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20.17
soudain s'installe le crépuscule,
où dans le ciel un spectacle,
que l'ont devrai admirer sans recule,
apparaît tel un miracle,
que bientôt les collines songeront dans la pénombre,
tel une larme coulante comme une ombre,
ombre invisible de sentiments,
que personne ne pourrait voir comme avant.
alors plus qu'un simple pantin désarticulé,
que jamais personne n'aimerai,
aussitôt nuit apparu,
abandonnée au coin d'une rue,
je me suis tu.
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23.54
quand arrivera minuit,
que les esprits s'endormiront,
viendra le rôle de la pluie,
qui morose soit-elle,
éteindra le soleil,
pour faire face à une lune pleine.
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00.01
puis minuit est passé,
les âmes sont prisonnières de Morphée,
et le soleil quand à lui,
fut éteint par les gouttes de pluie,
tombantes à pertes de vue,
sur les toits d'une rue,
endormie par la pénombre de la nuit.
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02.32
alors la lune qui éclaire les chemins,
quand un enfant fit part de son chagrin,
les yeux bouffis comme le sang,
qui vers moi sa main tend,
pour me montrer un endroit,
que j'aurai aimé voir il y a un temps,
où règne un roi,
un roi appelé Sommeil.
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𝐀𝐔𝐗 𝐀𝐁𝐎𝐑𝐃𝐒 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐍𝐔𝐈𝐓
Poetry☾ೃ༄✧ aux abords de la nuit, où les esprits épanouis, on n'y entend aucun bruits, car aux abords de la nuit, le monde s'évanouit. --- @crvzymnnnd (c) Tous droits réservés Désolée pour les fautes, en espérant que ça vous plaise!
