Minho
Douleur:
Sensation pénible, désagréable, ressentie dans une partie du corps;
Sentiment pénible, affliction, souffrance morale ; chagrin, peine.
Chaque soir, je pleure.
Alors qu'il y a quelques années j'aurais souris.
Chaque soir, je souffre.
Alors qu'il y a quelques années j'aurais été heureuse.
Chaque soir, je hais.
Alors qu'il y a quelques années j'aurais aimé.
La douleur est devenu le terme pour décrir mes soirées depuis quelques années.
Depuis que j'ai connus ce que voulait dire souffrir.
Depuis que j'ai compris ce que voulait dire perdre.
Depuis que j'ai connus la mort.
La mort de ma mère.
Alors chaque soir, lorsque que je pousse la porte de chez moi, l'odeur de l'alcool vient caressé mes narines.
Chaque soir mon beau père boit jusqu'à en mourir.
Il boit jusqu'à devenir violant.
Il devient violant jusqu'à versé sa haine sur moi. Mes bleues était invisibles caché sous mes vêtements, mon être criait à l'aide.
Chaque soir il boit tellement qu'il laisse son rôle de beau père de côté, pour devenir un peu plus proche.
Il me répugne. Mais quoi que j'en pense, rien ne changerait pas mon sort.
Chaque soir, sous ses violent coup et ses mains baladeuse, je ne peux que me résoudre à verser des larmes silencieusement.
Hurler silencieusement.
Pourtant chaque jour, un sourire est scotché sur mon visage.
Qu'il soit vrai, ou faux.
Chaque jour je rejoignais quelques amis dont je n'ai jamais été vraiment proche.
Je faisais ce chemin vers le lycée pour le voir lui.
Lui qui me voit comme une simple amie.
Lui qui à le dont de me faire sourire.
Lui qui sait me rendre heureuse en discutant avec moi.
Seulement pour toi.
Lee minho.
Alors lorsque que le soleil se levait, je sortais silencieusement de chez moi sans réveillé la source de ma douleur.
Je regarde le monde avancé pendant que je reste coincé dans ma bulle.
Je marche silencieusement vers ma seule source de bonheur pour soulagé mon esprit.
-Salut toi.
Je me retourne et lui fais face. Je lui adresse un sourire qu'il me rend aussi tôt.
-Salut toi.
Le reste du groupe ne tarda pas à nous rejoindre dans la joie et la bonne humeur.
Sauf, que je me suis jamais sentie moi même avec eux.
Comme si tout était faux.
Lorsque que vous avez des amis.
Mais ce n'est peut être pas les bonnes personnes.
Pourtant lorsque que mon regard dérive sur lui. Mon coeur se met à battre un peu plus vite et mon corps tout entier se sent plus légé.
Ses yeux se posa sur les mien alors qu'un sourire se dessina sur son visage.
Pourquoi est-ce que je me sens bien face à lui? Quand nos regard se croise, pourquoi est-ce que j'arrive à oublier mon beau père. À tout les coup que j'ai pu recevoir la veille. À sa façon de toucher mon corps sans mon consentement.
-Ça vous dis qu'on sèche les cours ?
Tous accepta alors je suivis le mouvement.
On s'éloigna du bâtiment ensemble.
Minho s'approcha de moi et commença à marcher près de moi.
- À vrai dire je suis un peu déçu de séché.
J'aurais bien voulu te proposer de te racompagner après les cours.
Lui ria alors que je tourna mon attention sur lui. Très surprise.
Mon coeur se mit à battre un peu plus vite alors que mes jours chauffères.
-Tu peux toujours après notre sortie.
Il posa son bras sur mes épaules et baissa le regard vers moi.
- C'est bien ce que je comptais faire.
Sa présence est si rassurante. Je me sens bien près de lui. Je me lasserais jamais de son odeur et de ses habitudes.
On marchait silencieusement alors que le reste du groupe explosait de bonheur.
Ce silence, lui aussi est remplis de bonheur. À chaque fois que lève le regard vers lui son sourire est toujours présent sur son visage.
Ce moment se termina bien trop vite à mon goût. Tous assis sur l'herbe ils discutent tous ensemble pendant que je reste silencieuse et observe le lac.
Je croise parfois le regard de minho qui lui aussi n'est pas très bavard.
Il a plutôt l'air de vouloir s'en aller.
Moi aussi j'aimerais partir.
Mais je n'ai nulle par ou aller.
J'ai l'impression que la douleur est ma maison et me suit n'importe où où je vais.
Sauf, lorsque que je suis avec toi.
Je sors de mes pensées voyant les adolescents se lever un a un. Je jette un coup d'œil à ma montre. Il est déjà assez tard. Je devrais rentrer à la même heure que d'habitude sinon je risque de prendre chère.
Une main se tend juste au dessus de moi me proposant de l'aide.
Cette aide venant de minho me réchauffe énormément le coeur. Sans qu'il le sache il me releve tout les jours alors qu'on me fait tribucher tour les soirs.
Je prend sa main et me relève.
Il m'adresse un beau sourire.
Un sourire que je n'oublierai sûrement jamais.
- Puis-je te racompagner ?
- Avec plaisir.
On marchait silencieusement alors que le soleil commence tout juste à ce couché. Lorsque que je vois ce si beau phénomène se produire, je repense à ce qu'il m'attend juste après.
Il me prend la main. Je lève les yeux vers lui alors qu'il regard l'horizon le sourire aux lèvres. Je repose mon attention sur le sol et pense à lui alors qu'il est juste à côté de moi.
Il s'arrête soudainement et me lâche la main. Je m'arrête à mon tour ne comprenant pas ses gestes.
Il posa ses mains sur mes hanches me forçant à me rapprocher de lui.
Ce geste me rendis un peu anxieuse alors je baissa le regard et ferma les yeux me rappelant des mauvaise souvenir.
Il dégagea une mèche de cheveux sur mes épaules et vient dénudées mon coup.
D'énorme bleu et suçon y régnaient.
Je n'avais pas pris le temps de les caché ce matin trop pressé de quitté cet enfert.
Il vit ma peur alors il prit ma main et de son autre, me leva le menton m'obligeant à plonger mon regard dans le sien.
-C- Qu'est ce que c'est tout ça ?
Son regard était inquiet mais remplis de colère. Pour une fille aussi discrète et sage comme moi tout ça n'était pas normal. Pourtant tout paraît évident lorsqu'on voit les horreurs que j'ai sur le corps
Je replaça mes cheveux sur mes épaules cachant le destatre et baissa à nouveau le tête.
-C'est rien. F-fait comme si tu n'avais rien vue minho.
- Je veux une réponse. C'est quoi tout ça sur ton coup.
Si tu ne me réponds pas je ne pourrais pas t'aider.
-Je n'ai pas besoin d'aide minho.
Tout se passe très bien chez moi.
Je lui lâche la main et m'enfuie en courant. Toujours choisissant la facilité mais restant faible. Sans faire attention je lui révélé mon plus gros secret avec quelques mots.
''tout se passe très bien chez moi''
Je me déteste. Je ne suis même pas capable de fermer ma bouche.
Peut être qu'il a raison, mon beau père.
Peut être que je ne suis capable de rien.
Je rentrais et comme chaque soir je n'avais pas le temps de passer le seuil de la porte que mon cauchemar commençait.
Mon sang sur le sol de la cuisine.
Des nouveaux bleus dans le salon.
Des nouveaux suçon dans sa chambre.
Puis mes larmes chaude qui coule sur mes joues dans la salle de bain. Hésitante à me noyer dans mon bain.
Tout ça si violament.
Tout ça étaient devenus mon quotidien depuis la mort de ma mère.
À quoi je m'attendais ?
Moi qui était née après un viol.
Le soleil caressa mon visage. Je me levais puis sortie de chez moi alors que je me retenais de verser des larmes.
Aujourd'hui j'ignorais minho.
Il en sait déjà beaucoup trop.
La journée se passa lentement.
Minho avait essayé plusieurs fois de discuter avec moi. Sans trop insister sous le regard des autres.
Tu es si attentionné minho.
Mais s'il te plaît, laisse moi.
Je sortie du bâtiment et rentra chez moi.
Le soleil commence à se couché.
Ma douleur va bientôt se faire ressentir.
Même si je l'emporte partout où je vais.
Je pousse la porte de chez moi.
Comme chaque soir l'odeur de l'alcool vient me caressé amèrement les narines.
Mon poignet se fit soudainement attrapé pour me tirer et me projeter sur le sol.
Comme chaque soir je laissais mon sang sur le sol de chez moi.
Il continua sans s'arrêter lorsqu'un énorme bruit de fit entendre un peu plus loin dans la maison.
Il restait tout de même le pied juste au dessus de mon visage près à me piétiné pour la première fois le visage alors que je suis allongée les genoux collé à ma poitrine en train de pleurer.
Des pas de fit entendre et s'approchait de nous.
Je le voit lui.
S'approcher de moi le regard sombre et près à exploser de colère.
Mon beau père s'apprêtait à ouvrir la bouche lorsqu'il se fit violament projeté au sol. Comme il l'avait fait avec moi juste avant.
Je regardais minho se défouler sur lui avec tellement de haine.
Je le regardais lui.
Ma source de bonheur.
Empêché ma douleur de s'introduire dans ma vie.
Mon beau père déjà bien bourré ne mit pas longtemps avant de se faire assommé.
Minho revint vers moi et me releva et avant de me prendre dans ses bras.
J'explosa de tristesse. Je me mis à pleurer aussi fort que je le pouvais.
Minho me caressa les cheveux puis posa son menton sur ma tête en me répétant que tout était fini. Qu'il était là maintenant.
Je pleurais dans ses bras me vidant de toute ma tristesse.
Depuis je ne me suis plus jamais vue pleurer. Je n'ai plus jamais vue de larmes sur mon visage.
Car minho était la pour les effacer aussi tôt que je les versais.
Lee minho.
Merci d'avoir appaisé ma douleur.
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Fin