Chapitre 7

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-Valentina, cria une voix.

Je me retourna et vut Louis en béquille. Je longea les siège pour me retrouver en face de lui.

-Salut, dis je timidement.

-Tu vas mieux ? Dit il aussi timide.

-Oui et toi, le foot te manque pas trop.

-Un peu si, tu fais du skate ? Demanda t'il en désignant le skate sous mon bras.

-Oui, j'aime bien ça me detend, bafouais je.

-On en feras un jour, proposa t'il, si tu veux quand je pourais marcher.

-Sa serais simpa, dis je en souriant.

-En attendant, il y a un match ce soir, ça te dis de me tenir compagnie ?

Sa fais un moment que je voulais voir mes frères jouer au foot et puis j'aimais bien l'ambiance dans les gradins, crier en buvant une bière et surtout gueuler parce que un joueur à fait une faute c'est bizarre mais c'est génial.

-Sa serait génial.

Il me dit à ce soir après que je lui ai donné mon numéro car j'avais enfin un portable. J'avais quatre numéro maintenant, Celio, mes parents et Louis. J'avais aucun amie. À l'internat, l'ambiance entre mes camarades étaient tellement bizarre, personne se détestait mais personnes ne s'aimait non plus, chacun se faisait, sûrement par peur de se faire détester, ont étaient tous des filles brisés. J'allais quitté le stade mais mon skate glissa sous les gradins, je me glissa au même endroit, l'ouverture était assez large pour une taille 32. Je pris mon skate même si l'endroit etait assez sombre mais au moment de sortir, je vis Alonzo recrovillé à ma gauche avec une seringue.

-Putin Alonzo, criais je, pas toi !

-Tu vas pas me faire la morale, dit il un peu honteux, en plus c'est que de la morphine.

-C'est de la drogue tout de même, depuis combien de temp ? Demandais je inquiète même si il s'y prenait très mal en pointant l'aiguille.

-C'est la première fois, avoua t'il toujours honteux, j'ai jamais fumé un joint, pas une clope rien, jamais de cuite non plus, j'essayais juste, je serais pas devenu comme toi.

-Qu'est ce que tu en sais ? J'essayais juste moi aussi, d'abord un joint et puis il m'a fallut quelque chose de plus fort, jusqu'à l'overdose.

-Et alors je suis pas comme toi, moi, riposta t'il.

-Pourquoi tu veux de la morphine ?

-J'ai du mal à jouer au foot, ça me lance dans la jambe, j'ai voulu attendre que ça se passe mais c'est de pire en pire.

-Tu as vu un médecin ? Demandais je inquiète par cette révélation.

Il fit non de la tête.

-Et je suppose que les parents n'en savent rien ?

-Leur dit pas s'il te plait, je veux simplement jouer au foot.

-À une condition, on va voir un médecin, annonçais je.

Je pense qu'il avait un cancer dans la jambe mais n'étant pas médecin je voulais pas l'inquièté, c'était peu être presque rien.

-D'accord mais après l'entraînement et il faut que les parents n'en sache rien.

Je confisca sa seringue et partis téléphoner au seul médecin que je pouvais faire confiance, il m'avait déjà recoussus plusieurs fois sans chercher à connaître mon nom. Malheureusement ça ne répondait pas, je décida donc de me rendre la bas, le problème c'est que traînait pas mal dans le coin avant et il y à certaine connaissance que je ne veux pas revoir mais j'avais promis à Alonzo. J'avança donc en skate jusqu'à un quartier de banlieue et pointa devant le cabinet médical et poussa la porte craintive à l'idée d'être reconnu. J'avança au bureau de l'accueil et pris rendez vous avec un faux nom. Je devais revenir dans deux heures, je roulais le plus vite possible vers la sortie, même si les souvenirs restait flou je tenais plus à les revoir. Ses "amis" qui m'avait incité à prendre de la drogue, j'étais la fille généreuse qui avait pleins de sous, celle qui payait sa tournée d'héro toute les semaines. J'étais sortis avec un gars, j'aivais crûs au parfait amour mais je me suis rendu compte en étant sobre que ce n'était pas réelle, rien n'était réelle ici. J'arrivais juste à temp avant qu'Alonso parte je ne sais ou. Le trajet était assez long du stade au cabinet, on devais donc partir maintenant pour être à l'heure Il accepta mécontent mais il savait qu'il n'avait pas le choix. Le trajet se passa très silencieusement. Lui m'en voulait toujours et moi, je voulais pas insister. En entrant dans la banlieue, je trouvais la rue encore déserte, ce qui me rassura. J'étais encore plus inquiète, si il arrivait quelque chose à Alonzo, je serais de retour au pensionnat et je m'en voudrais énormément. Après un quart d'heure d'attente, j'expliqua la situation au médecin, il examina la jambe de mon petit frère.

-C'est peu être un caillau, pronostica le médecin, je peux pas en dire plus, il faut faire de test dans un centre hospitalier.

Cette annonce me donna des frissons dans le dos, il avait quelque chose de grave, malgré tout j'avais toujours été protectrice avec mes deux petits frères et ça même si il se comportait comme un con. On quitta le médecin mais on avait à peine fait cent mètres qu'un gars sauta sur Alonzo.

-Mon argent, petit merdeu, cria mon ancien dealer.

Je m'approcha de Will, le dealer, et le poussa du mieux que je pouvais.

-Il te faur combien ? Dis je calmement en éloignant Alonzo de lui.

-Tiens une revenante, dit il surpris, ils t'ont cherché, tu devrais pas trainé par ici si tu veux un conseil.

Les flics n'arrêtaient pas de tourner par ici depuis que j'avais été retrouvé inconsciente à mes deux overdoses et comme je venais d'une famille influente et respectable, les policiers croyaient bien faire. Will ne pouvais pas m'en vouloir, j'étais une de ses meilleures clientes avant et je lui avait permis de nourrir ses quatre enfants.

-On partait, je posa mon bras sur les épaules de mon petits frères et tourna le dos à Will et par la même occasion au passé.

Je tourna la tête et je vis mon ex qui avait rejoint Will quand il rendit compte de mon retour il courut dans ma direction.

-Alanzo, oublie la douleur et oublie moi et court, murmurais je.

Je courais aussi mais beaucoup moin vite et Paul, mon ex ne mit pas longtemps à me rattraper, je souffla un coup et je vis Alonzo se tourner la tête puis il s'écroula à terre.

Jusqu'à la mortHikayelerin yaşadığı yer. Şimdi keşfedin