Kézia • Tant de Haine • [ 2 ]

Chapitre 35.

Fatou : Parce que je sais

- Tu n'est pas Dieu connasse

Fatou : j'essaie de te rassurer petit con

- Vilaine fille va 

On est rester plus de 30 minutes à attendre, ces batard il me donnait aucune nouvelle d'elle et ça me fessait chier, chaque fois que je demander quelques choses on m'envoyé chier.

J'en est profiter pour informer son père que nous étions à l'hôpital, il se chargera d'appeler ses enfants là-bas.

Pascal : Zakaria ?!

- Oui ? *en me levant* Kézia elle va bien ? J'ai pas de nouvelle d'elle ...

Pascal : Le travaille va pas tarder à commencer, donc enfile ça vite et suis moi

J'étais pas bien,wAllaye billaye
Mon corps était en surchauffe carrément.

J'ai enfiler leurs blouses bleu la, j'étais paniquer j'étais dans un état, fallait me voir pour comprendre.

Pascal il était trop sérieux, wAllah il était trop sérieux et ça me fessait encore plus peur, d'habitude il a toujours un truc à me dire mais là, Rien du tout, son visage était fermer comme never.

J'ai suivie Pascal jusqu'à la salle d'accouchement et je crois qu'en vrais j'aurais pu faire une crise ensuite mourir sur le coup.

J'ai vue Kézia hurler, pleurer de douleurs, elle était en sueur, ça m'a fait mal au coeur de la voir comme ça.

Pascal m'a donc fait entrée et je me suis diriger directement vers Kézia, dès qu'elle m'a vue elle m'a rendue sa main que j'ai directement Saisie.

- Mon bébé

Kézia : *En larme* AAAAARRRRH

Je voyais Pascal qui se diriger vers entre les jambes de Kézia, wAllah je l'ai mal regarder, il a grave senti se regard.

Pascal : Quoi ?

- Tu va où ?

Pascal : Remplir un formulaire

- Ah

Pascal : Idiot ! Je sais, j'ai compris

- ...

Pascal : Oula, Kézia ?

Il est allé se placer de l'autre côté, en lui serrant la main.

Pascal : Va falloir Commencé à pousser ma belle

Kézia : *En larme* ...

Elle arrivait même pas à parler tellement la douleur était intense, je ressentais pas cette douleur hein mais je la ressentais à travers ses cries, je savais même pas quoi faire.

Donc elle a commençait à pousser, tout en me défonçant le reste de doigt qu'elle ma laisser.

Pascal : Parle lui mon grand ! Rassure la, montre lui que t'es avec elle