Le nouveau monde

La rencontre

                     Son fidèle compagnon, essaie de le réveiller car, il y avait du bruit dehors... C'été l'un des rares jours de perm qu'il avait, cet homme qui se lève s'appelle Jack, il est grand environ 1M90, mal rasé, cheveux court et une cicatrice commençant du haut du sourcil et qui finit en dessous de l'oeil . Première chose qu'il fait en se levant : mettre sa casquette que son père qui lui avait offert lors de la victoire de son équipe favorite de rugby. 

                 Il monta les stores, et fît abasourdie par la terreur qu'il vit dehors, ce n'était plus des humains mais, ce n'était pas non plus des animaux... mais, ils se comportaient comme tels en se battant, pour se nourrir et trouvé de la nourriture. Il entendit un bruit sourd, c'était une de ces choses qu'avait entendu Junior, son fidèle Colley, entrain d' aboyer. Il a eu juste le temps de prendre son arme, un 9mm puis un couteau de cuisine qui était posé sur le plan de travail, pour que son compagnon et lui s'en fuirent part la porte de derrière; son domicile était de plein pied donc très aisé de s'en fuir... Il courut tout droit devant lui sans se retourner. Dans son pistolet, il avait un chargeur complet, c'est tout ce qu'il a réussi à prendre avant de se faire mutiler par ces monstres dévoreur de chair humaine. Il pensait qu'il avait bien fait de prendre son couteau pour économiser ses balles. Dans un même temps il pensait à aller voir son père, pour savoir comme il allait en priant pour qu'il se portait bien... 

                Il arriva à proximité de la ville de son père, à 2km environ de son domicile, à La Rivière -Saint-Sauveur. Il a dû affronté ces démons sorti de l'enfer, ça fait au moins le vingtième qu'il tua.. Dans ces montres ils reconnu certaines personnes qu'il avait connu en étant qu'un jeune garçon... L'homme n'avait jamais vu ça auparavant. Il en avait vu des choses malgré qu'il ne soit juste un cuisinier. Aucun de ces monstres ne la mordus ni lui, ni son compagnon qu'il protègerais jusqu'à la mort... Il savait se battre comme personne, pour lui le couteau faisait partie de son corps, c'était un allongement de sa main. Il était cuisinier dans l'armée de terre, il était rentré chez lui car, c'était son mois de permission.  Et, voilà que maintenant, il se bat pour sa survie et celle de son fidèle compagnon... Il sortit de ses pensées et arriva au domicile de son père. Mais plus il s'approchait, plus il angoissait à la solution final, qu'il peinait à imaginer..

             Jack et Junior tuèrent toutes ces choses dont, ses voisins qu'il reconnu de suite. Il a dû les tués et cela la bouleversé. Il se disait qu'il a été formé à tué des gens mais on est jamais vraiment près à faire cela dans de tel condition...Il se dressa devant la porte avec Junior. Ils regardèrent tout deux autour et ne virent plus rien. L'homme a eu beaucoup de mal à entrer car des pensées immergèrent dans sa tête. S'est il transformé? Que faire?..                                                                             Ils entrèrent dans la maison de son enfance. Une ombre c'est précipité sur la porte, il n'a eu nul choix que de se défendre et de planter ce fameux couteau dans la poitrine... l'assaillant se releva, Jack planta de nouveau mais, cette fois ci dans le crâne.... Une fois cette chose tomber par terre, il le reconnut... NON!!! qu'il cria, PAS TOI!!! Il tomba sur les genoux et serra le corps inerte de son père. C'était rare que Jack montre ses sentiments mais là il n'a pu rien retenir, c'était plus fort que lui. C'était la première fois, qu'il pleurait autant, Jack n'arrivait pas à se retenir... 

            Il se passa deux heures avant qu'il ne reprenne ses esprits. Il prit délicatement le corps de son père, et l'emmena dans le jardin, derrière la maison. Dans ce même jardin, il y avait un cabanon avec tout l'outillage nécessaire pour le jardinage dont une pelle qu'il prit et commença à creuser un trou. Et voilà, il endosse le rôle de fossoyeur, ce qu'il aurait préféré ne jamais connaitre. Son fidèle compagnon, comme s'il pouvait lire dans ses pensées, resta à ses côté comme pour l'accompagner dans son deuil, mais à la fois il surveilla les alentours, pour prévenir son maître d'un potentiel danger. 

             Tout à coup, Junior se mit a aboyé en direction de la maison, ils sont du s'enfuir à toute vitesse. Heureusement pour eux le grillage n'était pas très haut, ils ont pu enjamber très facilement et les voilà encore en cavalent.