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Ma petite soeur ou plutôt ma demi soeur mais pour moi c'est pareil. Naïa j'la considère comme ma vrai soeur et sa mère comme ma deuxième mère.
J'avoue qu'au début je les accepter pas mais c'était juste le temps que je m'y fasse.
Hessoul j'disais ma p'tite reus vient d'se marier avec mon poto Jibril.
Je sais que malgré son passé il prendra soin d'elle.
Jibril c'est un gars qui a été niqué par la vie mais je sais qu'au fond de lui il a un grand coeur.

Donc je disais elle vient de se marier en faite tout mes potes sont marier.
Même Jaïl ce hmar il a une mra.
Pourquoi pas moi ? Parce que moi l'amour m'a déçu ou plutôt cette pute m'a dégouter de toutes les autres meufs.
Ouais moi Sofiane je suis tomber amoureux. J'étais tellement en love que j'ai même pas capter que cette pute me faisait doublette. Enfin doublette c'est petit.. Elle se taper tout les gars de mon ancienne cité. Grosse pute va.
Quand j'ai appris sa je suis tomber bien bas. Au début j'y croyais pas et puis j'ai ouvert les yeux.
À partir de là les meufs j'les ai plus vu pareil.
J'avais un goût amer.
Chaque fois qu'une go venait me parler j'la bâcler. Pendant un bon bout d'temps on m'prenait pour un pd.

Naïa - « passe à autre chose khoya.. »

Petite soeur, toi et moi on vient pas du même ventre mais wAllah que j'te considère comme ma vrai soeur.
Tu m'connait par coeur, tes celle pour qui je tuerai si on venait à te faire du mal.

- « Naïa soule pas hefek »

Naïa - « allez vient y a Djibril au salon »

- « vas-y j'arrive »

Elle sort.

J'repense à ce jour, le jour où cette pute à niqué mon guelb.
On était bien elle et moi, on parlait d'avenir, de mariage et d'enfant. Mais tout s'que voulait cette pute c'était juste me voir souffrir comme un pd.
Elle m'a bien pris pour un con, pendant un an j'pensais qu'c'était la bonne, j'les même présenter à mon daron, ah la pute elle m'a bien eu.

J'rejoins tout l'monde au salon. Je tchèque mon poto Djibril.

Djibril - « sa va khoya ? »

- « on fait aller et toi ? »

Djibril - « Al Hamdoullilah »

Djibril c'est un bon lui.
Malgré les coups dur il a réussi à s'en sortir.

Le dîner finit, Djibril et Naïa partent. Je me retrouve seul avec mon père et ma belle-mère.
J'ai vingt cinq ans et pourtant j'vis toujours chez mes parents, quel con.

Un jour de la semaine.

Sa fait quelques temps que je me suis mis à re fumer.
Sa m'aide à oublier à quel point je suis un boloss.
Je vais finir ma vie tout seul et j'en ai conscience.


nom- tu vient avec nous en boîte ? »

- « nan »

Yanis - « as-y hefek, y a que toi qui a une go-va »

- « ah zehma j'suis votre taxi, niquez vous ! »

Je me lève et les laisse dans leurs del.
Aller en boîte, pour quoi faire ? Là bas c'est remplis de michtonneuses qui pensent qu'à te dépouiller et te faire un gosse dans l'dos.
Moi la boîte sa à jamais été mon kiff même la chicha. Je préfère rester à la 6-T à glander plutôt que de me faire passer pour un bouffon.

Après m'avoir vider la tête je rentre à la baraque.
Les darons dorment.
Depuis que Naïa est mariée, à la baraque c'est l'silence totale.
Je l'avoue elle me manque cette bagra ; nos parties de play le soir, nos délires de boloss.
Putain faut que j'fasse quelques choses de ma ive, que j'me bouge !
Avant faut que j'me repose.

Cupidon m'a pris en traitre.Where stories live. Discover now