Je vous passe quelques mois, une année même, si je détails tout je vais plus m’en sortir et vous allez lire
500 parties lol.
Mon fils avait maintenant deux ans.
Il marchait et parlé, enfin essayé tout du moins lol. (de parlé hein)
Sa faisait maintenant un peu plus de deux ans que Mourad était loin de nous et malgré les hauts et les bas nous avons réussi à rester fort, enfin j’ai réussi, parce que lui…
Il est devenu violent autant dans ses actes que dans ses paroles.
Plusieurs fois l’infirmerie de la prison m’appeler pour me dire que mon mari c’était bléssé.
« Flash back
Moi : Allo ?
Elle : Madame *** ?
Moi : Oui c’est qui ?
Elle : Bonjour je suis le médecin du centre pénitentier de ***, je vous appel au sujet de votre mari
Moi : Qu’est ce qui a ?
Je commence à tremblé et la dame le ressent, faut
dire que j’étais au bord de la crise de larme.
Elle : Vous inquiétez pas rien de grave, il s’est battu et
à reçu un coup au visage, il va bien mais nous avons dû lui faire quelque point de souture, il se trouve à l’hopital de *** pour le moment mais vous pourrez venir le voir une fois qu’il sera revenu.
Moi : Euh.. Ok.. D’accord, merci.
Elle : Je vous en prit. Aurevoir Moi : Aurevoir.
Je m’écroule sur ma chaise et pleure toute les larmes de mon corps, mais quand va t’il se calmé ?
Fin du Flash back »
Le mariage de Moustafa ayant était repoussé nous arrivons enfin à la date tant attendu.
Mon mari à une permission pour l’événement. Je suis un peu en stress je ne sais pas comment sa va se passé, ni si il va réussir à garder son sang froid.
Maintenant mon mari me faisait un peu peur, c’est brutal comme mot je l’admets mais ses cries et ses excés de colère me faisait une peur bleu, pas pour moi mais pour lui.
Nous sommes vendredi matin, le mariage est pour demain.
Je vais donc chercher mon mari à la prison, il à 3 jours et 2 nuit de liberté.
Il est 7h et nous sommes, mes beaux frères et moi devant la prison.
J’ai laisser mon fils chez moi, maintenant il comprends tout et j’ai pas envie qu’il soit présent, pas envie qu’il voit son père dans un sale état. Faut dire que je ne savais pas comment j’allais récupérer mon mari.
Nous attendons quelques minutes et le voilà qui sort. Il est tout frais et beau, mais son regard à changer, il à même une cicatrice sur le menton qu’il n’avait pas à son entré, les marques de sa violence.
Il à l’aire énervé pour changer...
Il s’avance vers nous et prends ses frères dans ses bras. Je reste à l’écart je vous ai dis j’ai peur, peur de faire un faux pas.
Après les embrassades, il s’avance enfin vers moi. Son visage est toujours aussi dur, je sais pas trop quoi faire, me prennez pas pour une folle mais j’étais tétanisé.
Mourad : La plus belle vient là.
Son expression change arrivé devant moi, son regard s’adoucis et son sourire apparaît.
