La fuite

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Le couchant tombait comme une guillotine sur les montagnes au loin. Mais la situation ne me permettait point d'en profiter en cette fin de soirée du quatre décembre 1578. Cinq traqueur de la garde impériale sont à mes trousses pour me faire payer ce dont ont m'accuse. Les bruissement dans mon dos indique que trois me suive sur terre et que les deux autres attendent que je passe par les cieux pour m'y cueillir. Voilà bien deux bonnes heures que je fuis le fort où nous séjournions avant la tragédie. Si Fallax et Chrom s'en sont tirés sans le moindre ennuie, nos parent ont eux beaucoup moins de chance. Et sans que je sache pourquoi, bien que j'en ai ma petite idée, c'est moi qui du porter le chapeau du pire crime pouvant être commis dans l'empire. Un crime si ignoble qu'il implique deux mort bien sélectionné. Soudain les trois traqueur semble se stopper. J'en profite pour changer de direction. La droite, vers la montagne pointant au dessus des sapins, me semble une bonne direction. De plus là bas ce trouverais, celons les rumeurs du fort, un vieux château hanté au dessus d'une petite ville d'humain. Et comme bien trop de peuple, les miens sont terrifiés a l'idée que les fantômes puissent existé et un traité nous interdit d'entré dans une ville humaine dans un funeste but. Mais spectre où pas, je pourrais m'y réfugier pour une durée indéterminée vu que ni humain ni les miens ne s'approche de cette bâtisse. Tout a coup, un bruit atypique commence a foncé vers moi. Un mélange de pas de course très rapide et de cliquetis métalliques. Des guerriers ? Non pas a cette vitesse. Ca ne peux être que lui. Ziron Azem. Le meilleur mais aussi le pire des traqueurs. Aucune cible raté depuis le début de ses services ce qui en fait le meilleur et une absence de sentiment lors de la traque qui en fais le pire adversaire contre qui on peut tomber. L'affronter est un suicide, tout comme le fuir. Le simple fait qu'il soit votre ennemi est un suicide. Si ses griffes gauche sont a craindre, se sont ses griffes droites, fais d'un alliages léger et tranchant enchanté par un sort provoquant la mort au moindre contact avec une volonté létal qui sont a craindre. Je me hâte de plus belle en priant tout les saint d'épargner mon âme. J'entends la main faucheuse se rapprocher de plus belle, après tout sa petite taille l'avantage. C'est risqué. Je prend brutalement mon envole pour faire un vol piqué ou mon plus grand poids me donnera l'avantage de la vitesse. Je monte le plus haut possible en diagonale sans regardé derrière sinon se serais la fin. Je vois au loin la lueur de nombreuses lanternes. Je me lance avec beaucoup de puissance vers la lointaine destination tandis qu'une flèche frôle mon aile droite. Ma piqué me permet de le dépasser tandis que j'esquive ses flèche dont les pointes en argent s'emble s'embrasser sous l'astre s'endorment. Je passe au dessus du dernier fort protégeant le comté impérial. Ma patrie va me manquer. Tout à coup, alors que les regrets se mêlait à ma concentration pour éviter les flèche argenté, un des gardes usa de son arc et me transperça le ventre son projectile. La douleur est fulgurant et me fais piquer brutalement vers la falaise sous ma destination. Alors c'est ainsi que je vais périr, trahis par mon frère et ma patrie, juste pour une histoire de siège. Non ca ne se peut pas. Je peut pas mourir a cause d'une simple flèche bien banale. Je tente de rebattre des ailes tant bien que mal pour me dirigé vers le haut. Ma plaie se met a dégouliner à chaque mouvement d'ailes. Je tente d'alléger mon trajet en allant vers la droite où se trouve le fameux château et en une petite demi-dizaine de minute, je parviens a me hisser au porte de la grande demeure à l'allure sinistre. Je regarde mes vêtements et je constate a mon grand désarroi qu'ils sont imbibé de mon sang alors je m'aide d'une des poignées pour me remettre sur mes deux jambes avant de pousser sans mal, a ma grande surprise, les immense porte trônant a l'entrée de ma prochaine maison. Il me semble qu'il fais nuit noir dedans mais pas question de renoncer. J'entre donc avec une grande prudence. Dans un grand bruit, les portes se referment et une voix s'élève dans les ténèbres nocturnes : « Qui va là ? Qui est donc l'infâme insolent, l'affreux goujat qui ose donc me déranger à la fin du jour. ?


- Veuillez m'excuser monsieur, je viens chercher l'asile chez vous car on ma traqué et tenté de me tué. Et je suis gravement blessé et j'ais perdu beaucoup de sang.


- Je le sens bien mais qu'aurai-je en contrepartie de mes soins et de mon château ?


- Je ne sais pas vous me prenez de court. Et puis si vous avez un château alors vous êtes un seigneur donc un pieu. Et un noble pieu ne refuse pas l'hospitalité au nom du salut de son âme.


- Croît tu qu'un Basarab accusées de régicide et enfermé dans cette grande prison d'or en a quelques choses a faire de dieu ?


- Je me fiche de votre passé, chacun ses crimes. S'il le faut j'ais emporté quelques richesses. Je vous les céderait si vous me soigner et m'héberger.


- Ainsi sois t'il messire empestant la haute noblesse de ces chères démon-aigles. Je ressent aussi un peu de la famille Meza chère Caelum Vassaro.


- Comment savez vous mon nom et mes origines ?


- Le métissage des Meza au tient a fais couler beaucoup d'encre au sein des grandes familles vampires. Mais l'apogée de ce métissage est le mariage de Lioki a la grandeur des Vassaro suivie cinq ans plus tard par ta naissance. Je sais qui tu es pauvre petit animal mourant. Et garde tes trésors, j'ais une dette envers un défunt Vassaro et au Meza je suis reconnaissant de leur vielle loyauté a mon peuple. Cependant j'ignore comment un grand comme toi c'est fais criblé de flèche.


- Je ne me sens pas prêt a en parlé, j'en suis encore choqué.


- Comme tu veux. Bref je vais t'endormir avec un sort pour pouvoir mieux te soigner.


- D'accord. »

Je plonge mon regard dans ses yeux d'or que je peux enfin admirer. Je l'entend prononcer une étrange formule tandis qu'une petite sphère de lumière blanche vient vers moi et entre dans mon crâne. Mes paupières de viennent lourde au fur et à mesure que ma vue se trouble. Je sens deux bras recueillir mon corps s'effondrant contre ma volonté. Je fini par fermé mes yeux avec beaucoup de craintes et me laisse tomber dans un profond sommeille.


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⏰ Última atualização: Jul 23, 2020 ⏰

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