Chapitre 22 Hiei

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Une fois Myou partit, son frère s'assit en face de moi et croisa les doigts face à lui.

-Maintenant que nous sommes seuls, explique moi ce que tu compte faire de ton rôle de Yakuza, me demanda-t-il.

-Eh bien, en fait justement j'ai un problème. Car je voudrais les quitter avant d'aller plus loin avec Myou. Mais il veuille que j'aille à Osaga dans deux mois pour effectuer une mission et si je refuse les personnes auxquelles je tiens seront tués. Donc votre sœur et vous aussi Monsieur, qui m'avez si gentiment accueillit chez vous malgré ce que je suis. Lui expliquai-je espérant qu'il soit compréhensif encore une fois et qu'il puisse m'aider.

-Je suppose que cela explique que les verrous de la porte d'entrée soit explosés. Me dit-il.

Je comprend ton dilemme et je voudrais t'aider, mais je n'ai aucune solution pour l'instant. Par contre si tu me le permet, je demanderais conseil à un ami qui, j'en suis sûr, pourrait te trouver une échappatoire.

-Vous comprenez pas, ils ont des indics dans la police. Vous croyez quoi?Vous arrivez a intercepter les trafics des autres mais pas les leurs.

-Ne t'inquiète pas c'est un ami de confiance et il ne travaille pas dans la police. De plus, il déteste les Yakuza, donc il ne risque pas de le répéter à ton chef. Me rassura-t-il avec un grand sourire ce qui faisait briller ses yeux d'une lueur d'espoir. Après je compte sur toi pour veiller sur ma précieuse petite sœur quand j'ai pas l'œil sur elle.

Cette requête m'étonna, car si elle était en danger c'était bien par ma faute. Mais je sais au fond de moi que même si il ne me l'avais pas demander j'aurais veiller sur elle. Même une fois le danger écarté je continuerait à veiller sur elle.

-Si j'étais toi je me dépêcherais de m'habiller pour avoir le temps de manger avant de partir. Me conseilla Drake avec moquerie.

Je me levais pour aller dans le salon et récupérer mes affaires pour m'habiller dans la salle de bain. Quand soudain M. Kino m'interpella avant que je ne passe le pas de la porte de la cuisine.

-Au fait, si j'étais toi je prendrais soin de ma moto. Car elle est rester coucher sur le trottoir toute la nuit. Je l'est remise sur sa béquille.

Je souris et partis pour de bon m'habiller pour les cours.


L'amour d'un voyouWhere stories live. Discover now