L'amour d'un voyou

Chapitre 16 Hiei

Après les cours j'allais rentrer chez moi avec Yusuké, quand je reçu un coup de fils du Kyodai. Il me demandait d'aller récupérer du fric qu'un gars n'avait pas rembourser.

- Bon notre soirée de flemmardise est annulée, Mon supérieur veux que j'aille à Shinjuku rafraîchir la mémoire d'un mec qui à oublié de rembourser sa dette.

- OK, pas de souci, au fait tu t'en sort avec la petite, bientôt tu pourra la mettre dans ton pieu et moi je vais perdre mon pari. Au fait tu veux quoi comme prix du pari si tu gagne vraiment ? Me demanda Yusuké avec un sourire pervers.

- Rien tu peux prendre la moto dès demain j'abandonne. Je doit te laisser. Lui répondit-je avant de monter sur ma moto une dernière fois.

- Tu est fou ? Ou alors tu est amoureux d'elle n'est-ce pas ?

- Ça ne te regarde pas. Tu prendra ma moto oui ou non ? Lui criai-je. S'il y avais bien une seule chose que j'avais appris pendant ces trois jours, c'est que des gens comptaient pour moi et que Myou était en tête de liste avec ma sœur Yukina, et je ne voulais plus les faire souffrir avec tout ces trafics pour le Yakuza.

- Non je ne te la prendrais pas, je n'ai rien à miser en échange de ta moto. On se voit demain c'est notre dernier jour avant le week-end et ma mère va vouloir que je sois en cours au moins une fois dans la semaine.

Je hochait la tête et partis sur ma bécane direction l'autre côté de la ville.

J'effectuais le boulot pour mon Kyodai et était près à repartir pour faire mon rapport et faire part de ma décision.

J'arrivais plus vite que je le pensais et entrais dans le garage où travaillait Kuwabara Nous avions toujours rendez-vous avec notre supérieur à cet endroit.

- Bon, alors ce pauvre paumé t'a donner mon argent ou pas ? Me demanda le Kyodai. C'était un homme chauve bien portant, il avait des yeux d'un noir abyssal. Personne ne connaissait son vrai non tout le monde l'appelait Kyodai. Et franchement ça m'énervait.

- Non mais je lui est pris comme début de remboursement des biens dont il tenais. Dit-je en sortant de mon sac une petite pile de bijoux d'or et d'argent.

-Bien j'espère que sa le motivera un peu plus.

Je hochai la tête, m'inclinai et me dirigeai vers la porte quand le Kyodai m'interpella.

-Hiei attend j'ai besoin de toi encore pour une petite chose.

-Pourquoi donc ? Lui demandai-je sur la défensive.

-Il est temps que tu monte en grade, tu va devenir exécuteur. Tu va allé a Osaga dans deux mois se sera ta première mission. Tu est près j'espère.

-Je préférai y réfléchir d'abord. Lui répondit-je sans me laisser démonter par cette proposition.

-QUOI ?! Y réfléchir mais il n'y a rien a réfléchir tu le fera si tu est intelligent tu acceptera ce travail, sinon tu peux t'attendre a des représailles. Me menaça-t-il en s'approchant près de moi.

-Je n'est pas peur de se qui peu m'arriver. Et vous le savez très bien. Lui dit-je calmement sans peur de se qu'il pourrai me dire ce qu'il m'arrivera.

-Je n'est jamais parler de ce qui peut t'arriver a toi. Mais je sais que tu tiens énormément a ta cher sœur et te cette petite qui est sœur de flic. Me dit-il avec un grand sourire sadique.

Là j'avais peur pour elles. Elles était celles a qui je tenais le plus au monde, il n'avait pas le droit de s'en prendre a Yukina et Myou. D'ailleurs comment savait t'il que je tenais a elle ?

-Et oui je sais que tu traîne avec cette Kino, alors si tu ne va pas au rendez-vous dans deux mois je commencerai par elle et toute sa petite famille pour ensuite finir par tes amis qui traîne avec toi dans ton lycée de merdeux. Me hurla-t-il en me poussant violemment contre la porte. Réfléchit bien a ce que tu fait car sache qu'un de mes gars surveille en se moment la maison de ta cher copine. Près a intervenir pour faire subir la pire des torture, a elle et son frère. M'annonça-t-il avec avec un regard de cingler.

Sans réfléchir je sortis de la pièce et tu bâtiment où je me trouvais. Je montai sur mon aprillia et parti en trombe chez Myou espèrent qu'elle n'avait rien. Ni elle ni Drake, son frère qui ma accueillit a bras ouvert chez lui et a eu assez confiance en moi pour me confier la seul famille qui lui restait. Je lui devais bien ça atout les deux.