La belle et la bête

chapitre 3

Allonger sur le canapé de son amie, Rafif laisse paraitre un haire pensive. Elle lève les yeux et vit Yasmine venir de la cuisine avec un plateau servit de tasse de thé et des gâteux orientaux bien garnit que Rafif regarde attrister.
-Et ou vas-tu trouver tout cet argent !
-Je ne sais pas, je n’en sais rien, bref je suis perdu, j’ai pensé à vendre l’appartement et venir sciotter chez toi un moment. Répondit Rafif avant que les deux jeunes femmes ce mir a rire.
-Tu es la bienvenue et ce quand tu veux.
-T’es un ange mais je vais me débrouiller.
Rafif laisse s’échapper un proffant soupire avant de regarder son amie et lui dire.
-C’est ce que j’ai toujours fait de toute façon.
-C’est comme tu veux, et t’a sœur, elle en panse quoi de tout ça !
-Je lui est encore rien dit elle n’a pas à savoir, de toute façon elle est trop jeune pour ces histoires.
-Non mais elle doit savoir, c’est quand même elle l’intéresser, et puis elle n’est pas aussi jeune que ça, a son age ma mere était déjà marier et meme toi a son age t’avais adopté la petite Celia.
Rafif sourit avant de partir dans ses panser, elle se rappel du jour où elle avait vu pour la première fois la petite Celia, c’était un jour d’automne de 2002, elle, n’avait que 22 ans et elle accompagner son père a l’hôpital Moustapha Bacha pour une visite de routine, pendant qu’il consulter, elle va se promener dans les couloirs de l’hôpital, là elle tombe sur un groupe d’infermières qui sembler préoccuper par quelque chose, elle s’approche pour et vit dans les bras de l’une d’elle un bébé endormit paisiblement.
-Elle est magnifique, laissa s’échapper Rafif d’une basse voix.
Toutes les infermières ce retournèrent verre elle avant que l’une d’entre elle ne lui reprend
-C’est vrai ? pauvre femme qu’est ça mère ! elle descendait la rue quand une voiture la renversé, le chauffard s’est enfuit en la laissant, heureusement des passent avait prévenu les urgences tout de suite on a au moins put sauver la petite.
-Et ça famille ¡ demandé la jeune femme.
-On les a contacté et ils n’en veulent pas, aller savoir pourquoi.
-Mon dieu c’est horrible ! que va telle devenir ?
-Je la prends ! s’écria Rafif toute excité.
La petite dans ces bras, Rafif et son père rentrèrent chez eux, le père de Rafif avait du mal à accepter cette adoption, mais il admirait n’ait en moins l’humanisme et le courage de sa fille, il n’a donc jamais vraiment montré un réelle désaccord, il avait même défendu son choix devant cette société qui ne comprenait pas pourquoi elle avait pris cette responsabilité à cette âge, Mourad lui par contre a tout de suite adopter et considérer Celia comme ça propre fille, il a même longtemps crut que le choix de ça fiancer de prendre la petite comme un cadeau du ciel, Celia fut plus tard, a 5 ans, leurs témoin de mariage, mais quelque temps après leurs mariage, ce bonheur ce vaulatisa peur a peur, tout d’abord la réapparition du père biologique de Celia qui leurs a demandé leur rendre la petite, qu’il emmène a Paris, suivie la mort du père de Rafif et celle de Mourad, l’un par un concert l’autre par un brutale accident de voiture, du jour au lendemain, Rafif se retrouva seul, seul dans son lit blottie contre un oreiller celui de Mourad tout comme elle est blottie aujourd’hui à l’oreiller du canapé de Yasmine qui la regarde d’un aire émus.
-Pourquoi tu me regarde avec ses yeux de chaton ? demande Rafif en regardons son amie.
-T’es trop mignonne quand tu te per dans tes penses, d’ailleurs tu fronce des sourcilles.
-N’importe quoi ! répondit Fafif en lui jeton le cousin sur ses génaux.
-La jolie petite chérie ! elle n’est toute pas constante ! frondons Yasmine en ce dirigent verre ça chambre en éteignons les lumières.
-Rafif ! roura ! debout feniane ! 
Sur le canapé, Rafif se réveille sous les coups de coussins que Yasmine lui infliger,
-Arrête ! c’est bon je suis debout !
-C’est bien on a du travail aujourd’hui.
-Non je bosse pas aujourd’hui, c’est jour de congé.
-Mais j’ai jamais dit que tu aller au travail !
Envelopper dans ça couette, les cheveux en pétard, la jeune femme regarde son amie avant de lui dire ;
-Quesque tu veux me faire faire encore ?
-Trouver une fiancer a ton prince charment.
-Pardon ?
-Le mieux c’est qu’elle porte le même nom que toi et ta sœur comme ça il n’y verra que du feu.
Toujours entourer de ça couette, Rafif se leva ce mètre à côté de son amie et constata des listes avec des prénoms, pour ses cousines.
-Alor t’en vois aucune des célibataires dans t’a famille qui pourrais faire la faire ?
-Je peux savoir ce que tu conte faire ?
-Je viens de te le dire ! on va chercher une autre fiancée que t’a sœur pour l’autre la ! c’est quoi son nom déjà ?
-Maamar je pense, je sais plus, et puis t’es folle ! tu crois sérieusement que ça va passer et qu’ils vont pas savoir ?
-Oui ! il faut juste qu’on en trouve une qui a le même nom de famille que toi.
-T’es folle !
-T’a une autre idée ?
-Non mais …
-Alor on fait comme ça ! le mieux c’est savoir son genre de femme.
-En tous les cas, t’a fait un travail minutieux, tu voudrais pas ouvrir une agence de rencontre temps que t’y es non ? répondit Rafif en ricanons.
-Ça serait une bonne idée ! j’ai déjà marier tout plains de gens dans notre cartier tu sais ? pourquoi j’y ais pas penser plus tôt moi ?
-Tu pourrais commencer par te marier toi-même, comme ça tu aurais de quoi t’occuper, et arrêter d’avoir ses idées.
-Elles ont quoi mes idées ? elles ont sauvé plus d’un, même toi, c’est qui qui eut l’idée de génie ! et je pèse mes mots ! de remplacer les roses de ton bouquet de mariage par de longues tulipes pour cacher l’horrible tache sur t’a robe blanche ?
- Et je ne t’en serais jamais assez reconnaissante pour ce merveilleux coup de génie ! mais je suis désolé mais ça ne me plais pas comme idée.
-On va faire un truc, on s’envole pour Paris toi et moi, on rencontre le type, on lui pose des questions pour voir ce qu’il en pense de ce mariage, et là on décidera ce qu’on pourra faire.
-T’a raison, de toute façon il faudra bien le rencontré.
-Relaxe ! ça va aller, dis Yasmine en massant les épaules de son amie puis continue, dis-moi ; on fait comment pour ouvrir une agence ?