chapitre 2

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Quand la porte c'est fermé derrière moi j'ai eu tellement peur.

Moi (en tremblant):mon oncle laisse moi sortir Stp je dois me rendre chez khadija et..

Avant même que ne termine ma phrase,il ma baillonna la bouche.
Surprise ,je ne pus crier,je le poussais de toutes mes forces mais,il me jeta sur le lit et s'étend de tout son poids sur moi, je me debattais avec le peu de force qui me restait quand même il commençait à me déshabiller je pleurais,je criais quand soudain quelqu'un frappa à la porte
La sueur descendait le long du visage de mon oncle, là il ne s'avait plus quoi faire il regardait en direction de la porte essayait tant bien que mal de rajuster son bouffant "thiaya"

Qu'EST SE QUI SE PASSE ICI...

Ma tante fait son entrée dans la chambre en ecarquillant ses yeux et en ouvrant grandement sa bouche très large..

M.T(les mains sur les hanches ):fatima que fait tu dans ma chambre déshabiller en plus.

Mais celle la elle peut être méchante dh pour quoi elle ne le demande pas à l'autre fou vraiment la vie et injuste à mon égard je sais que c'est moi qui en paiera les conséquences .

Moi:j.e bon... en.....

M.T:depuis quand tu bagaye comme ça tu as perdu ta langue ou quoi répond moi.elle s'approcha et me donna une paire de gifle monumentale

Mon oncle:je... heu..mais vraiment Rougui cette fille est une vraie peste elle me provoque tous les jours en me jouant des numèros de charme. Là elle était venue pour soit disant m'apporter du café.

M.T(en me regardant ):depuis quand le café se sert t'il le soir et tu as attendu que la maison soit désertique pour faire ta devergondée.

Moi:non Tante je te jure qu....

M.T:ferme la maintenant petite fille frivole tu ne fait que mentir mais cela ne m'étonne pas du tout venant de toi. Telle mére telle fille. Me lança t-elle avec mépris

Mon oncle: tu vois ce que je te disais. Qu'est ce qu'on pourrait attendre de la fille d'une prostituèe

Moi: ARRETEZ D'INSULTER MA MÈRE CAR VOUS LA SALISSEZ EN MENTIONNANT SON NOM DANS VOS BOUCHES. FAMILLE MAUDITE QUE VOUS ÊTES.

Ils me regardèrent bouche bée. Je ne pouvais plus me taire parceque la vraiment ils avaient dépassé les bornes. J'avais peur mais je ne laissais rien paraître .comment osent-ils insulter celle qui m'a mise au monde . Alors que c'est à cause d'eux si elle n'est plus de ce monde.
Puisqu'ils ne disaient rien alors j'enchaine les larmes ruisselantes tout au long de mon visage fin

Moi: quant a toi Oumar puisque je te considéré plus comme mon oncle ne t'avise plus jamais de poser tes salles pattes sur moi parce qui si non tous tes petits secrets seront révélés au grand jour. Vieux porc

Sans que je ne la vois venir ma tante se jeta sur moi en criant. Des coups de pieds sur le ventre des gifles par ci des droites par la.
Même Oumar ne réagissait pas .
Elle m'a battue copieusement avant que mon pére ne fasse apparition dans la chambre.

Mon père (en soulevant ma tante): MAIS QU'EST CE QUI SE PASSE ICI NOM DE DIEU.....

Au nom de quoiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant