours.
Plus jamais je croirai à l'amitié
Au bonheur.
Il ne m'attend nulle part.
Plus jamais je croirai que quelqu'un,
Puisse nous aimer pour rester à nos côtés jusqu'à notre dernier souffle.''
J'ouvre les yeux et observe les étoiles dans le ciel.
Pourquoi suis-je la seule à souffirir.
Est-ce que parce que je ne crois pas au bonheur ?
Je leve le poignet, et le glisse doucement dans sa main chaude. Il sert ma main dans la sienne alors qu'un sourire joyeux s'installe sur son beau visage.
-Aller viens, tu vas attrapé froid.
Il commence à me tirer lorsque que je l'arrête. Il me regard sans comprendre.
Et si tout ça était faux, un piège.
Il faut bien faire tomber les autres pour réussir. Je suis seulement tomber à genoux. Est-ce qu'il fait semblant ?
Je lève le regard vers lui en essayant de me rappeler de lui, dans la même classe que moi.
Un souvenir de lui me souriant chaleureusement me vient à l'esprit.
Je lève le regard vers lui.
-Comment tu t'appelles ?
-Yang jeongin.
-Je m'appelle-
-tu t'appelle t/p.
-Il y a encore des personnes qui connaissent mon prénom ?
-Tout le monde ne te voit pas comme une erreur. Tout le monde ne croit pas en tout ces mensonges. Parce que tu es encore là, et que tu vas te relevé.
Il me tire contre lui et pose son bras sur mes épaules. On commence à marcher tout les deux, perdu dans cette sombre nuit.
4 mois plus tard.
Je descend les escaliers de la maison de jeongin. Je le vois assis dans le salon la tête plongé dans un tas de feuilles.
-Qu'est ce que tu fais?
-Je creuse.
-Encore?
J'affiche un regard douloureux et abbatu.
-Cette homme. Qui t'as fais ça. Je ne le laisserai pas respirer une minutes de plus sans qu'il soit toujours chez lui avec un sourire répugnant au visage.
-Tu n'as pas besoin, on a aucune preuve contre lu-
-Si. Si j'en ai besoin ! Et toi aussi.
Je veux le voir souffirir autant qu'il t'a fait souffrir.
t/p on va réussir, il faut lui faire un procès.
-Ecoute Jeongin...Tout ça n'est pas nécessaire je-
-Laisse moi chercher. Laisse nous gagné ce combat. J'aimerai te voir sourire jusqu'à la fin de ta vie. Et te tenir la main jusqu'à notre dernier souffle en me disant que tu n'auras rien regretté.
Il fait une pose le souffle coupé. Une perle salée coula le long de ma joue. Il se lève et s'approche de moi. Il pose sa main sur ma joue avant d'effacer cette larme. On se regard dans le blanc des yeux sans jamais lâcher le regard de l'autre. Sans jamais baissé la tête.
Je me met sur la pointe des pieds avant déposer un léger baiser sur ses lèvres humide. Son expression affiche une mine surpirse mais il décide finalement de me prendre dans ses bras et de me serré aussi fort qu'il le peut.
-J'ai déjà réussi Jeongin. J'ai déjà gagné ce combat le jour où je t'ai rencontrer.
Lorsque que tu as décidé de choisir la place se trouvant à côté de moi dans le bus plutôt qu'une autre.
Après m'être égaré dans ce monde venimeux, alors que je pensais que tout était fini. Alors que je ne croyais plus en rien. Désespéré. Quelqu'un m'a tendu sa main. On m'a tenu la main puis on m'a consolé.
Je pensais qu'une personne qui voulait réellement nous faire sourire ne pouvait pas exister.
Je ne pensais pas que mon sourire pouvait compter.
Je pensais que lorsqu'on m'adressais de jolie mot, tout était un beau mensonge.
Alors que j'errais seule, la gorge serrée. Noyer dans mes propres larmes.
On m'a fais ressentir un dernier sentiment exprimant du bonheur.
Ce sentiment censé nous faire vivre. Ma fais mourire une première fois.
Jeongin je te remercie de m'avoir ramené à la vie.
On m'a donné tout ce dont j'avais besoin.
Tout ce dont j'attendais sans que je le sache.
J'aurais pu être encore su ce banc.
Le sang coulant de ma bouche.
Le corps froid,
Et sans vie.
Mais ma vie à pris du sens.
Alors je lèverais une dernière fois les yeux vers le ciel.
Pour admirer les étoiles de là où je suis, sans vouloir en faire partie.
˚ ༘✶ ⋆｡˚ ⁀➷˚ ༘✶ ⋆｡˚ ⁀➷˚ ༘✶ ⋆｡˚ ⁀➷
Fin.
STAY_BKDR
『Merci de m'avoir fais découvrir ce sentiment étrange appelé le bonheur.
Merci d'être mon amie.』
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