Rêve nocturne

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Nous somme en plein jour, chez mes parents dans un petit village de campagne. Une maison de plein pied avec un jardin qui l'encercle de tous les côtés. Le soleil tape et l'air continue sa course vers l'infini. Je suis seul dans la maison à faire de la couture en regardant un film d'une oreilles peu attentive. Un bruit pourtant inhabituel se fait émettre du lecteur DVD et cassette sous la télé. Je lâche donc de vu mon aiguille pour comprendre qu'es-ce qui se passe. Je pousse même un souffle d'agacement.

Ne trouvant pas la source du problème, je me lève pour aller possiblement éteindre l'appareil. J'approche mon doigt du bouton power et de ce vieille outils technologique, quand tous par en sucette.

La nuit laisse place au jour en quelques secondes. Je regarde frénétiquement la fenêtre de la cuisine puis celle de la salle à manger. La nuit est extrêmement noir, je ne l'avais jamais vu ainsi. Aucune lumière de lune, d'étoiles ou de lampadaires. Puis les propres lumières de la maison commence a clignoter, la panique commence à monter en moi autant que l'adrénaline, puis plus de lumière....

Je suis plongée dans le noir totale. Puis un bruit provenant de la terrasse coté salle à manger attire ma vision, puis un autre bruit côté cuisine, à nouveau à la terrasse. Quelque chose est dehors et au vu de la rapidité entre chaque bruit cela ne peut pas être une seul et même chose. je m'approche de la vitre de la salle à manger et appose mes deux pommes de main pour y caler mon visage. Je ne vois rien, la nuit est tellement noir. Je souhaite voir à quel distance je ne peux pas voir devant moi en baissant les yeux et regardé le nombre de dalle visible sauf que horreur !!!!!

Deux énorme pattes noir sont sur la première dalle. Mon cœur s'emballe, je ne veux pas lever les yeux mais c'est plus fort que moi. Une sueur froide monte le long de ma nuque au fur et à mesure que mes yeux cherche une forme pour définir la créature en face de moi. Deux énorme yeux rouge me fixe, sans iris, sans pupille. Juste du rouge. Mon corps ne réagit que pour regarder la fenêtre derrière moi, celle de la cuisine, pour y voir une autre de ces créatures. Cette noirceurs n'était pas une nuit sans lune mais bien la gigantesque masse de poil noir de 3 ou 4 mètres de haut.

Je comprend qu'il ne peuvent pas entrée sinon ils auraient déjà démolie la maison. Ils m'attendent, mais pourquoi ? J'ai tellement peur que j'ai la sensation que j'ai quitter mon corps incapable de réfléchir pour agir en survie. Mais comme dans les films d'horreur de mauvaise qualité, ma seul actions c'est de m'apprêter à fuir la maison. Chose stupide quand le danger est dehors et que ce qui va me poursuivre est une machine à tuer pleines de dents, de griffes et de muscles. Je cours dans la chambre de mon père pour passé pas la fenêtre et la commence ma course digne d'un guépard. Je cours sans jamais me retourner. Pourquoi ne suis-je toujours pas morte ? Je continue à courir pour atteindre la forêt puis m'arrête reprendre mon souffle dans une clairière qui elle est éclairé par la lune et les étoiles.

L'action qui à suivie c'est passé en une fraction de secondes. Au moments de reprendre une respiration je sens une vive douleur au cou coté droit et une violente douleur au ventre. Le loup qui semblait être l'alpha m'avait attrapé de sa gueule au niveau du cou et planté ses griffes dans le ventre. Puis il me balança à travers la clairière. Je retombe comme une pierre, un pantin de bois et de ficelles. Je ne peux pas bouger. Pourquoi je ne peux pas bouger ? Le monstre est en face de moi et je le vois totalement dans la lumière de la lune. Il est noir de fourrure mais aussi de peau car sa fourrure ne recouvre pas entièrement son corps. Sa peau semble épaisse. Ces griffes sont semblable à des serres mais plus grosse, peut être celle d'un grizzli. Il marche sur deux patte. Ces babines dégouline de mon sang et cela me ramène à ma douleurs.

En quelque secondes cette sorte de loup-garou est au dessus de moi et sans hésitation entreprend de me dévorer vivante. Je suis en vie et je ressens chaque douleur, chaque crocs, chaque griffe. Je commence a avoir des vertiges puis je sombre dans le noir totale. Je ne ressent plus rien.

Je rouvre les yeux je suis dans le garage avec ma mère, mon père et mon frère. Le soleil est là, le jour est là et une brise vient caresser ma peau. Je touche alors mon ventre et me sens complète. Mon frère apporte à se moments la, le meuble contenant la télé et tous les appareils de lecture. Je n'entend de mon frère que la prononciation de ces mots: ''étrange, cassette et essayer'' dans un écho lointain et la dernière phrase que je dit fus ''oh non pas encore''....

Et je me réveilla réellement.

FIN

Le loup noir aux yeux rougeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant