SACRIFIE 38 (Les chroniques de KAM)

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-moi : pourquoi ?

-Bénie : ce n'est pas bien de profiter de vous ainsi. On se connait à peine

-moi: pas grave.

-elle: je ne pourrai jamais accepter Boris

-Goodness (tristement) : pourquoi ? Notre maison est très vaste pour recevoir toute une ville

Plus Goodness essaie de la convaincre, plus elle refuse. Je décide donc d'intervenir

-moi : OK. Tu refuse chez nous. Maintenant tu ira où?

-elle: j'ignore.... J'ai dormi sur la plage plusieurs nuits déjà. C'est d'ailleurs là où j'ai perdu tous mes affaires. Mais je préfère la plage que de vous déranger chez vous

Non mais les raisonnements de cette fille sont-ils raisonnables ? Toi tu préfère la plage qu'une maison ? C'est-à-dire qu'elle préfère la souffrance à la place du bonheur ? N'est-ce pas elle qui voulait se donner la mort parce qu'elle souffrait ? Et là on veut l'aider et elle est là à parler.

Bon je la comprends quand-même. On se connait à peine

-moi(soupire): OK, je te comprends. Mais permet moi de te venir en aide. Ton père m'avait aidé et je ne peux rester là à te regarder souffrir. Je vais t'aider à trouver un appartement mais sa risque de prendre du temps. Et donc je te propose de venir vivre chez moi deux ou trois semaines en attendant de te trouver un chez

-elle: mais je....

-moi(d'un trait) : tu dois me remercier pour ta vie et je dois m'assurer que tu ne risque plus de commettre une bêtise pareille. Je me sens responsable de toi à présent et je crois que je peux te forcer à accepter si possible

-elle(sourcils froncés) : pardon? Tu vas me forcer à accepter de vivre chez toi?

-moi: oui

-elle: comment ?

-moi(regard menaçant) : tu veux vraiment le savoir ? Je ferai n'importe quoi pour ton bien en mémoire de ton père

Elle me regarde un long moment et je la fixe avec des yeux noirs, elle finit par baisser son regard

-elle(capitule) : c'est bon. Merci beaucoup. Mais après deux semaines, je pars, même si tu ne me trouve pas un chez. Je ne suis pas une profiteuse

-moi: OK

-Goodness(heureuse) : youpiiiiiii!!!!!

Après le resto, on se rend dans une boutique de vêtements pour acheter des affaires à Bénie. La fille ci est tellement modeste qu'elle refuse presque tout. Avec l'aide de la gérante du magasin, et bien-sûr, de Goodness, on a finalement pu lui choisir des affaires.

J'achète un nouveau téléphone portable pour prévenir maman de la situation. Un briefing et elle accepte car je lui avais une fois parler du père de Bénie.

Il sonne 18h51 quand on débarque chez nous. Goodness est tellement liée à Bénie et sa présence la rend tellement heureuse que sa se sent à mille kilomètres.

Maman nous accueille avec un bon repas au dîner et semble appréciée Bénie.

Après le repas, on montre à Bénie la chambre qui lui ai préparé. Maman s'est occupée de cela.

Moi, je suis dans mon bureau entrain de travailler après avoir pris une bonne douche quand on frappe à la porte. Je n'ai pas eu le temps de parler que je vois ma mère rentrée

-elle: je peux rentrer ?

-moi: tu es déjà à l'intérieur femme

-elle: bon, je peux m'asseoir alors ?

Je ferme mon ordinateur. Sûrement qu'elle a une chose à me dire

-moi: prend place maman

-elle : merci

Elle s'assoir en face de moi avec un air très sérieux

-elle: Boris

-moi: oui maman

-elle: tu as quel âge ?

Je me retiens de rire par surprise car elle est vraiment très sérieuse. C'est la première fois depuis longtemps que je la vois aussi sérieuse moi

-moi: mais maman.... Tu ne connais plus mon âge?

-elle : je t'ai enfanté et c'était une manière de te rappeler que tu vieillis

-moi: où veux-tu en venir?

-elle: je veux simplement te dire qu'il est suffisamment tant que tu oublie cette bourgeoise qui ne vaut pas la peine et que tu refasse ta vie. Je....

-moi(agacé): maman on a mainte fois parler de cela et tu avais promis ne plus mettre ta bouche dans mes relations. Alors pourquoi tu reviens sur ta promesse ?

-elle: en voyant les yeux avec lesquels tu regarde Bénie au dîner...

-moi(sourcils froncés) : quels yeux?

-elle: je ne t'ai jamais vu regardé une fille ainsi

-moi(agacé) : maman j'ignore où tu veux en venir. Oui, je trouve cette fille belle mais sa s'arrête là OK? Tu te fais des idées.

-elle : mais....

-moi: maman j'aime toujours la mère de ma fille et désolé si tu refuse toujours de comprendre, c'est ton problème. Excuse-moi mais j'ai du travail. Bonne nuit.

Oui, j'ai mal parlé à ma mère mais elle m'a énervé.

Elle voulait encore parler mais se ravise, se lève et sort sans plus.

C'est ma mère mais je préfère qu'elle respecte ma vie privée.

_Bénie ou pluto Béniela vit chez Boris. Et sa mère, et sa fille l'apprécie, Boris la trouve belle et sa s'arrête là. Hummm, Boris Boris Boris ! Hihihi. Allons voir la suite très chers lecteurs !_

*moiseassiobo63@gmail.com*

*à suivre*

SACRIFICEWhere stories live. Discover now