OS - Anime x Reader [FR]

Por sensitiviris

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Salut, si tu veux lire des Os ou en commander t'es bien tombé. Bref, gngngngn les personnages ne m'appartien... Más

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18+ [My Hero Academia] - Dabi - " You're killing me slow "

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Por sensitiviris


NDA : Bon comme d'habitude je n'ai pas été très régulière, mais pour ma défense je suis très occupée en ce moment par cours et ça fait va faire plus d'un mois que cet OS me casse la tête. D'ailleurs j'en ai un autre qui est à terminer depuis janvier et qui a un énorme potentiel mais pareil je suis bloqué (les fan de JJK vont être satisfaite).

Bref, en espérant que j'arrive à venir à bout du prochain je vous laisse lire le fruit de mon travail.

Je compte encore sur vous pour réagir en commentaire et vous abonner à mon profil.

Fan art : @sofiaasamara (instagram)

Warning : fem!reader 18+ MINORS DNI,  smut/lemon, lorvers to enemies to lovers, praising, cowgirl, dispute, oversimulation, creampie, fingering, hatefucking, unprotected sex, multiple orgasms, pas description à caractère raciale.

Résumé : Il y a 6 mois T/P a trahis Dabi et l'a vendu à la police, celui-ci lui a promis qu'il reviendrait pour se venger. Les deux se détestent, quelle sera l'issue de cette trahison ?

Note : Je vous conseille de jouer les titres suivants durant la lecture pour une meilleure immersion : "La luna enamorada" Kali Ushis, "I feel like i'm drowning" Two Feet, "Escort" Chase Atlantic, "Slow Down" Chase Atlantic, "Numb to the feelings" Chase atlantic, "House of cards" BTS en version slowed reverb.

MAUDIT ÉTAIENT SES YEUX, jamais ils ne rataient leur cible. Nous n'étions peut-être pas faits l'un pour l'autre, peut-être pas faits pour ce monde. Trop sombre ou trop pur, la réponse, je ne l'avais pas. Mais ce qui était certain, c'est qu'à chaque fois que son regard plongeait dans le mien, des milliers de lames venait me transpercer l'épiderme. C'était seulement à ces moments-là que je m'arrêtai de chercher et c'était parfait comme ça.

Je me souviens encore de la dernière fois qu'il avait posé son regard sur moi. À ce moment-là, il m'avait fait une promesse. La promesse qu'il reviendrait. Et ce jour-là, je le regretterai.

23 heure était passé et je n'étais toujours pas rentré chez moi. La fin de service dans le bar dans lequel je travaillais avait été amer, les clients étaient exécrables. Ma vie était un désastre depuis plusieurs mois, depuis que j'avais commencé à bosser à ce job merdique de serveuse et que j'avais emménagé dans un quartier miteux. Mais c'était surtout depuis que je l'avais trahi. Bien que 6 mois soient passés, je savais qu'il n'était pas passé à autre chose et que tôt ou tard, il allait réapparaître. Des frissons me parcouraient tout le corps rien qu'à l'idée de le voir en face de moi.

Même s'il se faisait tard, je ne pressais pas le pas. Rien ne m'attendait chez moi et à vrai dire, j'aimais bien marcher dans le centre-ville. Les écrans, les lumières, la foule, c'est réconfortant pour moi.
Je me sentais moins seule.
Même si ça faisait longtemps que je n'avais plus personne, je ne m'y étais toujours pas faite à ce vide, cette solitude et ce silence.

Pendant ces quelques minutes durant lesquelles j'emprunte le chemin habituel, mes pensées s'échappent. Pendant quelques minutes, je remonte le temps. 6 mois auparavant, je retombe dans ses bras, enveloppé par l'insouciance de nos moments partagés. Ces moments où rien n'était important mis à part nous, rien ne nous atteignait. Il n'existait que passion, sensations, pouvoir et désir.

Je repense à lui, ses mots, sa voix, ses caresses.

Je sais pertinemment qu'il est incapable de me pardonner et moi de lui pardonner, mais mon désir pour lui reste inchangé. Il n'y a que lui.

- " Le dangereux criminel de la ligue des villains Dabi s'est enfui de sa cellule ! Restez vigilant. Contactez-nous au XXXX si vous avez des informations. Si vous l'apercevez, n'intervenez-pas."

Mon corps s'arrêta, je restais immobile. Mon cœur battait la chamade, mes paumes devenaient moites. Il était sorti comme il me l'avait juré. Il avait tenu sa promesse et maintenant je ne me sentais encore moins en sécurité.

Je baissai la tête et pressai le pas en direction de mon appartement.

***


Je claquai la porte de mon appartement et fermai à double tour. J'avais changé d'adresse pour qu'il ne me retrouve pas, mais je savais que même si l'annonce venait de sortir aux yeux du grand public cela devait sûrement faire plusieurs jours qu'il s'était échappé et donc assez de temps pour lui pour me retrouver.

Je n'avais pas le choix, il allait finir par me retrouver. Je n'avais plus qu'à l'attendre.

***

 
Quelques heures plus tard, je me réveillais en sursaut sentant un présence dans ma chambre. Je ne dormais pas sur mes deux oreilles, à l'alerte d'un moindre mouvement. J'entendais le bruit de la circulation et du vent qui parvenait de ma fenêtre que j'étais sûr d'avoir fermée auparavant. La fraîcheur de l'air avait refroidi mes draps et je n'y étais plus très à l'aise. Mais je le sentais. Une odeur de tabac froid avait envahi la pièce et venait me titiller les narines. Il était là, il m'observait, attendant sûrement pour agir.

Je continuai de faire semblant de dormir, je ne voulais surtout pas éveiller sa garde. Ma main saisit le couteau de cuisine caché sous mon oreiller, l'arme me paraissait misérable comparée à l'étendue de son pouvoir, mais c'est tout ce que j'avais pour me défendre face à lui. Mon cœur battait à tout rompre, ma mâchoire se resserrait et ma gorge se déshydratait. Je n'arrivais plus à déglutir.
J'entendis son souffle dans la pièce et l'air se brasser dans ses déplacements, il s'approchait de moi.

- Ça ne m'a pas demandé beaucoup d'efforts pour te retrouver... Je t'avais pourtant appris à faire attention à tes arrières, faut dire que tu t'affaiblis quand je ne suis pas à tes côtés.

Quel connard...

- Tu le savais pourtant que j'allais sortir, tu le savais que je reviendrais te chercher, je te l'avais dit. Tu le sais que jamais on ne s'en tire facilement quand on me trahit.

Je pouvais sentir la brise de son souffle me chatouiller le cou et l'humidité de ses paroles me réchauffer l'oreille. Il passait ses doigts sur mon front et sa caresse recoiffait mes cheveux derrière mon oreille.

- Allons T/P, tes fourberies n'ont pas d'effets sur moi, tu le sais. Me susurra-t-il.

Le silence reprit possession de la pièce, je pris une grande inspiration. J'étais foutue et j'avais peur de lui, mais pour rien au monde, je ne lui ferais le plaisir de le lui montrer. C'était ma seule chance de prendre le dessus sur la situation avant que tout ne dégénère, je n'hésiterais pas cette fois.
Finalement, j'ouvris les yeux, serrai le couteau dans ma main. Sans perdre de temps, je le plaquai contre le matelas. La lame du couteau pointant contre sa gorge.

- Si c'est des excuses que tu es venu chercher, laisse-moi te dire que je ne te présenterais rien. Je ne regrette pas ma décision.

Je m'attendais à une réaction, mais rien, il restait immobile. Me fixant attentivement sans chercher à se débattre de mon emprise. Son rictus habituel était toujours plaqué sur son visage. C'est comme s'il s'y attendait et que tout se passait comme prévu. La glaceur de la lame ne le faisait même pas frissonner, il restait calme et m'observait.
Je levais à mon tour les yeux vers lui, son visage était trop proche du mien. Ça faisait 6 mois qu'il était parti et il n'avait pas changé, rien n'avait changé. Ces mêmes lèvres que j'embrassais, ce même regard inexpressif, la même expression supérieure. C'était comme s'il n'était jamais parti.

- C'est tout ce que t'as pour moi Dabi ? M'exprimais-je enfin après une longue minute de silence.

Ses bras étaient encore le long de son corps, ne se décidant pas à m'arrêter.

- Je ne suis pas venu pour te tuer T/P.

- Arrête tes conneries Dabi, pas avec moi. Alors pourquoi tu t'es pointé dans mon appart ? Pourquoi tu me suis depuis plusieurs jours ? Pourquoi est-ce que tu m'en veux à ce point ?

Oui, ça me démangeait. Il n'avait pas le droit de m'en vouloir pour ma trahison alors que c'était lui qui m'utilisait depuis le début, c'était lui le menteur donc pourquoi ?

- Pourquoi est-ce tu m'en veux à ce point ? Répétais-je sur le même ton.

- Ne me pose pas de telles questions, les réponses ne te plairaient pas.

Ses poings serraient les draps froids sur lesquels il était allongé, il semblait se contenir. Je ne baissais pas ma garde et j'appuyais plus fort sur sa jugulaire, menaçant de faire glisser la lame sur sa peau carbonisée.

- Si tu n'as pas le courage de parler alors je vais le faire à ta place. Je ne regrette rien Dabi. À la seconde où je les ai vu refermer les menottes autour de tes poignets, j'étais heureuse. Ne te mens pas à toi-même. Tu sais ce que ça fait que de penser que quelqu'un t'aime sincèrement et ensuite de découvrir que depuis le départ, on se sert de toi ? Que t'étais rien de plus qu'un pion ? Ça, c'est une trahison ! Alors dis-moi pourquoi est-ce tu m'en veux à ce point ?

Les souvenirs se ravivèrent et la tristesse prit le dessus et petit à petit la combativité s'évaporait de mon corps, mes sentiments m'affaiblissaient.

- Alors fais-le.

- Quoi ? M'exclamais-je.

- Aller, rien de plus facile, juste un coup de lame et tu te seras vengé. Je ne te menacerais plus et je ne serais plus ton ennemi.

Ma main commença à trembler et l'emprise que j'avais sur le couteau commençait à se défaire.

- Alors tu préfères mourir que me dire la vérité ? Tu as plus peur d'exprimer tes sentiments que de la mort ?

- Tout le monde meurt. Alors fait-le, tu me rendras service.

Sa main enveloppa la mienne et il poussa la lame plus fort contre sa gorge faisant apparaître un mince filet de sang.

- Tu me tueras si je ne le fais pas ?

- Oui.

Son regard était durement planté dans le mien, je ne savais plus s'il mentait ou s'il me disait la vérité. Je ne savais plus quoi croire.

- Aller T/P, fais-le.

Dabi remonta sa deuxième main sur ma cuisse et passa son bras autour de ma taille. Mes cheveux tombaient autour de nous et il avança ses lèvres près de mon oreille.

- Après tout ce que je t'ai fait subir, tu as le droit. Et tu sais bien que j'aime les jeux dangereux.

Toutes mes forces m'avaient abandonné, ma respiration était saccadée, je n'étais plus vraiment maître de la situation. Je sentais ses doigts caresser l'intérieur de mes cuisses sous mon short de nuit. Mais c'est à ce moment que je me rappelai de la souffrance et de la haine que j'éprouvais pour lui, ces sentiments étaient toujours présents au fond de moi. S'il voulait que je prenne les rênes, j'allais les prendre.
J'allais lui faire perdre le contrôle.

Je sondais ses yeux bleus, son regard n'était pas inoffensif. Il avait les mêmes intentions que moi, il m'aimait et me haïssait sûrement autant que moi.
Lentement, il se redressa alors que je le menaçais toujours de mon couteau. Son front se colla contre le mien et je sentais ses doigts se glisser dans mon short et par-dessus ma culotte, un gémissement s'échappait d'entre mes lèvres.

- Putain y'a jamais de secret avec toi, aucun mystère, pas de faux-semblant. Pas un seul mensonge. Ton corps répond au mien et ne me ment jamais. C'est comme ça, même si tu dis que tu me détestes et que tu veux te venger, tu pourras jamais t'empêcher de me désirer.

- Tu mens, je le pense quand je te dis que je te hais.

- Peut-être, mais ton corps me raconte une tout autre histoire.

C'est vrai, je n'étais pas sincère. Sa main était toujours entre mes cuisses et il pouvait sentir : j'étais trempé.
Mais je n'étais pas la seule à perdre les pédales puisque sa respiration irrégulière trahissait son excitation. Mes hanches ondulaient de leur propre chef contre son bassin et il suivit mon mouvement. Nos bouches trop proches mélangeaient ses grognements et mes gémissements.

Dabi attrapait de sa deuxième main ma hanche pour ralentir nos mouvements, son expression était tendue. Mais je refusais de m'arrêter, je ne ralentis pas mon mouvement et viens attraper une poignée de ses cheveux.

- Écoute-moi bien, je.te.hais.Dabi.

- Et puis merde !

Dabi m'agrippa mes cheveux et tira brusquement mon visage vers le sien, nos lèvres s'exposèrent enfin l'une à l'autre. Je répondis immédiatement à son baiser agressif, nos dents s'entrechoquent accidentellement l'une à l'autre par moment, mais ça ne nous dérange pas. Le baiser est avide, profond, cela faisait plusieurs mois que j'étais en manque de ça, de lui.

De ses deux mains, il pince mes fesses et colle son bassin au mien.

- 6 mois... Pendant ces six derniers mois, putain. Je n'ai pas arrêté de penser à ça. À toi. Mais qu'est-ce que tu m'as fait ?

Ses mots s'échappaient d'entre chacun de nos baisers, nos lèvres ne veulent plus se décoller l'une de l'autre.

- Attends, je croyais que...

Le couteau me glissa des doigts et je ne fis rien pour le rattraper.

- Je m'en fous, tais-toi. Ne gâche pas ce moment.

Son buste se colle au mien et il se rempare de mes lèvres, je le laisse faire. Ses mains font glisser mon short pour découvrir mon intimité, ce n'est qu'à ce moment que je remarquais son érection pressée contre mes fesses.
Je glisse mes mains le long de son torse, ses abdominaux pour finir par les poser sur sa ceinture. Je décolle un court instant mon corps du siens, pour me donner l'espace de défaire son pantalon. Mais je sentis immédiatement contre mes lèvres les vibrations de son grognement de désapprobation. Il voulait me garder près de lui.
Les doigts de Dabi, finirent leur voyage sur la dentelle de ma culotte et il caressa lentement mon clitoris.
Son regard ne quitte pas une seconde mon visage alors qu'il continue de frotter ses doigts contre le fin tissu. Mon corps se contracta instantanément. La sensation de quelqu'un d'autre que moi me touchant si intimement ne m'était plus si familière.

- Laisse-toi aller.

Il tire sur le côté mon sous-vêtement et il fait glisser deux doigts en moi tout en caressant mon clito.
Je me déteste d'aimer autant ça.
Je suis trempée.

Putain.

Mon sang pulse dans mes veines et mon sexe se contracte contre ses doigts, Dabi gémis mon prénom contre mes lèvres tout en accélérant ses mouvements et tapant exactement au bon endroit. J'ai du mal à suivre le baiser maintenant qu'il accélére ses mouvements.

- Dit-le.

- Quoi ?

- Que tu me veux autant que je te veux.

Je secoue immédiatement la tête négativement, mais son pouce se remet instantanément à frotter mon clitoris et mes hanches commencèrent à suivre le mouvement de ses doigts.

- Dis-moi que tu aimes ça.

Pour la deuxième fois, je hoche la tête. Mais lui et moi savons que c'est un mensonge et que c'est qu'une question de temps pour que je crache la vérité.

Je sentis l'orgasme monter en moi, mon bassin convulsa et mes yeux se fermèrent, se préparant à ce qui allait arriver.

- Regarde-moi. Je veux que tu me regardes quand tu vas jouir.

J'ouvris les yeux et le regardai comme il me l'avait demandé, mes yeux fixèrent son visage et ce n'est qu'à ce moment que je remarquai qu'il contemplait le spectacle que je lui offrais depuis un moment, puis tout à coup je ne percevais plus rien, tout devint flou et silencieux.
L'unique chose que j'arrivais à sentir était ses doigts contre mon sexe et le plaisir intense qui faisait trembler mes jambes.

Quand je me réveille de mon extase, j'ai la joue appuyée contre le front de Dabi. Il retire son t-shirt et le jette à travers la pièce. Ses paroles résonnaient comme un écho dans ma tête.

- Toi, je ne voulais que toi. La seule à qui je faisais confiance.

Il positionna son gland contre ma fente et la fit frotter contre mon clitoris. J'essayai de glisser le long de son sexe, mais Dabi m'en empêcha, son sourire habituel collé aux lèvres. Il me faisait languir, il savait pertinemment que c'était de la torture pour moi, mais c'est ce qui l'excitait.

- Demande-le-moi. Dis-moi que tu me veux me sentir au fond de toi.

Dabi accentuait la pression et accélérait son mouvement.

- Putain ! Merde oui, je te veux Dabi.

Il ne perdit pas de temps et plaça ses mains sur mes hanches et me fit glisser le long de sa queue.
Dabi poussa un long gémissement sentant à quel point j'étais mouillée. Je pris le contrôle et me mis à faire des mouvements de haut en bas, accélérant le rythme de mon bassin. Il répondit en s'enfonçant plus profondément encore en moi.

- Bordel, c'est comme si tu avais été créé sur-mesure pour moi. Laissait-il échapper en même temps qu'un grognement.

Doucement, ses mains vinrent baisser les bretelles de mon pyjama pour caresser mes seins nus, pinçant doucement mes tétons. Mes sensations sont complètement affolées, mon sexe se contractait autour du sien, chacun de nos mouvements était plus plaisant que le précédent.
Nos deux corps ensemble faisaient des bruits de succion, Dabi allait et venait en moi porter par ma cyprine.

C'était trop.

Sa langue redécouvrit le goût de ma peau en se baladant sur un de mes tétons, me faisant mouiller de plus belle. Des frissons s'emparent de mon corps et je perds le contrôle de mes gémissements.

Putain.

Dabi jura et je gémissais son nom. Mes bras étaient passés derrière sa tête et tiraient sur ses cheveux. Ses baisers humides remontèrent le long de ma gorge et terminèrent leurs trajets sur mes lèvres. Je l'embrassai à mon tour, faisant taire nos gémissements.

Il perdait complètement le contrôle et me donna des coups de reins de plus en plus durs, j'avais du mal à tenir le rythme. Il recula, mettant fin à notre baiser pour dévorer des yeux mon visage se déformer à chacun de ses coups reins.
J'ai enfoncé mes ongles dans sa peau, m'accrochant à ses épaules. Nos cheveux nous collaient à la peau et la sueur perlait sur notre corps.

- Tellement belle.

- Dabi... Putain c'est...

- Je sais... Moi aussi.

Une chaleur commença à me brûler le bas-ventre, mon bassin bougeait plus vite encore. Je savais que j'allais bientôt venir. Et Dabi le savait.
Il a descendu sa main jusqu'à mon clitoris et l'a frotté comme il l'avait fait précédemment, ses mouvements circulaires me poussant au bord de l'orgasme. J'étais à un point de non-retour.
Je sentais sa bouche sucer ma lèvre inférieure alors que mon sexe se contractait autour du sien. J'étais en train de jouir, pour la deuxième fois de la soirée.

Alors que ma vision était floue, je sentis mon dos atteint le matelas. Je voyais Dabi au-dessus de moi, mes jambes étaient posées sur ses épaules et il continua de me baiser dans mon orgasme.

C'est trop.

Je ne savais pas si mon corps était prêt pour le prochain orgasme qui était en train de se préparer dans mon corps. Ma voix poussait des geignements aigus. Dabi continuait de me baiser donnant ses derniers coups de rein avant que je ne me sentis remplit. Mon dos s'est arqué et mon corps s'est figé tellement l'orgasme me balayait.

Puis plus rien, le silence. Maintenant seul résonne dans la pièce nos souffles épuisés, Dabi se laisse tomber à côté de moi et tourne son visage vers le mien mais on ne s'échange pas un mot. Il m'observe silencieusement avant de fermer les yeux. Il me dit simplement :

- C'est parce que tu es la seule à qui j'ai envie de faire confiance.

Avant de s'endormit paisiblement sans prendre en compte le risque que je pourrais le tuer dans son sommeil. Il n'avait plus l'air d'un Villain, d'un criminel ou d'un tueur. Il ressemblait à un homme, juste un homme. Avec des forces et des faiblesses.

Quand je me réveillai le matin, Dabi n'était plus à mes côtés, mais je ne m'inquiétais pas. Je savais qu'il viendrait pour se venger une nouvelle fois. Et s'il ne le faisait pas, ce serait à moi d'aller le chercher pour me venger à mon tour.

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