Longue vie au prince Joâo

Von Steredenn-dared

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Il n'y a qu'une seule règle concernant Joâo et Inacio Osabio : Ne jamais les approcher. Et qu'un seul risque... Mehr

Avant-Première
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 31
Chapitre 32
Chapitre 33
Chapitre 34
Chapitre 35
Chapitre 36
Chapitre 37
Chapitre 38
Chapitre 39
Chapitre 40
Chapitre 41
Chapitre 42
Chapitre 43
Chapitre 44
Chapitre 45
Chapitre 46
Chapitre 47
Chapitre 48
Chapitre 49
Chapitre 50
Chapitre 51
Chapitre 52
Chapitre 53
Chapitre 54
Chapitre 55
Chapitre 56
Chapitre 57
Chapitre 58
Chapitre 59
Chapitre 60
Chapitre 61
Chapitre 62
PERSONNAGES
Chapitre 63
Chapitre 64
Chapitre 65
FAQ
Chapitre 66
Chapitre 67
Chapitre 68
Chapitre 69
Chapitre 70
Chapitre 71
Chapitre 72
Chapitre 73
Chapitre 74
Chapitre 75
Chapitre 76
Chapitre 77
Chapitre 78
Chapitre 79
Chapitre 80
Chapitre 81
Chapitre 82
Chapitre 83
Chapitre 84
Chapitre 85
Chapitre 86
Chapitre 87
Chapitre 88
Chapitre 89
Chapitre 90
Chapitre 91
Chapitre 92 - EPILOGUE
Remerciements et Bonus
Anecdotes
Trilogie - TOME 3

Chapitre 22

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Von Steredenn-dared

– Soraia ? Soraia ?

La brunette sortit brusquement de ses pensées, en sursautant. Elle observa ce qui l’entouraient. Ils étaient assis à une table, et une bouteille d’alcool y était posée. À côté d’elle se trouvait Idalina, qui la regardait avec un air inquiet gravé sur le visage. Et en face il y avait les deux frères, qui l’observaient sans retenue.

Elle sentait son corps trembler, ses yeux humides, prêt à pleurer. Honteuse, le corps de la portugaise se rigidifia instantanément alors qu’elle baissait la tête.

Ça lui faisait toujours ce même effet. Ces souvenirs. La panique.

Son corps et son esprit s’étaient depuis quelques temps alliés pour former un barrage face à ces évènements appartenant au passé de la jeune femme. Et au moindre moments où elle osait se les remémorer, elle paniquait. Comme cette fois où elle s’est évanouie en soirée à la villa, après l’évocation de White Swan, la prison qu’elle avait malheureusement fréquentée. Elle posa ses mains moites sur ses cuisses, cessant du mieux qu’elle pouvait ses tremblements.

– Eh, ça va ?

Elle hocha vivement la tête, faisant froncer les sourcils de son interlocutrice, peu convaincue :

– T’es sur ?

– Oui oui, c’est passé c’est bon. Dit-elle en souriant faussement avant de rajouter :

– C’est à cause des flashs.

Back.

Des flash-backs.

Demi-mensonge.

Les secondes passèrent rapidement. Suivi des minutes. Et des heures. De nombreuses femmes tournaient autour d’Inacio et Joâo, qui se contentaient de les ignorer royalement.

Trop obnubilés par cette silhouette féminine, vêtue d’une combinaison sapin, qui se déhanchait au beau milieu de la piste en compagnie de leur petite sœur. Celle-ci se mouvait dans sa robe argentée, attirant quelques corps masculins qu’elle repoussait sans ménagement. C’est que malgré son air d’angelot, l’adolescente était une assassin professionnelle, et une mafieuse réputée. Et ce n’étaient pas quelques individus bourrés de testostérone et en manque de sexe qui allaient se mettre en travers de son chemin.

La cadette leur lançait quelques coups d’œil arrogants. Elle les narguait. Leur montrait bien que elle, elle avait cette possibilité de coller son corps contre celui de la portugaise en face d’elle. De poser ses mains sur ses hanches, sentir son odeur. Et Soraia dansait. Insouciante. Finalement heureuse d’avoir ce pur moment de détente qui s’offrait à elle. Et puis elle appréciait bien Idalina. La brunette était vive et joyeuse, c’était une personne vraiment agréable qui lui changeait bénéfiquement de la personnalité froide des deux frères.

Les deux femmes finirent par retourner à leur table et se saisirent de leur verres. L’alcool qui coulait dans leur sang ne semblait pas leur suffire. Elles s’assirent, buvant deux gorgés du liquide fort qui leur brula la gorge.

Inacio et Joâo étaient étonnés, de voir que la violette tenait si bien à l’alcool. Elle n’était, loin de là, pas à son premier verre et semblait pourtant assez en forme.

La portugaise restait mal à l’aise, dans cet atmosphère étrange qui régnait lorsque les deux frangins et leur petite sœur étaient ensemble. Cette famille est tout de même étrange, se disait-elle intérieurement, dubitative face à cette façon silencieuse et glaciale qu’ils avaient pour communiquer entre eux. Et finit donc son verre cul sec, retournant sur la piste.

C’était de la Vodka. Et elle adorait la Vodka. Probablement une conséquences de ses nombreuses années passées en Russie ; il lui en fallait vraiment beaucoup pour que les boissons aient un effet sur elle, d’autant plus que la jeune femme connaissait très bien ses limites.

Dans le coin de la salle, Idalina observa ses deux frères en ricanant :

– Avec un peu de chance, vu votre motivation à aller la voir, je la pécho avant vous.

Les deux hommes luis offrirent un regard noir.

– N’essaie même pas. Commença Joâo d’une voix dangereuse, très vite suivi par Inacio :

– Et ne tente même pas de nous faire gober que t’es lesbienne, c’est perdu d’avance.

– Mais non, ne t’inquiète pas ! Lança-t-elle d’un air malin. Cependant, comme plan cul… Elle se mordit insolemment la lèvres inférieur en plongeant ses yeux marrons dans ceux de ses frères.

– J’ai fait des effort et n’ai tué personne quand on a appris pour Tao… Grommela le futur Parrain, alors que son frangin prenait la suite de la phrase :

– On s’est retenu d’expérimenter nos meilleures techniques de tortures pour Edouardo…

– Mais elle.

– N’essaie même pas.

Amusée par la situation et cet énervement qu’elle sentait monter chez les deux mafieux, Idalina soutint leurs regards quelques lourdes secondes silencieuses, avant de porter son verre à sa boucher et poser les yeux sur la principale intéressée, reprenant calmement la parole :

– Elle est à vous ?

– Oui. Répondirent-ils à l’unisson, sans aucune hésitation. Elle était à eux. Ce n’était plus qu’une question de temps jusqu’à ce que ce magnifique corps se donne, que cette voix murmure l’un de leur prénom et que son petit cœur ne commence à battre que pour eux.

Qu’une question de temps.

Le chronomètre était lancé.

Deux hommes. Et une seule victoire.

– Eh bien faites-le savoir.

Leur cadette avait prononcé ces mot presque en un murmure, observant avec un certain amusement la portugaise sur la piste de danse, collée à un pur inconnu qui semblait un peu trop vouloir s’approprier son corps. Apparemment mal à l’aise, la brunette continuait de se mouvoir et profiter du temps, tentant tout de même de se dégager de l’emprise de l’homme, sans aucun succès.

À peine Idalina eut-elle le temps de reposer les yeux sur ses frères que Joâo s’était déjà levé. Le futur Parrain leur lança un regard plein de défi avant de s’éloigner d’eux d’un air assuré, ignorant les quelques personnes qui s’approchaient de lui. L’homme de vingt-huit ans défit boutons de sa chemise, laissant arrogamment apparaitre son torse si bien dessinés.

Soraia était sur le point de demander à l’individu face à elle de partir, n’osant pas vraiment le gifler même si ce n’était pas l’envie qui lui manquait. Il puait l’alcool et probablement, d’après ses yeux explosés et ses mains tremblantes, avait-il fumé quelques pétards plus tôt dans la soirée. Mais elle n’eut pas le temps de prononcer un mot que le corps de l’homme fut brusquement projeté en arrière, la faisant sursauter.

Elle fronça les sourcils, et ses joue s’empourprèrent immédiatement lorsqu’elle aperçut Joâo se place face à elle, sans un mot.

– Je… merci… Réussit-elle à articuler, ne sachant pas trop quel comportement adopter.

– C’est normal.

Etonnée que l’homme lui réponde, elle haussa les sourcils et se laissa faire alors qu’il se collait à elle, posant calmement ses mains sur ses hanches. Un frisson incontrôlé traversa tout son corps, ce qui n’échappa pas à son interlocuteur qui en profita pour plonger ses yeux dans les siens.

Soraia observait ces iris verts, comme obnubilé. C’était pourtant une couleur basique, comme tant de personnes l’ont. Mais chez lui. Chez Joâo. C’était envoutant.

Comme si un aimant invisible l’invitait à s’y noyer.

Et c’est ce qu’il fit sans rechigner, trop pris dans l’hilarité de la soirée pour poser des actes réfléchis.

Sa chemise était entièrement ouverte. Il était si beau. Avec un corps semblant être dessiné au millimètres près à la ressemblance d’Appolon. Un avait le corps de dieu. Sans aucun doute. Elle voyait le torse imberbe de Joâo se mouvoir au rythme de la danse, reflétant les lumières vives de la salle. Elle distinguait ces intrigantes cicatrices s’afficher sur la peau masculine. Un frisson la parcouru alors qu’elle se sentait elle-même déshabillé du regard. C’était un rêve, sans aucun doute. Ça ne pouvait pas être la réalité. Il était trop parfait, lui, là devant elle à rapprocher arrogamment leurs deux corps avant de faire un pas en arrière lorsqu’ils se frôlaient enfin.

Soraia était obnubilée par lui. Elle voulait le toucher. Qu’il la serre dans ses bras puissant.

Le rouge lui monta au visage alors qu’elle se rendait compte de ses pensées. Mais elle n’eut même pas le temps de se reprendre en main que son patron son collait brusquement à elle, encerclant sa taille d’une air possessif. Mais toujours aussi froid. Glacial. Aucune émotion ne traversait son visage, fidèle à lui-même. Un frisson parcouru tout la surface de sa peau alors que leurs deux corps brûlant semblaient ne plus vouloir se détacher l’un de l’autre.

Et Inacio observait cette scène. Mâchoire si crispée que son corps en tremblait.

– Joâo un. Inacio zéro. Lança Idalina d’une voix maligne. Elle eut le droit à une voix sanglante qui lui répondit du tac au tac :

– Il ne l’aura pas.

– Jaloux.

– Il ne l’aura pas c’est tout. Répéta-t-il dangereusement.

– Reste dans le déni si ça t’amuse. Ricana sa cadette tout en portant son verre à ses lèvres.

– Jaw est trop lui pour être avec une femme. Tu connais notre frère, Linn. C’est à peine s’il connait la définition du sentiment. Il s’amuse.

Face à lui, l’adolescente haussa les sourcils. Il avait raison, sans aucun doute. Cependant, le jeune homme oubliait tout de même quelques chose :

– Toi aussi. Dit-elle. Toi aussi tu joues. Avec les femmes par dizaine. L’alcool. Le sexe. Elle rit. La drogue ! Vous êtes dangereux, et fier de l’être. Tu dis que Joâo est dans l’incapacité de la conquérir, de par son cœur lugubre et son âme inexistante. Mais regarde-toi. Tu es pareil. Juste d’apparence moins flippante.

Elle posa son verre vide sur la petite table qui se trouvait entre eux, se leva en rajustant sa robe courte et lança calmement avant de s’éloigner, laissant la garçon seul face à ses pensées :

– Regarde vous Nace. Jaw et toi. Et regarde-la, elle. Oui, elle vous observe avec admiration certaine. Mais tu crois que je n’ai pas remarqué ? Elle marqua un léger silence. Elle a peur. Elle a peur de tout ce qui l’entoure, du monde dans sa globalité, ça se lit dans ses yeux violets qu’elle est terrifiée. Vous êtes des prédateurs. Elle la proie. C’est simple. Soit vous ne l’attraperez jamais, soit vous allez la détruire.

Et elle tourna les talons.

Elle aimait bien Soraia. Et elle aimait ses frères. Elle s’amusait de cette situation dans laquelle ils s’étaient tous les trois mis.

C’était un triangle amoureux.

Deux hommes sur une femme.

Ça l’amusait de jouer ainsi avec ses ainés. Mais ils devaient savoir, se rendre compte.

Que cette fille qui dansait avec Joâo à cet instant précis n’était pas de leur milieu.

Du moins, en apparence.

Au milieu de la piste danse, coincés entre des dizaines de dansent qui dansaient, chantaient, hurlaient, se bousculaient ; Joâo et Soraia était encore l’un contre l’autre. L’homme semblait sûr de ses gestes, sachant très bien ce qu’il faisait. Il ne parlait pas, se contentant de bouger son corps et sentir les formes féminines se mouvoir contre lui. Comme si un lien invisible le liait à son frère, le mettant inconsciemment au courant de la conversation d’Inacio avait eu avec leur cadette, il prononça d’une vois marmoréenne ces quelques mots :

– Tu ne t’arrêtes jamais. Pourquoi ?

Malgré ce brouhaha qui les entouraient, la jeune fille sursauta. Etonnée d’entendre la voix masculine parvenir à ses oreilles.

– De… de quoi ? Balbutia-t-elle alors que ses yeux vers qui se plongeaient dans les siens l’hypnotisaient complètement.

– D’avoir peur.

Elle déglutit. Son corps jusqu’ici gêné mais détendu se crispa. Joâo le sentit instantanément et garda ses mains appuyés sur les hanches de sa partenaire, la collant complètement à lui. Quelques longues secondes passaient. Il pouvait presque entendre le petit cœur de la portugaise battre à tout rompre dans sa poitrine. Mais elle ne répondait pas, comme ayant subitement perdu l’usage de sa voix. Impatientée, il relança d’une voix rauque :

– Répond.

– Je… je n’ai pas peur de vous…

Un mauvais ricanement sortit de sa bouche. Le brunette trembla. Son prince charmant s’était transformé en serial killer. Elle savait bien que c’était trop beau pour être vrai.

Le mafieux, lui, observait la femme face à lui. Elle était vraiment sublime. Dommage que cette combinaison qu’elle portait ne dévoile pas plus sa peau lisse…

Mais elle s’était elle-même trahie, inconsciemment. Il lui demandait pourquoi elle avait peur. En général. Pas de lui. Et si son cerveau avait instinctivement fait le lien, c’était alors une vérité bien trop évidente pour réussir à être cachée.

Un rictus s’afficha insolemment sur son visage. Il se baissa lentement, doucement vers la femme. Ses lèvres frôlèrent le lobe de le jeune fille qu’il mordilla calmement. Un soupir de consentement sortit des lèvres féminines alors qu’il la collait contre lui. Elle sentait des papillons, décuplés par la fatigue, se mettre à pétiller dans son corps et particulièrement son bas ventre. Alors qu’elle s’apprêtait à lever des mains pour les emmêler instinctivement aux cheveux du garçon, celui-ci chuchota contre sa tempe :

– Menteuse.

Et il fit demi-tours. Sans un mot. Sans rien ajouter. Le corps brûlant de sa partenaire se refroidit d’un seul coup malgré le rouge vif qui s’installait sur sa joue alors qu’elle réalisait ce qui était en train de se passer.

Mon Dieu.

Ses mains tremblaient.

Mais qu’est-ce qui qui se passait.

Pourquoi fallait-il qu’il lui fasse autant d’effet ?

Les deux frangins et leur cadette, après cet épisode, finirent rapidement par se lasser de la soirée et décidèrent de rentrer. Soraia les suivi donc, heureuse à l’idée de pouvoir enfin reposer son corps, et surtout son cerveau en surchauffe à cause de Joâo. Elle accueillit l’air frais de l’extérieur avec bonheur, malgré le vent froid d’hiver qui frappait contre sa peau nue, car elle n’avait pas pris de veste. Ses cheveux lui chatouillaient le cou et elle passa négligemment quelques mèches derrières ses oreilles en regardant les étoiles.

Ils marchaient tranquillement et en silence vers leur voiture. De toute façon, encore gênée, la brunette se satisfaisait très bien, pour une fois, de ce mutisme qui occupait les autres.

Au bout d’une minutes ou deux, elle finit tout de même par frissonner, ce qui n’échappa pas aux trois jeunes gens qui n’eurent, non sans grand étonnement, aucune réaction.

Ils passèrent à côté d’une petite rue sombre. Soraia cru y distingue la forme d’un petit chien qui les observait avant de s’éclipser dans la profondeur de la nuit. Intriguée et attirée par l’animal, elle se dirigea en trottinant vers l’endroit, plissant des yeux pour tenter d’y voir quelques choses, mais en vain. Comme décidée à retrouver le canidé qui semblait adorable, la portugaise commença à faire quelques dangereux pas dans la ruelle, mais un bras l’attrapa d’un seul coup pour la tirer en arrière. Surprise, elle tressaillit violemment, effrayée par ce geste si brusque.

Il fallait vraiment qu’ils se détendent où ils allaient finir par la tuer !

Alors que son corps se heurtait à celui d’un homme, elle leva la tête en fronçant les sourcils, et comprit alors qu’elle se retrouvait, encore une fois, face à Joâo. Elle remercia alors la nuit de cacher ses joues qui s’étaient instantanément empourprées. Son supérieur la regardait avec un regard presque assassin, à faire froid dans le dos.

 – Je… je voulais juste voir le chien… Avait-elle alors dit, comme pour se justifier. Mais son interlocuteur n’eut aucune réaction, se contentant de la garder serrer contre lui et la ramener près d’Idalina et Inacio, celui-ci observant d’ailleurs la scène d’un air mauvais.

– Quartier malsain. Lança alors le deuxième fils, comme pour répondre aux interrogations silencieuses de la jeune fille. Il observa ensuite le décolleté de la brunette et ses bras nus, puis son propre manteau qui reposaient sur le dos de sa petite sœur. Plongeant dans les yeux de son aîné, il lui fit donc passer un message muet. Celui-ci soupira, enleva sa veste noire et le déposa sur les épaules de la brunette.

Dubitative, celle-ci se laissa faire, appréciant cette chaleur qui envahissait son corps petit à petit. Et Joâo passa sa main dans son dos.

Etrange.

Elle frissonna.

Cette soirée avait bien été, jusqu’ici, la plus surprenant passée en compagnie des deux frères.

À quoi jouaient-ils donc ?

Et puis elle, qu’est-ce qu’elle avait à réagir ainsi ?

⭐⭐⭐
J'espère que ce chapitre vous a plu ! (c'est la team Joao qui va être contente  haha)

Comme vous avez pu le voir, la couverture a changée !

Je ne sais pas quoi penser de la nouvelle, alors dites moi votre avis ! Vous préférez la 1 ou la 2 ?
 

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