chapitre 5

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Endormit sur le canapé de son ami, Sami ignoré tout de ce que ses
parents lui voulaient.
-       Debout gros fainéant ! il fait beau, le soleil enlumine paris, et
ta encore fais des bêtises la veille.
-       Jai rien fais, je me suis juste amuser, murmura Sami sous loreiller.
-       Amuser a tabasser un agent de police effectivement cétait à mourir
de rire ! Sérieux mec tu es allé loin cette fois, ils ten laisser
sortir mais tu vas être jugé pour je ne sais plus combien fois pour
agression.
Sami ce mit debout tout en arrangeant ses cheveux et en sétirant puis
va voir son ami malik en cuisine.
-       Oh ! regardez qui nous honneur de son incontournable présence !
Cest magnifique surtout quil est super tôt vraiment il ne fallait
pas te déranger a te levais
-       Ta gueule ! répondit Sami en jetant une serviette sur malik. Tu
nous a fait quoi pour le petit déjeuner ?
-       Je me suis fait un café et je me suis allé chercher un bon croissant
de la boulangerie den bas, par contre je te conseil de faire de même,
Répondit Malik tout en prenant sa tasse de café et son croissant en
direction du salon.
Sami rejoint son ami et sasseyait sur le canapé a côté de lui avec un
air pensif.
-  Mon père il a appeler ?
- Non et c'est bien ce qui m'inquiète, écoute mec, dit Malik après avoir posé sa tasse de café sur la table basse, je tai toujours soutenu dans tes conneries, j'ai même contribué à certaines d'entre elles, ton père ? j'ai toujours trouvé qu'il en faisait trop, mais là, mec la ta merder comme jamais un bonhomme a merder, cette femme a des enfants, tu te rends compte de ça ou pas ? et elle est entre la vie est la mort alors tu m'excuse mais je lui donne raison sur quoi qu'il dira ou ferra. Sur ses mots Malik se lève en direction de sa chambre en laissons son ami perdu dans ses pensées.

Rafif adorer regarder les gens, leurs comportement ou leurs façons d'être son ce soucier des gens qui les entourer, chose quelle arriver rarement à faire depuis la mort de son père, elle n'arrivait plus manger au chocolat son avoir peur de se tacher, ni à marcher dans la rue perdu dans ses plus beaux souvenir car elle avait peur d'avoir ce petit sourire et que tout le monde la prendrait pour une folle, la joyeuse Rafif avait laisser place à une femme qui calculer ses moindre faits et gestes de peur de passer pour une irresponsable envers Celia, Ah ! Celia ! Elle a bien grandi pensât elle en la volent arriver au loin accompagner de son père biologique, elle la reconnut facilement même de l'autre coûter de la scène, ses cheveux doré et soyeux.

-Maman !

-Mon ange ! s'écrit Rafif en prennent la petite fille dans ses bras, car voilà plus dune année quelle ne c'étaient vu, tout lui manquer en sa fille, non elle ne lavait pas porté, non ce n'était pas le fruit son amour pour un homme, mais c'était sa fille, elle la élevé et chérie de toute ses force, elle connaissait tous ses habitudes et envies, elle sentie son odeur et celui de des cheveux doré, oui c'était bien elle ! c'était sa fille ! elle y croyait à penne.

-Tu mas manqué, enfin tu es venu me voir !

-Toi aussi mon ange, tu mas manqué aussi, mais tu à grandi dis-moi !tu es devenu une jeune femme toute belle est adorable

-Elle me rappel de plus en plus à sa mère, disait Moustapha debout la devant elles.

-Je ne lai pas vraiment connu pour tout te dire, à mon arriver on lavait déjà couverte de la tête aux pieds.

-Je sais, excuse-moi Rafif, tu as faire un excellent travail toi et Mourad, je n'arrive pas à faire mieux, je pense quelle n'aura pas de meilleur parents que vous, a ce propos, sa ça tu t'y fais ?

-Merci, on avait faire de notre mieux, on l'aimait vraiment comme notre fille, et pour répondre a ta question, j'essaye de m'y faire, c'est très dure de voir ceux qu'on aime partir, surtout quand ils nous quittent top mais il faut avancer, en tout cas, c'est ce qu'il aurait aimé que je face. Répondit la jeune femme avec un lourd sourire.

-Tu à raison, tu es la bienvenue par tout temps, tu peux la voir quand tu veux, tu es ça deuxième mère et surtout celle quelle a connue.

-Cest gentil à toi merci.

-Mais dis-moi, tu ne mas pas vraiment expliqué la raison de ce voyage, je ne vois pas comment je pourrais t'aidé.

-Oui bien-sûr, pour résumer la situation, mon père avait fait un crédit qu'il na jamais remboursé auprès dune riche famille d'ici, et maintenant ils cherchent leurs dus mais pas en argents, ils veulent que ma petite sur ce marie avec leurs fils, et le pire c'est que c'est le prototype exacte qu'il pourri gâté.

-Cest pas vrai ! répondit Moustapha amusé, ils ne peuvent te demander une chose pareil !

-Cest pas comme si ils me laisser le choix, c'est sois ça soit nous perdons tous nos bien en Algérie.

-Ils vous font du chantage ?

-Cest tout comme.

-Et ta petite soeur ? qu'en pense-t-elle ?

-Il n'y a que toi, moi et Yasmine qui savent, j'ai voulu prévenir personne, en venant ici, je penser trouver un accord avec eux mais ils ne veulent rien savoir.

-Et tu conte faire quoi maintenant ?

-Continuer à chercher, je vais bien finir par trouver un truc pour leurs faire changer d'avis. On attendant, je voudrais profiter de ce petit ange qui réussit à faire de la balançoire son qu'on la pouce, disait Rafif en ce dirigeant verre Célia assise sur une balançoire .

La belle et la bête Where stories live. Discover now