- Tu ne porte pas de chaussures  ?

Elle regarda ses pieds sur le sol et  et lès enfuit dans sable.

- Non ce serait du gâchis. Le sable est tiède et cette sensation est  très agréable.

Il acquiesça puis l'emmena près de l'eau. Ils s'installèrent sur une jolie natte brodé et elle écouta avec enthousiasme les nombreuses histoires liées au tentes dans le désert. Il insista sur celle de son grand père qui était essentiellement érotique et pris plaisir à lui faire le récit de toute les traditions qui y régissait.

Elle eut vraiment chaud.

- Et si nous faisions ceux pourquoi nous sommes ici?! Déclara-t-il pour clôre le sujet.

Elle le regarda plonger après avoir enlevé son pantalon et se mordit la lèvre. Il était si viril. Comment un homme comme lui pouvais s'intéresser à une pauvre fille comme elle ? Était-il s'insère ou cherchait-il juste à se vanter d'avoir mises des jumelles dans son lit.

À l'instant même ou cette idée effleura son esprit elle la repoussa en se maudissant. Il n'était pas comme ça et elle n'allait pas gâcher son plaisir avec des idées aussi ridicule.

Se reprenant, Manuela continua  à l'observer faire des longueurs.

- Viens Habibti ! L'eau est bonne.

Elle secoua la tête négativement.

- Tu est sûr que je ne risque rien ? Et si...et s'il y a des piranhas ?

- Mais qu'est-ce que tu racontes ? C'est a peine un mètre cinquante de profondeur et si sa peut te rassurer tu sera dans mes bras. Cette partie à été emménager comme... comme une piscine.

Elle s'assise sur le bord et plongea doucement ses pieds, lès balancer joyeusement.

- Je préfère resté comme ça.

- Hors de question ! Je te veux ici avec moi.

Il se rapprocha d'elle tel un prédateur et se mit entre ses cuisses et commença à défaire les boutons de son seul vêtements.

Elle le laissa faire sans opposé de résistance trop occupé à se mordre la lèvre.

- Vous n'allez pas me convaincre votre altesse: je refuse de cédé à ce caprice.

- Ne me defiez miss Johns , menaça-t-il en jettant le vêtement sur la natte. Vous pourriez le regretter. J'obtiens toujours ce que je veux.

Sans plus attendre il l'attira dans l'eau, noua ses jambes à son bassin et s'empara de ses lèvres .
Se laissant aller à cette folie, Manuela répondit à son baisé avec la même ardeur. Elle enfui ses doigts dans ses cheveux mouillés et se serra encore plus à son torse.

Un frisson d'excitation envahi son corps quand elle sentit son sexe pulsé et se dresser progressivement entre ses fesses.

- Ont n'était pas sensé se baigner ? Souffla-t-elle dans son oreille après avoir mis elle même fin au baisé.

Un sourire en coin se dessina sur ses lèvres au fur et à mesure qu'il avançait dans l'eau avec elle dans ses bras.

- Et qui a parlé de "juste" se baigner hein ?

- Ah mais quel pervers ! Lança-t-elle faussement outré.

- Tu l'auras voulu!

Avant qu'elle comprendre le sens de sa phrase, elle se retrouva dans l'eau : il l'avait laissé tomber sans aucun remords.

- Rachid je vais me noyer tu vas me le payer, tu...

Manuela s'interrompit se rendant compte qu'elle était stupide. Ses pieds touchait le fond et l'eau lui arrivait à peine sur les épaules.

- Je...?! S'enquit-il en arquant le sourcil. Elle l'éclaboussa au visage.

- Tu m'a laissé tomber !

- Et comment compte-tu me punir ? Je doute que tes 1m30 sois suffisant hélas.

- J'ai 1m62 et si tu veux tous savoir je ne te laisserai pas me faire l'amour.

Elle avança vers le bord mais sur le point de sortir, il saisit ses hanches et la replongea dans l'eau.

- Rachid s'il-te-plaît!

- Cette punition est beaucoup trop sévère pour moi.

Il la fit reprendre leur position un, c'est-à-dire ses jambes accroché à sa taille et ses bras autour de son cou.

- Pardonne-moi.

- Tu as deux choses à te faire pardonner car en plus de cela tu t'es moqué de ma taille espèce de macho.

- Mais c'est cette taille qui te rend si sexy et irrésistible.

Comment pouvait-t-elle le boudé longtemps si il lui disait de telles choses ?!

Elle gémit lorsqu'il enfuit sa tête dans son cou pour dévorer sa peau de baisers vorace. Manuela eu l'impression qu'il essayait de la marqué, de marquer son territoire. Il revint sur ses lèvres et embrassa ses lèvres avec la même ardeur.

Puis, sans prévenir il sortit de l'eau et l'allonger sur la natte. Il ne mit pas longtemps avant de se placer entre ses cuisses et dévoré ses seins.

Lorsqu'il se mit à l'entrée de son sexe, il se pencha et s'empara de ses lèvres puis déclara d'une voix rauque.

- Je t'interdis de te retenir, ton corps m'appartient et je veux t'entendre crié.

Pour l'amour du cheikh ( Tome 1)Where stories live. Discover now