💸 PARTIE 17 💸

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... : Toi je te connais, tu viens d'une famille de riche. Si je te viole maintenant et que je te fais un enfant je deviendrait riche

... : Pas mal gros, mais c'est moi qui vas devenir riche...

Je pense qu'ils avaient bu de l'alcool, parceque penser à des choses absurde comme ça, c'est grave.

J'avais peur, et ils m'ont entourée, ils étaient au moins cinq. La peur à commencer à ce lire sur mon visage, on ne sait jamais quoi s'attendre avec des personnes comme ça.

... : N'aie pas peur ma belle, nous ne sommes pas des monstres

J'essayais de trouver un moyen pour sortir de ce cercle. Ils ont commencé à me toucher, et je criait, chaque mains qui se déposait sur moi, je m'en débarrassait, et vite.

Moi : Me toucher pas bande de malades

... : Tu es notre maladie ma jolie.

Un moment il y en a un qui m'a touchée les cheveux, j'ai criée plusieurs fois, je voulais que quelqu'un m'entend.

... : Vous foutez quoi là ? Dégager avant que je ne vous nique.

Ils sont tous partis, wallah que j'étais tellement heureuse que je suis aller le prendre dans mes bras. Quelques secondes plus tard, j'ai réalisé ce que j'avais fait et je me suis vite, vite détacher de lui.

Moi : Pardon. Merci de m'avoir sauver.

Madhi : Je ne l'ai pas fait pour toi, si ça ne tenait que à moi, j'allais te laisser dans les bras de ces affamés.

Moi : Tg, façon tu ne sert à rien. Tu es toujours là pour tout gâcher.

Madhi : Que-ce que tu as dit ?

Il m'a attraper violement par le bras et m'a ramené de force hors du bâtiment, derrière le bâtiment.

Madhi : Répète ?

Je tremblait comme une feuille, il me faisait trop peur, il me tenais toujours par le bras, et le serrait fort. Ça me faisait mal. Il avait un regard d'assassin. Il voulait m'assassiner.

Moi : Mais...rien...j'ai dit que...que tu es toujours là pour tout gâcher.

Madhi : Non, avant, que ce que tu as dit ? Tu as peur c'est ça ?

Moi : Non

Madhi : Bah vazy répète

Moi : J'ai dit ferme ta gueule...

Il m'a mis une baliette et je suis tomber. J'avais la haine, c'est vraiment un idiot, un connard, je le déteste.

Madhi : Tu veux encore répété ce que tu as dit ? Où non ça t'a suffit ?

Moi : Tu n'est qu'un imbécile, un connard. Tu es moche, non tu es horrible comme gars. Je plein ta copine, Miskine. Imbécile va

Il me donnait des coups dans le bras à chaques insultes que je lui disais. Sûr que j'aurais un bleu à cette endroit, mais je m'en fous. Cette homme est trop méchant.

J'avais une haine en moi que je ne pouvais pas vous expliquer, c'était trop fort.

Madhi : Vazy viens je t'aide à te lever

Au début je ne voulais pas. Mais après j'ai cédé parceque j'étais trop fatiguée. Au moment où il à attraper ma main, et que j'ai commencé à me lever, il à lâcher ma main, et je suis tomber comme une merde encore. J'avais tellement la haine que je l'ai traité de PD, et ça, apparemment ça ne l'a pas plu parceque que il m'a fait lever de force et brusquement poussé contre le mur, la douleurs était horrible.





























PDV DAYINA :

Mohamed : Bah allez y frappé, que-ce que vous attendez ? Vous avez peur ?

Mohamed cachait quelques choses derrière son dos. Je ne sais pas pourquoi, mais je pense qu'il à une idée derrière la tête qui n'est pas du tout bon.

Sonia : Tais-toi Mohamed si te plaît. Excuse toi, aller c'est bon c'est rien. Si te plaît.

Mohamed : Sonia monte avec Abdel. Vous n'avez rien à faire ici

Sonia : Je reste

Mohamed : Je t'ai dit de monter, tu veux des gifles ?

Elle souffle d'agacement,

Sonia : Si vous plaît ne lui faîtes pas de mal. Il est gentil, je vous le promets mais c'est juste que quelques fois il à tendance à déconner.

Elle se retourna avec son petit frère dans ses bras, et commence à s'en aller.

Yûnis : Tu as dit que ma sœur elle était quoi ? Une salope ?

Yûnis à commencer à s'avancer vers lui,

Mohamed : Si j'étais toi, je resterai à ma place

Yûnis : Pourquoi ? Tu commence à flipper c'est ça ?

Mohamed : *rire* Non. Mais ça sera dommage que tu meurt si jeune gros tu ne pense pas ?

Mohamed sort une arme et le pointe sur Yûnis. J'ai commencé à flipper, ça devient grave là.

Yûnus : Tema comment tu ne sais pas te défendre. Range ton arme, ça ne sert à rien.

Mohamed ne voulais pas laisser l'arme. Il à commencer à insultée mes frères, ma sœur, ma mère, ma famille et ça mes frères ne le supporte pas donc sûley à sauter sur lui, mais il n'aurait jamais dû le faire car Mohamed à tiré, et la balle m'a touchée. Ce jour ça m'a marqué à vie, cette balle m'a gâcher la vie, cette homme à fait de moi quelqu'un de mauvaise, cette homme à cause de ses conneries m'a détruite, cette homme et son armes m'ont rendu folle, oui aujourd'hui je peux le dire, il m'a rendu folle parceque me remémorer toutes ce que j'ai fait à mes proches, n'était pas humain, pourquoi ? vous le saurez bientôt.




























PDV SAFIYA :

Il me regardait avec une telle colère que j'ai crû qu'il allait me tuer, me taper mais au lieu de ça, il à attraper mon visage entre ses mains, m'a regardé droit dans les yeux, puis mes lèvres, mes yeux puis mes lèvres, je n'arrivais pas à reprendre mes esprits pour le pousser, je ne sais pas pourquoi. Je le regardais aussi. Au moment où il allait poser ses lèvres sur les miennes, j'ai tourner la tête. Quand ses lèvres on toucher mon cou, j'ai frissonner. Dans ma tête, tout ce mélangeait, quand je vous dit tout, c'est tout. J'avais même oublier pourquoi j'étais là.




































To be continued...























Ll.k🍁

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« AMOUREUSE DE L'ENNEMI.»©Where stories live. Discover now