CDC:
Diana (One Direction)
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Harry Styles' POV
-Je vais chercher mon téléphone en bas.
-Ok.
Et le temps que j'aille chercher mon portable en bas et que je revienne, il était détruit, encore une fois.
Je l'ai trouvé par terre, adossé à l'armoire, ses genoux collés contre son torse et ses mains plaquées sur ses oreilles.
Mon portable jeté sur le lit et j'étais assis devant lui.
Il tremblait, ses pupilles étaient dilatées à l'extrème et il murmurait tu ne m'atteinds pas sans jamais s'arrêter.
Il répétait cette phrase, encore et encore.
Ses mains tremblaient encore plus et le bleu avait presque abandonné ses yeux.
Je carressai ses poignets jusqu'à ce qu'il relâche la pression et que je puisse les décoller.
Ses doigts s'accrochèrent à l'elastique de mon boxer qui dépasse de mon bas parce que je n'ai pas de tee-shirt.
-Tu ne m'atteinds pas, tu ne m'atteinds pas, tu ne m'atteinds pas...
-Qui?
Mais il continue de parler dans le vide.
-Tu ne m'atteinds pas, tu ne m'atteinds pas, tu ne m'atteinds pas...
Alors je n'insiste pas, je le serre contre moi et il continue de chuchoter, ses lèvres collées contre mon cou.
Puis ça change, brusquement.
-Je la déteste, je la déteste, je la déteste, je la déteste...
Et je brûle d'envie de lui demander qui est cette la qu'il déteste tant et qui ne l'atteinds pas. Mais je me retiens et je le laisse la détester contre ma peau, même si ses ongles sont plantés dans la peau de mes hanches.
Puis je le sens qui se calme.
Son pouls ralentis, les tremblement s'affaiblissent et les je la déteste cessent.
La seule chose qui me permet d'être sûr qu'il ne dort pas, sont mes hanches meurtries par ses doigts renfermés dessus.
Mais même sa poigne s'affaiblie.
Alors je sens qu'il lâche vraiment prise.
Et juste avant de s'endormir, il chuchote autre chose.
-Je la déteste mais tu ne la laisses pas m'atteindre, je déteste Ana.
Puis ses poings se dessèrent, il se colle encore plus contre moi et j'ai juste le temps de nous mettre au lit qu'il s'endort.
Louis Tomlinson's POV
Quand je me réveille, il doit être une heure du matin et je suis dans les bras de mon amoureux.
Il ne dort pas mais il ne me regarde pas non plus, son regard est fixé sur l'énorme Bravery du mur qu'on arrive à lire puisque les lumières sont restées allumées.
Je ne fais pas de mouvements brusques mais le fait que je me colle un peu plus à suffit à lui faire comprendre que je suis réveillé.
Mais ses yeux ne se détachent pas du mur.
Et son poing est serré.
Et là, je comprends que c'est lui qui a besoin d'être rassuré.
-Tu crois qu'on l'a?
Je fronce les sourcils.
-De quoi?
-La bravoure. Tout le monde dit que nous sommes braves et je ne sais pas si nous le sommes ou pas.
-...
-Tu en penses quoi?
Je carresse son ventre, m'attardant sur la forme courbée des ailes du papillon.
-Je ne sais pas. Je n'arrive pas à le savoir non plus.
Puis nous restons un moment en silence et le poing qui était serré à côté de lui vient se mêler à ma main posée sur son ventre et il entrelace nos doigts.
-Que voulait-elle?
Je ne mets pas longtemps à comprendre qu'il parle d'Ana.
Il en parle comme nous on lui parle, comme si Ana était humaine.
-Me faire retomber.
-... tu la repousses?
-Non... c'est toi qui le fait.
Et il ferme les yeux. Et une larme coule. Et on ne dit plus rien.
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Je sais que ce chapitre est court mais si vous saviez comment j'aime écrire ce genre de chapitres.
J'éspère qu'il vous plaira autant qu'il me plaît (alors que je ne suis jamais satisfaite de mes chapitres) et... voilà
Pour fêter 2015, voilà un bon chapitre Larry comme vous les aimez :)
75 votes = suite
Je vous nem,
-J.
