CHAPITRE 1 Dernier Jour D'école

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Eleonore Forback, était la directrice de l'école primaire pour sorcier, Bathilda Tourdesac

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Eleonore Forback, était la directrice de l'école primaire pour sorcier, Bathilda Tourdesac.
Elle approchait de la retraite, et elle en avait vu passer des jeunes sorciers. sang pur, sans mêlés, et quelques né moldu. Certains lui avaient donné du fil à retordre, mais elle les avait toujours traités avec un mélange de douceur et de fermeté, qui lui avait toujours bien réussi.
L'école se trouvait dans une petite ville, appelée Mystic Falls. Les enfants venaient de nombreuses petites villes alentours, dont Godric's Hollow, devenue célèbre, puisque c'était là, que dix ans plus tôt, le tristement célèbre Lord Voldemort, était mort, vaincu par un bébé de un an.
C'était le dernier jour d'école, avant les vacances d'été,  elle se sentait épuisée, et un peu nostalgique. Les plus âgés de ses élèves partiraient pour Poudlard, le célèbre collège de
Sorcellerie.
Elle devait cependant reconnaître que pour certains d'entre eux, ce serait plutôt un soulagement.

Elle aperçut Miss Donaldson qui traversait la cour d'une démarche rapide. ALLONS BON, QUE SE PASSAIT IL, ENCORE ?
- Eleonore,  venez vite. Une bagarre.
Eleonore soupira.
- J'arrive.

Près du portail, tous les élèves s'étaient regroupés, en un cercle compact. Ils criaient, s 'agitaient, surexcités.
- Écartez vous. Dit elle d'une voix ferme.
Les enfants s'écartèrent. Au milieu du cercle, deux garçons étaient enchevétrés, et se rouaient de coups.
Eleonore, les sépara d'un coups de baguette. Celle ci fit des étincelles, et envoya une légère décharge aux deux enfants, qui poussèrent un cri de douleur et se séparèrent.
- Leo Black ! Anthony McMillan l Encore vous.
L'un des garçon, avait des cheveux noirs, ses yeux gris sombres comme un ciel d'orage, et dardait sur l'autre garçon, un regard haineux.
Le second était chataing, ses yeux noisettes luisaient de rage.
- C'est lui qui a commencé. S'écrièrent ils en cœur.
- Dans mon bureau. Dit elle.
Le  châtain essuya d'une main tremblante, le sang qui coulait de sa lèvre tumefiée et ouverte. Le brun passa sa main dans ses cheveux noirs, pour les recoiffer.
Il traversa la cour, la tête haute, et  le regard fier, un léger sourire en coin.

Les deux enfants se tenaient côte à côte devant le bureau de la directrice.
- Une heure ! Dit elle. Il reste une heure avant que vous ne  quittiez cette école pour toujours. Et vous trouvez le moyen de vous  battre.
- C'est de sa faute. Dit Anthony, il s'est jeté sur moi.
- Il a traité Éden de Sang de Bourbe.
Eleonore. Se tourna vers Anthony.
- Est ce vrai ?
- Elle m'a bousculée. Se plaignit il.
Eleonore s'efforçait de rester calme.
- Je ne tolérerais pas cette insulte dans mon établissement, est ce clair ? Tu vas immédiatement t'excuser auprès de Éden Lupin.
Leo eut un sourire mauvais.
- Cela dit, ce n'est pas une raison pour se battre. Combien de fois avons nous eu cette conversation, cette année ? Sans compter les années précédentes ? Je devrais en référer à vos parents.
Leo haussa les épaules.
- Si vous avez du temps à perdre.
- Ne dites rien à mes parents, Madame. Dit Anthony.
- Bon, Anthony, va à l'infirmerie. Et après tu présenteras tes excuses à Éden.
Le garçon sortit. Léo lui prit le bras, une colère noire au fond des yeux.
- Si tu la touches, je te tue.
- LEO ! La voix d'Eleonore claqua comme un coup de fouet
Il leva vers  elle son regard gris acier.
- J'en ai plus qu'assez Leo. Ça fait la troisième fois, cette semaine
Il haussa les épaules.
- Alors c'est une chance que je ne revienne pas l'année prochaine.
Elle poussa un profond soupir.
- J'attendais tellement mieux de toi !
Cela lui fit l'effet d'un électrochoc. Un éclat de colère  passa dans les prunelles de l'enfant.
- Je sais dit il. Tout le monde attend mieux de moi. Vous voulez tous que je sois comme lui. Mais vous savez quoi ? JE SUIS PAS LUI ! JE SUIS MOI ! MOI ! ET SI VOUS ME TROUVEZ PAS ASSEZ BIEN, TANT PIS. DE TOUTE FAÇON, JE ME CASSE.
Et il fit demi tour.
- Leo ! LEO !
Mais il marchait à grands pas dans le couloir, sans se retourner.
Eleonore se laissa choir sur une chaise. Elle aurait tellement voulu l'aider. Elle voyait bien qu'il souffrait, mais la seule personne dont il avait besoin pour aller mieux, semblait bien déterminer à ignorer sa détresse. Elle secoua la tête. Elle avait bien tenté de joindre le père du garçon, à plusieurs reprises, pour lui parler des problèmes de comportement de son fils, mais il  lui avait répondu de voir ça avec Lily Potter. Mais Leo avait besoin de son père, pas de Lily Potter, aussi gentille, douce et compréhensive qu'elle puisse être.

LEO BLACK, LE FILS DU HERO TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant