three

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J'avais décider de t'emmener au cinéma, tu avait chosis un film. Ces moments nous faisait vibrer à tout les deux, la salle plongé dans le noir, les vieux filmes qui crépitaient  et ces carresses que tu ne cessait de faire sur ma main. 

Tu ne pouvait t'en empêché. Alors j'avais enlevait ma main, quelque peu indigné . Ainsi je ne pouvait resister à la tentation de t'embrasser sur la joue .  Par la suite je t'entendais sourire , amusé par mon comportement.  Je m'étais glissé dans tes bras ; chaud et rassurant. Je me souvient encore de l'odeur enivrante qui ce dégagé de toi , je me souviens encore que mon coeur battait si fort qu'il en aurait causé ma perte.

Tu avait continuer , tes mains c'étaient baladé pour atteidre mon épaule et tu avait formé avec tes doigts,   des cercles dans tout les sens. Je n'avais pas rechinier cette fois. J'ai sourit à mon tour. Je me soucier guerre de ce que les gens pouvait penser , j'étais quelqu'un qui s'en contre-fichait des autres.

Soudain je me suis mise à crier , tu n'avais pas chosis le film le plus apaisant du monde ni même le plus calme. Les gens pestaient , tu avait rit . Ce fameux rire, j'en entends encore les échos.  Tu avait mit ta main sur mon dos pour qu'on s'échape. 

Nous étions sortis dehors , riant encore de la situation. Je ne me souvient plus du moment ou l'on c'était arrêté de rire, mon ventre se tordait et tu ne t'étais jamais arrêté de rire non plus. 

Ces affreux ce que la vie est injuste, pourquoi n'était elle pas plus simple. J'aimerait prendre cette foutu télécommande , et mettre pause. 

Je me leve, je crie de toute mes forces , je cris jusqu'à ce que je me fasse mal à la gorge.  

J'ai renversait ce qu'il y a sur mon bureau , je me sens pas mieux . Des larmes coulent le long de ma joue. 

Regarde ce que tu me fait faire , je ne suis plus rien sans toi. 

La vie n'a plus de goût , elle n'a plus de sens. 

Tout m'écoeur, même les gens qui m'entoure. Ils sont gênés dès qu'ils me voit et ne savent pas quel sujet aborder, a croire que je les fait fuir . Ils ont peur d'aborder le sujet Erza, si par malheur ils le font, ils en  ont peur de voir mon visage en décomposition .

« Ils m'évitent , et ils ont peur. »

J'en ai de la chance hein ?

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Erza »  ᵒʳⁱᵍⁱⁿᵃˡ ᶠⁱᶜᵗⁱᵒⁿWo Geschichten leben. Entdecke jetzt