Just Bad Kids - Tome II

Chapitre 2

PDV BROOK 

Maman : Nous avons quelque chose d'important à te dire... 

Heureusement que nous étions en comité restreint. Tout le monde était rentré chez soi. Il ne restait plus que les jumeaux et nos parents.   

Moi : Tu me fais peur là. Qu'est-ce qu'il se passe ? 

Papa : Surtout ne t'énerve pas. 

Moi : Comment me rassurer encore plus dis donc. 

Maman : Pour plusieurs raisons, nous pensons qu'il est plus pratique pour toi d'avoir quelqu'un pour t'assister lors de tes missions pour le gang mais également lors de ton travail dans la boîte. 

Moi : Donc en gros vous voulez me coller un boulet ?

Papa : Non ce n'est pas du tout ça. Il y a des personnes qui sont comme toi : surdouée et capable de manier les armes très efficacement. Nous voulons juste que tu puisse pouvoir avoir du temps pour toi. Nous avons remarqué que tu travaillais un peu trop. Tu risques de faire une crise à force. 

Maman : Donc, afin de protéger ta santé mentale nous avons engager une personne qui remplira parfaitement ce rôle et se présentera lundi matin dans ton bureau. 

Moi : Sérieusement ?! Je n'ai besoin de personne pour s'occuper de mes affaires ! 

Papa : Foutaises, crois moi, ce sera bien plus facile pour toi. Tu verras.

Un boulet, je vais me coltiner un boulet. Donc, dès que l'occasion se présentera je virerai ce mec et hop adieu problèmes. J'aime gérer ce que j'entreprends seul. Puis selon mes parents se ne sera même pas un assistant, non ce sera un associé, ce qui dit que je ne pourrais pas lui donner d'ordre. Bref, plus il fera un mauvais tôt, plus vite je m'en débarrasserai. 

Les jumeaux éclatèrent de rire. 

Moi : Qu'est-ce que vous avez les deux ? 

Eux : Non rien... 

Puis ils rigolèrent à nouveau. 

Maman : Bon on se calme ! Tout se passera bien. Tu vas voir c'est quelqu'un de très qualifié. 

Moi : Ouais, c'est ce qu'on verra lundi. Si il ne me plaît pas, il dégagera. 

Mon père eut un sourire en coin. 

Moi : Quoi ? 

Papa : Non, rien, ne t'en fait pas. 

Nous avons continué à parler en laissant de côté cette histoire. Cependant, je savais pertinemment que cela allait me préoccuper pendant le reste du weekend. Mes parents n'avaient plus lâcher un mot qu'en à ce mystérieux individu. 

***

 Je sortis de de l'ascenseur et me dirigeai vers mon loft. J'eu du mal à retrouver les clés dans ma valise. Lorsque j'entrai, j'allumai la lumière et eu la peur de ma vie en trouvant mon meilleur ami sur mon canapé en train de lire un livre. 

Moi : Qu'est-ce que tu fous là Colt ? 

Colt : Je finis mon livre. 

Moi : Mais tu habites juste en dessus gros ! D'ailleurs, comment es-tu entré ? 

Colt : J'ai mes secrets... 

Moi : Rend-moi mon double des clés. 

Colt : Nope. Pourquoi t'as une tête bizarre ? 

Moi : De quoi tu parles ? 

Colt : Tu as mauvaise mine mon chou. 

Moi : Ta gueule, dis-je en m'écroulant sur mon autre canapé.