Viens m'attraper...

Chapitre 17

- Zachary : J'ai essayé mais ils ne veulent rien entendre

- Madison : Pourquoi es-tu autorisé à rester près de moi ? Réponds-moi franchement

- Zachary : Je ne suis pas qu'un simple vampire, je viens d'une très vieille famille et j'ai donc un grade dans la hiérarchie des vampires

- Madison : C'était ça ton secret du début ? Tu es quoi ?

- Zachary : Oui c'était ça.... Tu ne fuis pas promis ?

- Madison : Là où j'en suis... promis

- Zachary : Je suis un prince

- Madison : T'es mon prince charmant alors ?

- Zachary : C'est ça et je te veux comme princesse

- Madison : Alors sauve la ta princesse, s'il te plait, ajoutais-je dans un murmure

- Zachary : Allons dormir un peu nous trouverons une solution, viens je te porte

Il me prend dans ses bras et me mène jusqu'à la chambre et me dépose sur le lit délicatement, je me mets en sous-vêtements et me glisse sous les draps, il fait pareil et me rejoint en me prenant tout contre lui, ses mains caresses les courbes de mon corps du bout de doigts, il enfouit sa tête dans le creux de mon cou et l'embrasse, j'aimerai parfois que sans rien me dire il plante ses crocs comme ça c'est fait et on en parle plus

- Zachary : Non je ne le ferais jamais sans ton consentement

- Madison : Quoi donc ?

- Zachary : Planter mes crocs par surprise

- Madison : Comment sais-tu que j'y pensais ?

- Zachary : Je sais lire dans les pensées... un secret de plus révélé

- Madison : T'es tout le temps dans ma tête ?

- Zachary : Non seulement si je le veux, mais là tu l'as pensé très fort

- Madison : Et là ? Je pense quoi ?

- Zachary : Tu veux encore des caresses... avec plaisir belle Madison

Il reprend alors ses caresses et me force à ne plus penser à rien sauf à ce que je veux qu'il me fasse, c'est magique, déstabilisant mais exquis, ses mains se baladent sur ma peau nue, je suis parcourue par des frissons, mes seins se tendent de désir, il s'y attarde, je me mords la lèvre inférieur pour ne pas crier de plaisir, me voyant faire il insiste et m'embrasse pour ne pas que je me morde, je gémis contre sa bouche et c'est lui qui mordille mes lèvres, nous n'attendons pas plus longtemps pour nous unir gémissant à l'unisson, j'aime le sentir en moi et ça je le pense bien fort pour qu'il le capte, il me sourit et me prend plus fort encore, mon plaisir explose sans aucune retenue et il me rejoint avec la même intensité, je suis essoufflée mais je suis bien, je me sens légère, apaisée

- Madison : Si tu savais à quel point je t'aime, j'aurais au moins connu ça grâce à toi avant de partir

- Zachary : Ne parle pas comme ça mon amour, je t'en ferai connaître plus encore

- Madison : Pourquoi y'a plus ? Je ne tiendrais pas la route

- Zachary : Oh si car tu aimes quand je suis en toi... tu me l'as dit

- Madison : Est-ce que je peux te demander quelque chose sans qu'il y ait de risque ?

- Zachary : Essaye je te dirais si c'est faisable ou pas

- Madison : Je ne t'ai jamais vu sous ta forme de vampire, j'aimerai te voir

- Zachary : C'est possible mais je ne sais pas si tu vas aimer

- Madison : On verra bien

En quelques secondes ses yeux virent au bleu fluo cerné d'un peu de rouge et de longs crocs apparaissent dans sa bouche, je ne le trouve pas repoussant du tout j'ai même envie d'embrasser ses lèvres mais j'ai peur de pousser le bouchon un peu loin, alors il s'approche de moi et m'embrasse doucement et se permet même de me mordiller sans appuyer, puis il reprend son apparence humaine

- Zachary : J'ai entendu tout ce que tu as pensé, donc tu ne me trouve pas repoussant ?

- Madison : Non pas du tout, je t'ai trouvé sexy et quand tu m'as embrassé j'ai eu des frissons dans le dos

- Zachary : De peur ?

- Madison : Non d'envie

- Zachary : Perverse ! Tu n'en as jamais assez..... je t'aime

- Madison : Moi aussi je t'aime mon amour

- Zachary : Allez, maintenant on dort

- Madison : Oui mon prince

Nous nous endormons blottis l'un contre l'autre jusqu'au petit matin, je m'étire doucement et dépose un baiser sur le bras de... Zachary ? Mon amour ? L'homme de ma vie ?

- Zacharie : Oui tout ça et plus encore (rire)... Bonjour ma belle

- Madison : Je ne sais pas si cela va me plaire longtemps ton don ou alors il va falloir y mettre des conditions, je prends la douche la première

Et je file me doucher puis pendant que c'est son tour, je m'habille d'une jupe imprimée plus courte devant que derrière avec une chemise blanche et d'un corset noir et de grandes bottes et chaussettes noires, lorsqu'il sort de la douche j'ai droit à un sifflement d'approbation, lui ne prenant pas le même petit déjeuner que moi, je suis seule à descendre à la salle à manger. Tout en mangeant il me vient une idée, je ne dis pas qu'elle est magnifique ni mirobolante mais il faut que j'en parle a Zachary, le voilà justement qui arrive

- Madison : Dis-moi j'ai pensé à un truc, si on leurs fait croire que justement je vais créer un réseau de résistance en m'occupant de former les combattants

- Zachary : Tu signe ton arrêt de mort, bien que cela soit déjà fait

- Madison : Oui mais si on les joint en leur proposant un marché

- Zachary : Lequel ? Tu m'intrigues

- Madison : Comme quoi je m'engage à ne créer aucun réseau à condition qu'ils me laissent vivre, quitte à signer un traité, un contrat ou ce qu'ils veulent

- Zachary : Cela pourrait peut-être marcher seulement il y a un mais

- Madison : Et c'est quoi ce mais qui m'inquiète

- Zachary : Je serais dans l'obligation de rentrer chez moi, n'ayant plus rien à faire ici

- Madison : Merde ! Moi qui pensais avoir trouvé la solution

- Zachary : Ton idée n'est pas mauvaise du tout y'a que la fin qui ne me convient pas et ils ne voudront jamais que je reste ici, même pour veiller que tu tiens tes engagements

- Madison : La fin ne me convient pas non plus, je ne veux pas te perdre

- Zachary : Sauf si on combine ta solution et la mienne

- Madison : Faire ma proposition puis tu me transmute ?

- Zachary : C'est ça

- Madison : Je ne vois plus l'intérêt de l'accord si je passe dans votre camp

- Zachary : Ce n'est pas faux non plus, donc nous sommes toujours au point de départ

- Madison : Quand penses-tu que nous allons avoir de la visite ?