chapitre 4

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Biers dans les mains, Yasmine place ses valises et celles de son amie sur le tapie roulant de l’aéroport tandis que Rafif essayer de joindre ça mère mais en vins, elle finit par lui laisser un message vocal ou elle lui explique qu’elle partait en voyage et que c’était très précipité, elles prirent l’avions dans la fouler …
    Paris ! La ville lumière ! La ville de l’amour ! Avec ses terrasses de café et son architecture majestueuse, un décore que Yasmine n’en manquer rien de la fenêtre du taxi qu’elles avaient pris pour se rendre à l’hôtel,
- Si je devais partir d’Alger forcer, c’est ici que je viendrais.
- Je quitterais Alger pour rien au monde. Répondit Rafif.
- Non moi je me verrais bien ici.
- Tu crois ? tu te verrais bien son les anguillades chez le boulanger, la chaine interminable chez l’épicier ou encore les ragouts de la voisine du dessus ?  
- T’a raison ! Alger c’est mieux.
Arriver à l’hôtel, des deux jeunes femmes vit l’homme de qui les avait invité, il s’approche du taxi quand celui-ci s’arrêta et leurs ouvrit la porte.
- Bien venu mes dames !
- Il a su comment qu’on venait lui ? demander Yasmine a son amie à voix basse.
- Merci ! c’est vrais ça vous saviez comment qu’on avait décidé de venir ?
- Voyez-vous mes dames, c’est mon rôle de tout savoir, je vous prie de me suive par ici.
- Il doit avoir un radar, murmura Yasmine dans l’oreille de son amie, des gens nous en suivit je te dis !
- Tu ne vas pas le croire, mais pour une fois j’ai le même sentiment que toi.
- Sérieux ? Non son blague ! tu me donne raison ?
- Regarde-moi ça ! c’est vraiment beau ! réagie Rafif en entendrons dans le houle de l’hôtel.
Elles suivirent le vielle homme jusqu’au salon de l’hôtel ou un bon nombre de gratin du bisness parisiens y avait pris place, autour d’une table tout au fond de la sale, assit la, un homme d’un certain âge, très élégant et qui regarder pensivement, la fenêtre.
- Mr ! je vous présente madame El moukran et mademoiselle Lounis.
- Enchanter mes dames ! je vous prie de vous assoir.
Les deux amies se renardière avant de prendre place autour de la table.
- Merci yahia vous pouvait prendre disposez.
- Bien Mr.
- Je vous souhaite la bienvenue dans mon hôtel, je me pressente, Je suis Mheni un vielle ami de votre père, disait-il en fessant la cour a Rafif, un très honnête homme je dois dire, l’un des plus fière aussi, comment va votre mère ? et vos frères et sœur ?
- Nous allons très bien merci de vous en souciez.
- J’en suis heureux, je ne vous es pas connue vous et vos frères mais je me rappel de Nawel votre sœur ainé je penser que c’était elle qui aller venir et non pas notre marier.
- Pardon ?! répondit Rafif surprise, je pense qu’il y a une erreur Mr.
- Une de grosse ! ajouta Yasmine.
- Ma sœur Nawel est décéder ici à Paris il y a des années de cela dans un accident de voiture !
- Dieu tout puissant ! j’en avais aucune idée ! j’en suis navrais vraiment ! mais cela veut dire que ce n’est pas à vous que cette lettre est destinée ?
- Ecoutez Mr, je suis toute aussi confuse que vous, d’ailleurs je suis principalement venu pour en savoir plus sur ce pacte passer avec mon défin père.
- Et bien ce n’est pas grave ! nous ferons avec ce petit changement
- Mr s’il vous plait, écoutez-moi !  j’ai tellement de questions dont vous êtes le seul à pouvoir y réponde.
- I n’y a rien à savoir mon enfant ! J’ai passé un accord et là il est temps … répondit l’homme en se levant pour partir en voyant un homme s’approchant de lui, veilliez m’excuser maintenant je dois partir les affaires m’appelle.
- Tu penses comme moi, dit Rafif en suivant l’homme du regard ?
- Que ce type nous cacher un truc ? oui chérie.
Alléger sur le lit d’Hôtel,  Yasmine regarder son amie assise devant la fenêtre perdu dans ses pensées.
- Tu passes ton temps dans les nuages, tu pourrais me dire ce qu’on va faire parce que l’autre vielle je ne pense pas qu’il va coopérer.
- Je pensais à vendre l’appartement ma voiture et celle de Mourad.
- Même si ils acceptent, ça ne suffira pas, on pourrait voire son fils et lui parler.
- Pour lui dire quoi ?
- Que t’a sœur est trop jeune pour se marier.
- Et vais-je le trouver moi son fils ?
- Facile !
La nuit tombant, Yasmine ouvrit doucement la porte de la chambre, elle sort lentement avec Rafif.
- Pourquoi on sort ….
Yasmine lui fit signe de ce taire et lui montrait du doigt deux homme faut font du couloir, elles s’éclipsèrent de l’autre côté du couloir pour prendre l’escalier de secoure ;
- Vite ! Vite avant qu’il nous voit !
- Qui ? qui sont ces hommes ?
- Je les avais remarqué ce matin à notre arriver à l’hôtel ils étaient avec le vieux-là qui nous avait accueilli.
- Pourquoi ils étaient là ? tu crois qu’ils nous surveillent ?
- Je le crois pas j’en suis sûr ! vite ! vite !
Arriver au parking souterrain de l’hôtel, les deux jeunes femmes, voient arriver une autre patrouille de garde du corps, Yasmine prend Rafif par son bras et se faufile entre les voitures jusqu’à la sortie du parking.
- On les a semé je pense.
- Oui je pense aussi.
- Tu peux me dire pourquoi tu m’as fait jouer à James  bonde girl ?
- Parce qu’ils étaient là pour nous surveiller, écoute Rafif quand toi tu parler à l’autre vieux j’ai remarqué un bon nombre d’hommes assit sur les tables autour de nous qui nous regarder bizarrement je n’avais pas compris pourquoi mais pendant que tu prener t’a douche j’ai fait des recherches sur cette famille et c’est tous des malades ! pas du genre à changer d’avis toute les deux seconde ou a ce voir au-dessus de tout le monde, ah non, mais du genre à te faire un procès pour si tu n’es pas là l’heur.
- Ou t’a lus ça encore ?
- Dans un journal très sérieux.
- Je ne comprends pas, c’est toi qui me disais qu’il fallait les rencontrer pour en savoir plus sur eux…
- Ah ça c’était avant de savoir que leurs fils pourrait mètre a la porte t’a sœur pour une simple suspicion.
- Ecoute je le connais même pas et puis rassure toi je ne veux toujours pas marier ma sœur à leur fils, je ne sais même pas ou le trouver d’ailleurs.
- Moi si et ce n’est pas joli à voir.
Yasmine sort son téléphone et montre un article a Rafif
                   Mr foulienne a était arrêter cette après-midi pour avoir agressé un agent de police suite à une embuscade sur le périf avec un autre conducteur.
- Ecoute, a la base je suis venue ici pour essayer de trouver une entente avec cette famille, la tu vois, tu viens de me donner une bonne raison pour refuser ce mariage  et de négocier pour leurs rembourser leurs argents.
- On fait comment ?
- Je ne sais pas, tu contais m’en mener ou ?
- Ah ! non rien je voulais juste me balader dans cette ville son avoir l’impression qu’on nous suit.
- Tu es une folle !

La belle et la bête Where stories live. Discover now