Les Psychiques - Laisse-moi p...

De AnaExva

19K 2.5K 1.2K

Les pouvoirs psychiques sont une réalité, un phénomène très rare qui reste méconnu au regard de la plupart de... Mais

Partie 1 : Welcome to Colombe
Prologue
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5 - 1/2
Chapitre 5 - 2/2
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Épilogue (Première partie)
Information
Partie 2 : Return to Immortality
Introduction
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Remerciement

Chapitre 19

434 51 19
De AnaExva


« They're walking around the bed

On their head

Clippety cloppety

Arrayed in braid

Pink elephants on parade

What'll I do ? What'll I do?

What an unusual view ! »

Dumbo, Pink elephants on parade


Trad (de moi) :

"Ils marchent autour du lit

Sur leur tête

Clip, Clop

Présentés en galon

Les éléphants roses en parades

Que vais-je faire ? Que vais-je faire ?

Quelle vue inhabituelle !"



Si, lorsqu'enfin la sombre nuit tombe

La Lune ne sort pas de ses catacombes

Méfie-toi du joyeux sourire d'un joyeux clown,

Et fuis la splendeur de la resplendissante Pitoune.

Ho ho, hissez haut la voile ou bien sortez les rames

Chacun sombrera si les pirates profitent du drames.

Yo Ho Yo ho, Mister Sandman, endors-moi

Que mon âme rêve ou cauchemarde de son émois.

Eléphant rose ou petite fée jalouse

Quelqu'un saurait-il me faire rêver

Ou me réveiller ? Dans le penthouse

Une fillette ne serait-elle pas crevée ?

Les paroles, dans un rythme enfantin, ne prêtaient à aucun sourire. Le rire des clowns au loin ne me faisait pas rire. J'avais peur. Vraiment peur. Et courir dans le vide, dans ces couloirs sans fin, n'avait rien pour me rassurer.

Ils étaient derrières moi.

Alors lorsqu'une porte apparue, il n'eut pas de place pour l'hésitation. J'entrais. La pièce n'avait pas de sol.

Je tombais, trébuchant dans le trou sans fond et hurlant à la perte de ma vie.

Mais le sol rebondit sous moi avant de se solidifier brusquement. Je m'écrasais pour mieux me relever.

Le lieu était grand, adorable. Un petit salon cosy. Deux personnes étaient présentes. L'une préparait à manger tout en écoutant la radio alors que l'autre lisait son journal. Un couple de personnes âgées. Ils se tournèrent brusquement vers moi, un sourire large et faux sur leur visage, les yeux grands écarquillés.

La vieille cuisinière abattit son couteau de boucher sur un morceau de viande. Non, un bras. Mon bras. je me trouvais sur le plan de travail.

—Et pour ce soir, un ragoût de savoir.

—Et pour la nuit, les restes d'une...

—Non !

Et le couteau fut levé, prêt à s'abattre. Je fermais les yeux. Aucun impact.

Le couteau n'avait provoqué aucun dégât. Mes paupières s'ouvrirent. La cuisine avait disparu. À la place, un vide complet. Le blanc m'entourait. Ici, tout était si calme, sans peur, sans douleur. Pourtant un bruit, semblable à celui d'un train, se fit entendre au loin. Une tache noire apparaissait. Et lorsque je compris qu'elle grossissait, je sautais sur le côté pour l'éviter alors qu'elle venait droit sur moi.

Elle s'immobilisa pour me révéler son identité. Une bibliothèque s'étendant à perte de vue.

—Puis-je vous aider en quoique ce soit ?

Je me tournais. Une femme, qui était moi vêtu d'une tenue formelle, attendait avec un sourire professionnel sur le visage, cheveux élégamment coiffés d'un chignon sévère.

—Qui êtes-vous ?

—Je suis Résistance. Je suis chargée de conserver ces éléments loin de la Conscience et de les faire transférer au bon moment lorsque cela est nécessaire.

Les livres. Ils portaient des noms étranges. Des dates, ou bien des mots tout simple, comme « Soleil de Dante » ou encore « Anselm ». Cela m'intrigua et je le pris. Résistance ne m'en empêcha pas. La couverture était composée d'Anselm entouré par la végétation et dont l'apparence semblait transparente.

—D'après nos recherches...

—Nos ?

—Oui, moi, vous et elle...

Alors, une autre moi apparue. Elle dormait devant une télévision qui semblait passer mes souvenirs.

—Anselm serait Invisible et posséderait une Vision X. Enfin, par invisibilité, nous avons compris qu'il exploitait les angles morts et la cécité perceptive. En somme, il ne disparaît pas mais personne ne le voit.

Mais en lisant davantage, quelque chose attira mon attention et je relevais mon visage vers Résistance.

—Je peux...

—Bien sûr que vous pouvez. Rien n'est impossible, tout ne repose que sur l'apprentissage. Et si vous êtes témoin, vous pouvez le reproduire, n'est-ce pas ?

—Je veux pouvoir le faire. Toujours.

—Ce sera plus difficile.

—Mais pas impossible.

Et elle sourit.

—En effet.

Je pris le livre Moss, celui de Ava et de sa sœur, lisant des informations dont je n'avais jamais été consciente d'avoir pourtant été témoin. Mais en prenant celui de Ingrid, je le découvris vide de Psychiques.

—Vous n'avez jamais été témoin la concernant, Layla. Souvenez-vous, vous devez être témoin pour savoir. Vous devez vous souvenir pour pouvoir. Mais si la mémoire n'est pas mobilisée, seul le danger pourra déclencher.

Elle m'expliquait. Je l'écoutais. Seulement, un son étrange vint nous déranger. Résistance se tourna vers une direction précise, l'autre moi devant la télévision préférant l'éteindre pour à son tour être captivée par un point qui ne désignait ni ne révélait quoique ce soit, sinon le blanc infini d'un horizon sans fin.

Et le bruit retentit de nouveau, suivi d'un cri strident qui me glaça en un instant. Comme sortit de l'enfer ou d'un présage de mort à la prescience pleurée par une sybille, le hurlement était une menace.

Résistance lâcha un profond soupire.

—Qu'est-ce que c'est ? demandais-je, peu rassurée.

—Ce que vous entendez, c'est le cri d'une idée. Ou plutôt d'une symbolique, d'un objet.

Et elle me fixa de ces mêmes yeux qui étaient les miens.

—C'est Mama.


Le cœur battant, je me sentais comme revivre. Et pourtant je ne comprenais pas pourquoi.

Posant ma main sur ma tête, je savais que je venais de faire un rêve important. Mais quoi exactement ? Pourquoi ne parvenais-je pas à me souvenir ?

D'un haussement d'épaule, je chassais l'idée de fouiller dans ma mémoire. Seulement quelque chose n'allait pas. Une petite lumière... Elle apparaissait dès que je fermais les yeux, même une fraction de seconde. D'où venait-elle ?

« Attrape-la, Layla ! »

Et mes pensées voulurent la saisir, je ne fis que l'effleurer. Elle disparut.

Repoussant les draps du lit, je me levais pour aller prendre une bonne douche. Mes muscles tressautaient presque alors que, comme guidée par un instinct, poussée par une force invisible, j'entrais dans la salle de bain, allumant l'eau de la baignoire.

Et ce fut toujours vêtue que je pénétrais dans l'eau froide. Je n'eu qu'à fermer les yeux pour que bien vite l'impression d'être au chaud m'envahisse. Je me sentais bien, je me sentais partir. L'instant d'après, mon esprit lévitait au-dessus de mon corps, dans un domaine vide.

Que se passait-il ?

C'était la réalité, mais les couleurs y étaient moins vives, plus sombres, dans des tons violacés. La transparence de ce monde presque parallèle m'étonnait. Je me laissais voler, voyant à travers les murs, les portes, apercevant au loin des sphères lumineuses. L'une d'elle se trouvait dans une autre pièce. Il s'agissait d'un corps, un homme endormi. Lorsqu'il se réveilla, lui et la sphère en lui disparurent. Intéressant.

Une sphère, plus brillante, plus argenté que les autres, mais toujours d'un blanc éclatant, s'élevait au-dessus de mon enveloppe charnelle abandonnée dans la baignoire. L'eau qui la submergeait semblait former une protection.

—Que fais-tu ici ? s'énerva soudain une voix.

Moss était là. Kagami aussi.

—Je ne sais pas vraiment, leur avouais-je.

Moss tourna la tête dans la direction où mon corps reposait.

—Mais quelle idiote. Elle a laissé son enveloppe sans protection.

Il me prit par la main, me ramenant à mon corps. Il sortit un crayon, traçant des dessins qui devinrent une cage autour de moi.

—Ce domaine est dangereux, Layla, m'expliqua Kagami. Il est en dehors de la réalité et de ses lois.

Elle m'avertissait mais dès que je la regardais, Kagami semblait terrifiée. Avais-je fais ou dit quelque chose en particulier pour qu'elle ait de telles réactions ?

—Fini, déclara Moss. Layla, tu dois te trouver un grigri protecteur pour te protéger dans ce monde. Lorsque l'esprit sort du corps, le corps devient faible, sans la protection que lui apporte naturellement l'esprit. Aussi, évite de sortir trop souvent ou trop longtemps. Laisse le temps à ton corps de se remettre.

Il rangea son crayon.

—Au fait, je ne savais pas que tu avais le Corps Astral. Remarque, ça explique pourquoi t'as réussi à résister quand je pénétrais ta tête.

—Je...En fait c'est un peu nouveau pour moi.

—Sérieux meuf ? Bah attend, on va s'amuser un peu.

—Moi je dois rentrer. Je suis là depuis pas mal de temps, déclarait Kagami.

—Ok. Rentre bien Kagami, la saluait Moss avec le sourire.

Elle rougit légèrement et repartit.

—Nous on va s'amuser.

Et il m'attrapa de nouveau pour m'emmener vers d'autres sphères. Elles se trouvaient en dehors de la Maison. Mais alors qu'il voulait me présenter un dormeur, mon attention se porta sur une autre sphère. Elle était bien plus loin mais sa couleur, sa forme...Tout était plus fort.

Moss m'arrêta brusquement.

—Mais ça va pas !?

Je me tournais vers lui qui me hurlait dessus. Nous n'étions plus près du corps qu'il avait voulu me montrer mais à l'extérieur, près d'une frontière créée par des barrières de métal.

—Il s'agit du territoire de Fer. Tu ne peux pas rentrer, Layla.

—Mais cette lumière...

Elle était comme un phare en pleine nuit.

—Il s'agit de Killian. Lorsque le Psychique est puissant, il arrive que leur lumière soit plus vive que la plupart. Les Psychiques ont déjà la particularité de posséder des lumières blanches, là où les gens normaux sont plutôt bleus ou violets.

—Killian...C'est le dirigeant du territoire de Fer, n'est-ce pas ?

—Ouais. C'est un connard. Il veut l'territoire de Ryan, mais en vrai il lui en veut à mort à Ryan. Et Ryan aussi.

—Pourquoi ?

—Bah tu vois, quand Ryan est arrivé, c'est sur le Fer qu'il a atterri. Et Killian, il s'en est servi comme souffre-douleur. Il trouvait amusant de torturer les bêtes en lui. Sauf que Ryan il a complètement pété un câble. Il contrôlait plus rien et toutes ses bêtes se sont mélangées entre elles. Il a tué pas mal de gens de Fer et il s'est enfui sur Abondance. C'est Nadya, l'ancienne dirigeante, qui l'a recueilli. Elle a réussi à amadouer ses bêtes. Elle était gentille Nadya, comme toi. Elle était comme une maman pour la Maison.

—Je n'ai pas entendu parlé de cette Nadya.

—Elle avait un psychique Persuasion. Un simple regard, un simple touché et elle contrôlait ta volonté. Mais le truc c'est que Killian il aime pas qu'on lui prenne ses affaires. Alors il a défié Nadya. Elle a donné son titre à Ryan avant de se livrer à Killian qui l'a complètement massacré. Mais Killian, il veut toujours Ryan parce qu'il est a lui. Un vrai taré.

« Autant que Ryan qui pense que je lui appartiens »

Mon regard se posa de nouveau sur cette sphère, celle de Killian. Comment une lumière si puissante pouvait-elle appartenir à un être malfaisant ?

« Lucifer était l'ange le plus lumineux avant de devenir un Prince en Enfer », pensais-je alors.

Et la lumière disparue.

—Bon, on devrait partir tant qu'aucun bouffon de leur territoire ne nous a vu.

Je n'eu pas le temps de répondre à Moss que déjà je fus tirer brusquement en arrière, reprenant possession de mon corps. Ce fut si brusque que je me redressais soudain, prenant une trop grande inspiration, ce qui eu pour conséquence de me faire tousser.

Une main se posa sur mon dos.

—Bon sang, Layla ! s'énervait Ryan.

Nous étions dans la salle de bain, moi dans la baignoire. Il m'enveloppa dans une couverture alors que je tremblais de froid.

—Je te croyais morte. Tu respirais à peine et ton cœur...Merde Layla !

La tête me tournait. M'accrochant au bord de la baignoire, je me relevais. Et la porte s'ouvrit sur Moss.

—Ryan, Layla a...

En me voyant, il se tut, la bouche grande ouverte. Je compris que mes vêtements mouillés étaient devenus transparent. Sans soutien-gorge, c'était un peu gênant. Ryan ferma immédiatement la couverture autour de moi pour cacher mon corps.

—Layla...Layla tu as...Elle a visité l'autre-monde Ryan.

Ryan se tourna vers moi, me questionnant du regard.

—Tu m'as menti, Layla.

—Menti ?

—Tu cumules beaucoup trop de dons pour ne jamais avoir vécu ce genre de choses avant. Surtout qu'étant donné ta maitrise de certaines techniques de combat, je doute que tu n'ais pas eu un seul entrainement avant.

Il était furieux, et persuadé de ce qu'il disait. Mon esprit réfléchi rapidement, refusant de devoir faire face à la colère de Ryan. Pas encore.

—Je...Je ne sais pas Ryan. Je t'ai dis que j'ai perdu la mémoire. Si ça se trouve...Mais oui, Kagami a vu mon passé non ? Elle te donnera surement une explication logique.

—Moss, dégage.

Il décampa. Ryan me souleva du sol, m'emmenant en dehors de la salle de bain.

—Attends Ryan, je te jure que je ne t'ai pas menti !

—Arrête d'avoir peur.

—Je ne peux pas faire autrement, tu es en colère.

Il me posa sur le lit, doucement, allant ouvrir le placard pour en sortir des vêtements de femme.

—Plus de robes minuscules, interdisait-il en me présentant des vêtements très simples.

Un T-shirt, un short. Je clignais des yeux, surprise.

—Tu n'aimes pas ?

—Je...Si. Mais tu n'es pas fâché ?

—Contre toi ? Non, comme tu l'as rappelé, tu es amnésique. Kagami n'a pas pu me donner d'explication. Tu ne m'as pas menti, tu as juste oublié.

—Et tu t'en fiches ?

—Qu'est-ce que tu crois ?

Il lâcha les vêtements sur le lit.

—Je veux tout savoir de toi, Layla. Même ce que tu ne souhaites pas faire remonter. Mais puisque tu ne sembles pas vouloir te rappeler et que personne ne veut ou ne peut s'aventurer dans ton passé...

—Qu'est-ce qui te fait penser que je ne veux pas ?

—Tu me l'as toi-même confié lorsque nous étions chez Ai Dai. Les amnésies sont là pour cacher des traumatismes que tu n'as peut-être pas envie de revivre.

Il s'en était souvenu, il m'avait écouté.

—Ryan, on a un problème.

Anselm avait ouvert la porte, il attendait dans l'encadré.

—C'est Killian. Il est à la frontière et il veut parler à Layla.

—Je lui ai pourtant fait comprendre que ça n'arriverait pas.

—Il dit qu'elle a pénétré ses rêves.

—Quoi ? Mais c'est complètement faux ! Moss m'a empêché d'entrer sur son territoire.

Mais j'eu beau essayé de m'expliquer, aucun des deux hommes ne me prêtaient la moindre attention, comme si la vérité n'avait pas d'importance.

—Qu'est-ce qu'il veut ?

—Sa tête.

—Ma...Wow, mais je ne veux pas mourir moi !

—Tais-toi Layla, j'essaie de réfléchir.

—Il n'y a rien à réfléchir Ryan ! Tu as dit que j'étais à toi, non ?

Il haussa les sourcils, se tournant vers moi.

—Oui, je l'ai dit.

—Alors ne me jette pas comme si j'étais un vieux mouchoir usé.

—Ce n'est pas aussi simple, Layla, intervint Anselm. Tu es entré sur son territoire. Et le fait que tu sois effectivement capable de le faire, d'après ce que tu viens de dire, change tout. Killian a décidé d'être diplomate mais il pourrait aussi demander l'aide de Yuki et de Ai Dai pour nous détruire. Ryan doit penser à Abondance.

—Et si Killian mourrait ?

—Je ne peux pas le tuer comme ça, Layla, expliquait Ryan. Les conséquences seraient...

—Mais allez vous faire foutre !

Et soudain Ryan écarquilla des yeux, se mettant à chercher du regard.

—Merde, Layla arrête de plaisanter et réapparait immédiatement.

Réapparaître ? J'étais pourtant là, devant lui. Anselm me pointa du doigts.

—Elle est là Ryan. Elle utilise les mêmes capacités que moi.

Je venais de disparaître ?

Ne cherchant pas à comprendre, je décidais de profiter de la situation, passant à côté d'eux. Se souvenant surement du moment où je lui avais botté les fesses, Anselm n'osa pas m'arrêter.

—Layla ! Je ne te vois peut-être pas mais je peux te sentir. Je ne te laisserai pas partir.

—Essaie de m'en empêcher, connard.

Et les tuyaux explosèrent pour laisser l'eau former un rideau bouillant et impénétrable. Ryan était en colère, et moi aussi, même si l'agitation soudaine de l'eau me laissait dans une incompréhension totale.

Tandis que je partais de la Maison en toute tranquillité, que personne ne me voyait, je compris une chose importante. Les hommes auraient beau jouer aux durs, au final il n'y avait qu'une femme pour régler les problèmes. Et moi, stratégique et vouant une haine pour la violence, je préférais jouer les seules cartes que je possédais à Colombe. L'Hôtel.


****

Coucou ^^

Je voulais juste vous rappeler que lorsque sur la partie "Organisation" et "Catégorisation des Psychiques" apparaissait ça 📑 , c'est qu'il y a une nouveauté qui a été ajoutée ^^

Sinon, qu'avez-vous pensé de ce chapitre ?? ^^

Continue lendo

Você também vai gostar

3.5K 617 44
Ce que tous redoutaient à eu lieu. La guerre entre humains et métamorphes est déclarée. L'instigateur de la grande attaque est mort mais ce sont les...
115K 15.7K 85
Ellynn fait sa rentrée scolaire à Amadeus, la célèbre École Militaire Elfique. Au programme: des cours de stratégie, les techniques de combat, la méd...
111K 7.9K 24
Shawna Douglas célèbre mannequin de 21 ans n'arrête pas d'enchaîner les défilés à tel point que pour ne pas craquer elle décide de partir se ressourc...
411K 36.5K 68
A l'ère de la piraterie, où hommes et vagues se déchaînent, où créatures du mondes marins rôdent, vivent Sophia et William. Sirène et pirate, ennemis...