Cette histoire raconte la quête de Liam Park, le célèbre chasseur de reliques. Dans cette 1ère aventure, il va partir à la recherche de la célèbre Boîte de Pandore et empêcher le méchant Docteur Van Mark, un chasseur sans scrupule qui entrepose ses...
Moi, c'est Liam Park, le célèbre chasseur de reliques et je vais vous raconter mon histoire.
J'habite dans la ville de RackerTown située dans le Texas, je tiens le cabinet de chasseur de reliques Rescue et Co. Et oui, Andrew Park est mon père. A sa mort, j'ai décidé de reprendre le flambeau et de perpétuer la tradition de chasseur de reliques pour continuer à alimenter les collections dans les musées du monde entier. Mais j'étais loin de me douter de la mission qui m'attendait.
C'était un beau matin d'été, il était neuf heures, j'ouvrai à mon habitude le cabinet à cette heure-ci. Durant toutes mes aventures, j'essayais de faire honneur à mon père et d'entretenir sa mémoire. La seule chose qui me poussait à me lever, c'était sa dernière et ultime quête. Ce matin-là, je décidai de ranger mon cabinet. En prenant un livre posé sur la bibliothèque massive qui trônait dans le hall, tout à coup, je fis tomber une boîte en carton. En rangeant tout à l'intérieur, je tombais sur le carnet de mon père, celui qu'il emmenait partout avec lui lors de ses expéditions. En tournant les pages, je vis celle qui l'avait fait partir le jour de mon anniversaire sur demande du Musée d'Histoire Naturel de Londres, la recherche de la Boîte de Pandore. Ni une ni deux, je pris un taxi direction l'aéroport. Direction... Derinkuyu, petite ville de Turquie qui d'après mon père, renferme bien plus de secrets historiques qu'on ne le croit. Mon billet d'avion en main, je me saisissais de mon sac afin de partir pour l'aventure.
Arrivé à l'aéroport, je montais dans le terminal, pris place dans l'avion qui décolla et parti pour la Turquie. Le voyage se déroula sans accroc.
Je sentis alors, l'avion redescendre pour se poser sur la piste d'atterrissage. En arrivant à destination, je vis un homme avec une pancarte sur laquelle était marqué mon nom. Ce devait être celui que j'avais appelé avant de partir. Je le rejoignis et il me conduisit à mon hôtel. Il était magnifique. Le réceptionniste m'accueillit et entama la conversation :
- Bonjour Monsieur.
- Bonjour.
Cet homme, d'un âge certain, avait un accent tellement prononcé que les mots qui sortaient de sa bouche étaient déformés et perdaient tout leur sens.
- Que puis-je faire pour vous ?
- Je souhaiterais prendre une chambre chez vous. En avez-vous de disponibles ?
- Oui bien sûr, j'ai la numéro dix-huit de libre.
- C'est parfait je la prends.
Je lepayais, pris mes bagages et il me conduisit vers ma chambre. Je m'installais etvis sur la table de chevet un prospectus.
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En défaisant ma valise, je trouvais un smoking que j'avais acheté pour un mariage. L'accrochant sur un cintre. Puis, à la poignée de la fenêtre. La journée passa, et vingt heures sonna à la petite horloge trônant sur le guéridon. Je mis alors mon smoking et me dirigea vers le hall. Là, je vis un attroupement de personnes. Il y avait des jeunes hommes sûrement de la trentaine discuter de football, des femmes dans des tenues de gala toutes aussi classieuses les unes que les autres, des hommes discutant de leurs affaires ; le pétrole sans doute. Je commençais à m'approcher quand je sentis quelque chose se poser sur mon épaule. Je me retournais et vis le réceptionniste.
