Cet ouvrage est un recueil de mon ressenti personnel sur ma vie et sur le monde qui m'entoure. Cet ouvrage vous permettra de mieux me cerner pour ceux qui même après avoir lu et relu les re-posts de mes bios ne comprennent pas un traître mot de ce q...
-J'aimerais d'abord clarifier quelque chose, j'adore l'anglais, cette langue me permet de m'épanouir pleinement.
Alors si par mésaventure vous ne comprenez pas ce que je raconte, allez checker rapidement google traduction qui deviendra, pour sûr votre meilleur ami.
Mais je m'égare.
J'ai envie de parler de la rue. Pourquoi de la rue ? Parce que je suis très influençable.
Eh oui mon kiwi.
Je ne l'ai pas cité plus tôt, mais pour moi la rue, c'est une sorte de mode d'emploi pour ma personne qui ne sait pas se comporter en société.
Je me pose toujours la même question "Est-ce que je suis assez ceci, assez cela ?"
Mais lorsque je vois toutes ces âmes sures d'elles, déambuler dans les rues, les bras bringuebalant, je me dis alors que je ne suis pas comme elles, et que j'ai besoin d'apprendre d'elles pour peut-être devenir un jour, une âme qui déambule dans les rues de la ville.
- It's something that I cannot understand-
Lorsque je suis dans le bus, ces même âmes que j'admirais, se retrouvent en face, à droite, à gauche de moi au places assises.
C'est comme si vous preniez le bus tout les jours avec votre idole, ou alors la personne que vous respectez plus que tout assise à vos côtés.
Vous, vous oseriez "sauter le pas". Aller parler à cet inconnu que vous connaissez pourtant si bien. Et peut-être lier des liens.
Mais moi je ne peux pas.
J'ai peur, peur de vous.
Je n'ai pas peur que vous me fassiez du mal, non, j'ai peur que ma présence vous ennuie. Que je ne sois qu'un grain de poussière que l'on voudrait chasser.
Quelqu'un à qui on se force d'adresser un sourire.
Et à qui on ne prête pas attention.
Voilà de quoi j'ai peur.
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Et c'est une peur irrationnelle.
Mais que voulez-vous ? C'est moi, et vous n'y pouvez rien.
La rue et ses trottoirs salis par les crachats et les gommes à mâcher, presque incrustées dans la matière.
Les broussailles nues de l'hiver, qui ornent les grillages.
Chaque individu qui contribue à cette diversité magnifique.
Tout ces gens à qui je n'adresserais jamais la parole.
